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Intervalo de ano
1.
Pan Afr. med. j ; 26(199)2017.
Artigo em Francês | AIM | ID: biblio-1268474

RESUMO

Introduction: l'objectif de cette étude était de déterminer la prévalence contraceptive moderne et les barrières à l'utilisation des méthodes contraceptives modernes chez les couples de la Zone de Santé Dibindi, à Mbuji-Mayi en République Démocratique du Congo.Méthodes: de Mai à Juin 2015, nous avons réalisé une étude descriptive transversale. Nous avons inclus les femmes âgées de 15 à 49 ans, en union maritale, non enceinte au moment de l'enquête, qui habitaient la Zone de santé Dibindi depuis deux ans et ayant consenti librement de participer à l'étude. La collecte des données a été réalisée par interview libre des femmes. La prévalence contraceptive moderne se référait aux femmes en cours d'utilisation, au moment de l'enquête, des contraceptifs modernes. La comparaison des proportions a été réalisée au seuil de signification de 5%. Le test de Bonferroni a été utilisé pour comparer, deux à deux, les proportions des barrières à l'utilisation des contraceptifs modernes.Résultats: la prévalence contraceptive moderne à Dibindi, en 2015, était de 18,4%. Elle était faible eu égard aux services de planification familiale disponibles dans cette Zone de santé. Plusieurs femmes refusaient d'utiliser les méthodes contraceptives modernes malgré l'information dont elles disposaient à cause de leur désir de maternité, l'interdiction religieuse, l'opposition du conjoint et la crainte des effets secondaires.Conclusion: l'information suffisante et centrée sur chaque cliente ou son couple, sur la planification familiale, devrait être renforcée de façon à éliminer les fausses croyances, ce qui accroitrait l'utilisation des méthodes contraceptives modernes


Assuntos
Anticoncepção , Método de Barreira Anticoncepção , Inquéritos sobre o Uso de Métodos Contraceptivos , República Democrática do Congo , Mulheres
2.
Pan Afr. med. j ; 12(16): 1-8, 2012. tab
Artigo em Francês | AIM | ID: biblio-1268410

RESUMO

Introduction: Beaucoup d'enfants vivant avec le VIH ont été infectés par leurs mères. Pour prévenir la transmission verticale les femmes doivent d'abord connaître leur statut sérologique VIH .L'objectif de cette étude était de déterminer la proportion de statut VIH inconnu à la naissance et d'identifier les facteurs associés. Méthodes: C'est une étude transversale réalisée dans 10 structures sanitaires de Lubumbashi de Juin à Septembre 2010. La taille de l'échantillon était de 602 accouchées. Les statistiques descriptives usuelles et la régression logistique ont été utilisées. Résultats: Parmi les accouchées, 52,5 % ignoraient leur statut sérologique. Parmi elles, 62,9 % accepteraient de faire le test VIH à la maternité. La proportion des femmes avec un statut sérologique VIH inconnu était significativement plus élevée chez celles qui n'avaient pas suivi de CPN (Odds Ratio ajusté (ORa) = 5,8; Intervalle de Confiance (IC) 95 % : 1,7-19,8) ; chez celles qui avaient un bas niveau d'instruction (ORa = 1,5 ; IC 95% : 1,1-2,1) et chez celles qui ne savaient pas que la transmission verticale du VIH pouvaient se faire au moment de l'accouchement (ORa = 1,5 ; IC 95 % : 1,0-2,4). Conclusion: La proportion de femmes qui accouchent sans connaître leur statut sérologique au VIH est encore importante, malgré le fait que le dépistage du VIH soit proposé lors des CPN. Dans les zones à haute séroprévalence de VIH, aucune femme ne devrait accoucher sans être dépistée au VIH. Ce serait une opportunité manquée


Assuntos
República Democrática do Congo , Conhecimento , Período Pós-Parto , Mulheres
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