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Intervalo de ano
1.
J. afr. imag. méd ; 16(1): 1-9, 2024. figures, tables
Artigo em Francês | AIM | ID: biblio-1555055

RESUMO

Objectif: Le cancer du sein chez la femme jeune est rare etprésente des caractéristiques épidémiologiques, diagnostiques et pronostiques propres. L'objectif de notre étude est d'évaluerles caractéristiques radiologiques (mammographiques, échographiqueset par résonnancemagnétique IRM du cancer du sein chez la femme jeune Algérienne, de moins de 35 ans. Matériels etméthodes: Etude prospective, descriptiveau sein du service d'imagerie médicale du Centre Pierre et Marie Curie,d'Algerincluant 204patientes âgées de moins 35ans, étalée sur 3 ans allantentre janvier 2015et janvier 2017,chez lesquelles undiagnostic de cancer du sein a été porté,Elles ont toutes bénéficiésd'une mammographie numérique, d'une échographie et d'une IRM mammaireet d'unprélèvement percutané.Résultats:La fréquence du cancer du sein chez la femme jeune de moins de 35 ans était de 10,6%. L'âge moyen était de 30.9 ans. L'autopalpation d'un nodule était prédominante (87.2%). La densité mammaire était de type c et d dans 67.7%. Contrairement à l'idée établie, la mammographie avait permis souvent le diagnostic de ces tumeurs. A la mammographie, la répartition des cas selon le stade BI-RADS révèle que plus de la moitié (53.9%) était classée BI-RADS 5 ; 35.5 % des cas classés en BIRADS 4, 7.2% classés en BI-RADS 3 et un faible pourcentage (3.6 %) en BI-RADS 0. Pour l'échographie, la répartition des cas selon les stades BI-RADS révèle que plus de la moitié était classée ACR5, ce qui représente 64 %, 32.7 % classée en ACR4 et 3.3% en ACR3.A l'IRM, 71.1 % des cas ont été classés en ACR 5, 28.4% en ACR4 et 0.5 des cas en ACR 3. Le type histologique était de type carcinome canalaire infiltrant de grade III et II selon Scarff-Bloom et Richardson (SBR) dans 96.11% descas.Conclusion: L'expression radiologique est souvent non spécifique et évocatrice d'une lésion suspecte néanmoins nous avons constaté une plus grande fréquence de tumeurs d'allure bénigne en mammographie par rapport à l'échographie mammaire et à l'IRM mammaire. L'IRM mammaire reste donc utile dans la caractérisation lésionnelle et le bilan d'extension


Objective: Breast cancer in young women is rare and has its own epidemiological, diagnostic and prognostic features. The aim of our study was to evaluate the radiological (mammographic, ultrasonographic and MRI) characteristics of breast cancer iMaterials and methods: Prospective, descriptive study in the medical imaging department of the CPMC in Algiers, including 204 patients under 35 years of age, over a 3-year period from January 2017 to January 2020, diagnosed with breast cancer. They all underwent digital mammography, ultrasound and MRI of the breast and percutaneous sampling.Results: The incidence of breast cancer in young women under 35 was 10.6%. The mean age was 30.9 years. Autopalpation of a nodule was predominant (87.2%). Breast density was type c and d in 67.7%. Contrary to popular belief, these tumorswere often diagnosed by mammography. On mammography, the distribution of cases according to BIRADS stage revealed that over half (53.9%) were classified as BIRADS 5; 35.5% of cases classified as BIRADS 4, 7.2% classified as BIRADS 3 and a small percentage (3.6%) as BIRADS 0.On ultrasonography, the distribution of cases according to BIRADS staging revealed that over half were classified as ACR5, representing 64%, 32.7% as ACR4 and 3.3% as ACR3. On MRI, 71.1% of cases were classified as ACR 5, 28.4% as ACR4 and 0.5 of cases as ACR 3. Histological type was infiltrating ductal carcinoma grade III and II according to Scarff-Bloom and Richardson (SBR) in 96.11% of cases.Conclusion: Radiological expression is often non-specific and suggestive of a suspicious lesion. Nevertheless, we found a greater frequency of benign tumorsin mammography than in breast ultrasound and breast MRI. Breast MRI therefore remains useful for lesion characterization and extension assessmenn young Algerian women under 35 years of age.


Assuntos
Humanos , Feminino
2.
J. afr. imag. méd ; 16(1): 10-16, 2024. figures
Artigo em Francês | AIM | ID: biblio-1555056

RESUMO

Objectif.Depuis 2008, la Haute Autorité Sanitaire recommande la réalisation du scanner cardiaque dans le diagnostic des cardiopathies congénitales. Celui-ci aide à confirmer et préciser les anomalies mal définies à l'échocardiographie. Dans les pays développés, le scanner cardiaque est un examende routine pour le diagnostic des cardiopathies congénitales. En Côte-d'Ivoire, sa pratique est récente.L'objectif de cette étude était de décrire les techniques et résultats des scanners cardiaques pédiatriques réalisés dans une structure privée à Abidjan.Matériels et méthodes.Il s'agissait d'une étude descriptive rétrospective sur une période de 2 mois qui a inclus tous les enfants reçus à la clinique la rosette pour la réalisation d'un scanner cardiaque indiqué pour l'évaluation d'une cardiopathie congénitale. Les examens ont été réalisés sous sédation légère pour les enfants de moins de 7 ans.Résultats.Vingt scanners cardiaques pédiatriques ont été réalisés. Les indications des scanners cardiaques pédiatriques étaient la tétralogie de Fallot (15 cas), l'atrésie pulmonaire à septum ouvert (APSO) (2 cas), la communication inter auriculaire (CIA) (1 cas), la CIA associée à une communication interventriculaire (CIV) (1 cas) et la sténose pulmonaire supra valvulaire (1 cas). Dans les cas de Tétralogie deFallot et d'APSO, les branches pulmonaires et les collatérales aorto-pulmonaires ont été visualisées et mesurées. Pour le bilan de , un retour veineux pulmonaire non visualisé à l'échocardiographie a été retrouvé au scanner cardiaque. Dans tous les cas, un bilan tomodensitométrique malformatif était réalisé : recherche d'anomalies coronaires et d'arcs aortiques.Après réalisation du scanner cardiaque, 5 enfants ont bénéficié d'une cure chirurgicale. On notait une concordance entre les diagnostics peropératoires et tomodensitométriques


Objective. Since 2008, the French National Authority for Health recommends the use of a cardiac scanner for the diagnosis of congenital heart disease. It helps to confirm and clarify abnormalities that are poorly defined on echocardiography. In developed countries,cardiac CT is a routine examination for the diagnosis of congenital heart disease. In Côte d'Ivoire, its practice is recent. Materials and Methods. This was a retrospective descriptive study over a period of 2 months which included all children received at the Rosette clinic for a cardiac scan indicated for the evaluation of congenital heart disease. The examinations were performed under light sedation for children under 7 years of age. Results. Twenty paediatric cardiac scans were performed. The indications for the paediatric cardiac scans were tetralogy of Fallot (15 cases), pulmonary atresia with ventricular septal defect (PAVSD) (2 cases), atrial septal defect (ASD) (1 case), ASD associated with ventricular septal defect (VSD) (1 case) and supravalvular pulmonary stenosis (1 case). In cases of Tetralogy of Fallot and APSO, pulmonary arteries and aorto-pulmonary collaterals were visualised and measured. For the assessment of ASD, an anomalous pulmonary venous return not visualised on echocardiography was found on cardiac computed tomography (CT). In all cases, a malformative CT scan was performed: search for coronary, aortic arch. After the cardiac, 5 children underwent surgical treatment. There was concordance between the intraoperative and CT diagnoses. Conclusion. In our experience, cardiac CT now represents, minimally invasive, complementary diagnostic tool for the evaluation of congenital heart disease.


Assuntos
Humanos , Cardiopatias Congênitas
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