A review on methods to estimate a CT from MRI data in the context of MRI-alone RT

Background: In recent years, Radiation Therapy (RT) has undergone many developments and provided progress in the field of cancer treatment. However, dose optimisation each treatment session puts the patient at risk of successive X-Ray exposure from Computed Tomography CT scans since this imaging modality is the reference for dose planning. Add to this difficulties related to contour propagation. Thus, approaches are focusing on the use of MRI as the only modality in RT. In this paper, we review methods for creating pseudo-CT images from MRI data for MRI-alone RT. Each class of methods is explained and underlying works are presented in detail with performance results. We discuss the advantages and limitations of each class. Methods: We classified recent works in deriving a pseudo-CT from MR images into four classes: segmentation-based, intensity-based, atlas-based and hybrid methods and the classification was based on considering the general technique applied. Results: Most research focused on the brain and the pelvic regions. The mean absolute error ranged from 80 to 137 HU and from 36.4 to 74 HU for the brain and pelvis, respectively. In addition, an interest in the Dixon MR sequence is increasing since it has the advantage of producing multiple contrast images with a single acquisition. Conclusion: Radiation therapy is emerging towards the generalisation of MRI-only RT thanks to the advances in techniques for generation of pseudo-CT images and the development of specialised MR sequences favouring bone visualisation. However, a benchmark needs to be established to set in common performance metrics to assess the quality of the generated pseudo-CT and judge on the efficiency of a certain method

Simulation manuelle dans la radiothérapie des cancers à l'hôpital général de Yaoundé. Intérêt de la technique assistée par scanner et ordinateur

But : Déterminer les intérêts de la simulation assistée par ordinateur par rapport à ceux de la simulation manuelle. Matériels et méthodes : Il s'agissait d'une étude descriptive, rétrospective et transversale menée sur une période de 6 ans (2007-2012) dans le service de radiothérapie de l'Hôpital Général de Yaoundé. Toutes les données en rapport avec l'identification des patients, et les paramètres d'irradiation de ceux-ci, ont été identifiées grâce à une analyse des registres de consultation, des dossiers médicaux, des fiches de simulation et des pancartes de traitement, puis relevées à l'aide d'une fiche technique pré-établie.Résultats : La méthode de simulation assistée et la méthode manuelle présentent le même niveau de précision dans la détermination des paramètres tels que la position du patient et la dosimétrie dans la technique de traitement en Distance Source Peau (DSP) (P = 0.29). La méthode assistée s'est avérée nettement supérieure en tous points à la méthode manuelle dans la détermination du volume cible (P = 0.00) ; du nombre, angulations et dimensions des faisceaux (P = 0.00) ; ainsi que les calculs dosimétriques selon les techniques de traitement en Distance Source Axe (DSA) (P = 0.01). Enfin, seule une technique de simulation aussi sophistiquée et malheureusement coûteuse permettait d'accéder et d'exploiter les avantages de la dosimétrie prévisionnelle (P = 0.00).Conclusion : Nous retenons de cette étude que la méthode de simulation assistée par ordinateur est bien plus supérieure à la technique manuelle, car apportant plus de précision dans la détermination de pratiquement tous les paramètres d'irradiation. Elle constitue le gold standard actuel et son efficacité et son indication pour la radiothérapie de niveau III sont unanimement reconnues. Cependant la technique manuelle dans les pays en pays en développement peut encore permettre avec une satisfaction relative le traitement des tumeurs superficielles et profondes dans un but le plus souvent palliatif que curatif