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1.
Rev. int. sci. méd. (Abidj.) ; 24(2): 200-205, 2022. tables, figures
Article in French | AIM | ID: biblio-1397178

ABSTRACT

Contexte et objectif. La violence faite aux femmes est aussi importante dans la sphère domestique qu'en dehors. Des femmes subissent, très souvent, des violences physiques et ou sexuelles par leur partenaire intime. L'objectif de cette étude était de déterminer la fréquence des violences conjugales, leurs caractéristiques épidémiologiques et médico-légales tant chez les victimes que chez les agresseurs. Méthodes. Il s'agissait d'une étude rétrospective de type descriptif qui s'est déroulée du 1er janvier 2016 au 31 /12/2017. L'étude avait porté sur 194 dossiers médicaux de femmes et hommes victimes de violences conjugales munies de réquisitions en provenance du parquet ou des services de police judiciaire de la ville de Conakry. Les données ont été recueillies à partir des dossiers médico-légaux. Les données sociodémographiques (âge, sexe, profession, état matrimonial) avaient été recueillies. Les éléments de l'interrogatoire tels que la date de consultation, le lien de connaissance avec l'agresseur ont été pris en compte, ceux de l'examen physique (types de lésion, siège des lésions) avaient été également recueillies Résultats. Nous avons recensé 13,52% cas de violence conjugale. Parmi eux, 31,44 % étaient victimes de violences sexuelles contre 68,56 % de victimes de violences physiques. Les victimes ont souffert de plusieurs problèmes de santé notamment les lésions corporelles (plaie, hématome, excoriation, ecchymose) et algies corporelles, le tout justifi ant dans la plupart de cas une période d'ITT ≥ 21jours. Conclusion. Ces différents résultats montrent une fois encore que la violence vécue dans le milieu familial ne soit pas sans conséquence


Subject(s)
Humans , Domestic Violence , Guinea , Forensic Medicine , Hospitals
2.
Article in English | IMSEAR | ID: sea-165465

ABSTRACT

Objectives: Since 2007, distribution of vitamin A supplementation (VAS) and deworming has been integrated with polio vaccination through twice-yearly National Immunization Days (NIDs) in Guinea. Although reported administrative coverage for VAS and deworming are consistently ≥90%, validation of coverage is needed as denominators are based on the number of children reached during the previous year and many districts report coverage of >100%. Methods: A post-event coverage (PEC) survey was conducted in the regions of Boké and Faranah to validate coverage following the NIDs in May 2013. Boké and Faranah regions were selected as their administrative VAS coverage was among the lowest (87%) and highest (102%) reported in Guinea, respectively. 900 caretakers were interviewed in each region using a PPS randomized 30x30 cluster design and WHO EPI sampling methodology. Results: VAS coverage by PECS for children 6-59 months was similar in Boké (89.4%) and Faranah (92.4%) among children 6-59 months despite large variability in administrative data. Deworming coverage reported by PECS was significantly lower than VAS and polio coverage in Boké (73.9%, 88.9%, 87.1%) and Faranah (65.2, 93.1%,91.8%), respectively, for children 12-59 months and significantly lower than deworming administrative coverage (Boke: 93.1%, Faranah: 111%). Conclusions: Despite significant variability in administrative coverage, VAS coverage measured by PEC survey in Boké and Faranah regions of Guinea was comparable and high. Deworming coverage however was significantly lower than that reported by administrative data and that reported for similar interventions. Follow-up is needed to address the large discrepancy between PEC and administrative data for deworming.

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