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1.
Arch. inst. pasteur Madag ; 69(1-2): 12-19, 2003.
Article in French | AIM | ID: biblio-1259550

ABSTRACT

Epidemics of acute respiratory infections in Madagascar in 2002 : from alert to confirmation : An epidemiological investigation (Ministry of Health/Institut Pasteur de dagascar (IPM)) was conducted in July 2002; in two districts of a same province (Fianarantsoa : Fianarantsoa II and Ikongo) considering the high frequency of deaths linked with acute respiratory infection (ARI). Morbidity and mortality data was collected in the Centre de Sante de Base (CSB) which gave the alert (village of Sahafata; district Fianarantsoa II). Analysis of monthly activity reports (MAR) allowed calculation of incidence rates of ARI/pneumonia in Fianarantsoa province. Virological data was based on the analysis of nasopharyngal samples collected during the investigations. Clinical symptoms and homogeneity of laboratory results are consistent with an origin of these epidemics being related to the circulation of an influenza virus A subtype H3N2. Attack rates were very high. CFR was significantly higher in individuals of less than 1 year and more than 65 years. This data was confirmed by posterior investigations of teams from MoH/WHO. Surprisingly; this large epidemic was due to a known influenza virus that previously circulated in countries of northern hemisphere (the year before) and even in Antananarivo weeks before. Different hypothesis could be proposed to explain such phenomenon : great restriction of exchanges between different geographical zones; nutritional status


Subject(s)
Disease Outbreaks , Humans/prevention & control , Influenza, Human , Severe Acute Respiratory Syndrome
2.
Arch. inst. pasteur Madag ; 69(1-2): 33-36, 2003.
Article in French | AIM | ID: biblio-1259554

ABSTRACT

Persistence of an endemic circulation of the virus West Nile in Madagascar:The wide geographic distribution of the West Nile virus and the increase in virulence observedsince 1994 in the Mediterranean basin; central Europe and north America; with several outbreaks of lethal encephalitis; demonstrate the importance of regular surveillance of the epidemiological data regarding this virus in the world. The Institut Pasteur de Madagascar has shown between 1975 and 1990 that this arbovirus was most abundant in Madagascar; where it had an endemic circulation. There has been no further study since that time. In order to evaluate the level of circulation; the seroprevalence of nti-West Nile antibodies in children that are 15 or less was measured on two different collections of sera. These collections came from population studies realised respectively in the region of Ambositra in the Highlands in 1996 and in the city of Mahajanga on the north west coast in 1999. The seroprevalence were 2.1


Subject(s)
Antibodies , Arboviruses
3.
Arch. inst. pasteur Madag ; 68(1): 51-54, 2002. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1259535

ABSTRACT

La peste est entrée à Madagascar en 1898, à partir du port de Toamasina, suite à l'escale d'un bâteau venant d'Inde. En 1921, elle arrive à Antananarivo et s'étend sur les Hautes Terres Centrales en y provoquant des épidémies sans précédent pendant près de 20 ans. Jusqu'au début des années 1980, elle a persisté à bas bruit surtout en milieu rural, avant de connaître une reviviscence au point de constituer un problème de santé publique de nos jours. La peste urbaine existe surtout dans la ville d'Antananarivo (réémergence en 1978 après 28 ans de silence apparent) et dans le port de Mahajanga (réémergence en 1991 après 63 ans de silence apparent). La re-dynamisation du programme national de lutte contre la peste, à partir de 1994, a permis une meilleure surveillance de la maladie. Cette analyse a pour objectif une actualisation des données épidémiologiques de la peste humaine à Madagascar, à partir des cas déclarés (16 928 cas suspects dont 3 500 confirmés ou probables) obtenus au Laboratoire Central à l'Institut Pasteur de Madagascar de 1980 à 2001. La saison pesteuse sur les hautes terres se situe d'octobre à mars et celle de la ville de Mahajanga de juillet à novembre. Le sex-ratio homme/femme est de 1,3/1, la tranche d'âge la plus touchée est celle des sujets âgés de 5 à 25 ans. Le taux de létalité de 40% au début des années 1980 a diminué à 20% vers la fin des années 1990, le pourcentage de formes pulmonaires est passé de 15% à moins de 5%, indiquant une amélioration de la prise en charge des cas. Par contre, on a assisté à une extension géographique de l'endémie pesteuse dans le pays : 4 districts confirmés en 1980, un pic de 30 districts en 1999 et 21 districts en 2001. En 2002, la diffusion d'un nouveau test de diagnostic rapide de la peste (bandelettes), dans les centres de santé de base des 42 districts endémiques, devrait contribuer à diminuer la morbidité et la létalité due à la peste, et améliorer sa surveillance au niveau national


Subject(s)
Madagascar , Plague/diagnosis , Plague/epidemiology , Plague/prevention & control
4.
Arch. inst. pasteur Madag ; 67(1-2): 14-18, 2001. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1259519

ABSTRACT

Après avoir touché Madagascar en 1898, la peste a atteint Antananarivo en 1921 et s'est étendue sur les Hautes Terres Centrales où elle persiste jusqu'à nos jours. Une recrudescence des cas a été constatée depuis une vingtaine d'années pendant lesquelles, la peste a réemergé dans la capitale Antananarivo et, dans le port de Mahajanga après respectivement 28 et 63 ans de silence apparent. Le programme national de lutte et de surveillance a, de ce fait, été renforcé. L'évolution de l'endémie dans le temps et dans l'espace au cours de cette période a été analysée à partir de 2 982 cas bactériologiquement confirmés ou probables(sex-ratio H/F : 1,3/1). L'incidence annuelle moyenne des cas de peste confirmés ou probables est passée de 33 pendant la période 1980-1984 à 298 pendant la période 1995-1999. Cette augmentation s'est accompagnée d'une large extension géographique de la zone d'endémie, passant de 17 à 37 districts pour la plupart situés à plus de 800 m d'altitude, sauf le port de Mahajanga. Par contre, le taux de létalité a baissé pendant la même période, passant de 41,6% à 20,7%. Un des objectifs des recherches actuelles est une meilleure compréhension des différents cycles épidémiologiques de la peste à Madagascar, afin d'améliorer les stratégies de lutte


Subject(s)
Madagascar , Plague/epidemiology , Recurrence
5.
Arch. inst. pasteur Madag ; 67(1-2): 19-20, 2001.
Article in French | AIM | ID: biblio-1259520

ABSTRACT

La surveillance de la peste murine en 1995 dans le marché de gros Tsenabe Isotry à Antananrivo a montré une circulation intense du bacille pesteux (80% de rats séropositifs) et un index cheopis (8,4) supérieur au seuil classique de risque épidémique (>1). Pourtant, le nombre de malades suspects déclarés dans ce quartier est très faible (3 cas suspects sans confirmation de 1995 à 1999). Dans le but de vérifier si la faible incidence de la peste humaine pouvait être due à l'acquisition d'une immunité, une enquête séroépidémiologique a été menée auprès des marchands en juin 1999 associée à l'analyse des données de la surveillance des rongeurs entre 1998 ­ 1999. La séroprévalence des porteurs d'anticorps anti-F1 est de 3,2% (3/95 marchands), alors que les marqueurs de la transmission de la peste chez les rongeurs et les puces continuent d'être très élevés. Ces résultats suggèrent que l'incidence de la peste parmi les marchands n'est pas liée à une immunité acquise, mais probablement à d'autres facteurs : le faible contact entre l'homme et les puces de rat en raison de l'abondance des rats, l'absence d'épizootie murine due à la résistance des rats de la capitale et le comportement du rongeur prédominant Rattus norvegicus moins commensal que R. rattus


Subject(s)
Bacteriology , Madagascar , Plague/epidemiology
6.
Arch. inst. pasteur Madag ; 66(1-2): 6-8, 2000. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1259501

ABSTRACT

Les auteurs rapportent les résultats d'une enquête séroépidémiologique destinée à évaluer l'importance de la peste dans la ville de Mahajanga en juillet 1999. 656 sérums issus d'un échantillon de sujets de 2 ans et plus tirés au sort dans la population par sondage en grappes ont été étudiés en utilisant une technique ELISA pour la recherche des anticorps anti-F1. Le taux de prévalence des anticorps anti-F1 est de 6,1 p. 1000, proche de la prévalence attendue dans cette ville où la peste est réapparue en 1991 après 62 ans de silence. L'enquête a également montré que la musaraigne endémique, Suncus murinus, joue sans doute un rôle comme réservoir de la peste à Mahajanga


Subject(s)
Madagascar , Plague/diagnosis , Plague/epidemiology
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