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1.
Dados rev. ciênc. sociais ; 61(1): 103-135, jan.-mar. 2018. tab, graf
Article in Portuguese | LILACS | ID: biblio-890990

ABSTRACT

RESUMO Nas últimas décadas, as mulheres que viviam em união conjugal foram as principais responsáveis pelo aumento da participação feminina no mercado de trabalho no Brasil. Isso se traduziu na crescente contribuição dos rendimentos do trabalho das esposas para a renda das famílias. Neste artigo, argumentamos que essas tendências ajudaram a diminuir a desigualdade de renda entre as famílias desde a década de 1990. Usando dados das PNADs, decompomos a desigualdade da renda domiciliar per capita, medida pelo coeficiente de variação ao quadrado, segundo: a) fontes da renda domiciliar (rendimentos do trabalho do marido, rendimentos do trabalho da esposa e outras rendas); e b) tipos de família (chefiadas por casais ou não). A partir dessas decomposições desenvolvemos análises contrafactuais para verificar o impacto dos rendimentos do trabalho das esposas nas tendências da desigualdade de renda no Brasil entre 1992 e 2014. Apesar do aumento da associação entre os rendimentos dos cônjuges, o efeito líquido das mudanças nos rendimentos das esposas durante o período analisado foi equalizador.


ABSTRACT Women living with their spouses have served as the main sector of society driving the increase in female laborforce participation in Brazil in recent decades. Such a phenomenon is reflected in the growing contribution made by women to family income levels. The following article argues that such trends have helped to reduce income inequality among families as of the 1990s. Harnessing data from the PNADs (Brazilian National Household Surveys), we examine household income inequality per capita, measured by the coefficient of variation squared, according to a) sources of household income (husband's earnings, wife's earnings and other income); and b) family type (whether or not the family is headed by a couple or not). We use this information to develop counterfactual analyses to examine the impact of women's earnings on income inequality trends in Brazil from 1992 to 2014. With the growing parity of earnings between spouses, the net result of the shifts in women's earnings during the period under analysis had a balancing effect.


RÉSUMÉ Lors des dernières décennies, les femmes vivant en union conjugale ont été les principales responsables de l'augmentation de la participation féminine au marché du travail brésilien. Cela s'est traduit par la contribution croissante des revenus du travail des épouses au revenu des familles. Dans cet article, nous défendrons l'argument de ce que ces tendances ont contribué à faire diminuer les inégalités de revenus parmi les familles depuis les années 1990. Sur la base de données des PNAD (enquêtes domiciliaires), nous avons décomposé les inégalités de revenu des ménages per capita, mesurées par le coefficient de variation au carré, selon : a) les sources de revenu des ménages (revenus du travail de l'époux, revenus du travail de l'épouse et autre revenus) ; et b) les types de familles (dirigées par des couples ou non). Sur cette base, nous avons développé des analyses contrefactuelles pour vérifier l'impact des revenus du travail des épouses sur les tendances des inégalités de revenus au Brésil entre 1992 et 2014.


RESUMEN En las últimas décadas, las mujeres que vivían en unión conyugal fueron las principales responsables del aumento de la participación femenina en el mercado laboral brasileño. Esta realidad se tradujo en una creciente contribución de los ingresos laborales que obtenían las mujeres a la situación económica de las familias. En este artículo, argumentamos que esas tendencias ayudaron a disminuir las desigualdades de ingresos entre las familias desde la década de 1990. Tomando como base los datos de las Encuestas Nacionales por Muestra de Domicilios (PNAD) del Instituto Nacional de Estadística de Brasil, desglosamos las desigualdades de los ingresos per cápita por hogar, medidas por el coeficiente de variación al cuadrado, según: a) fuentes de ingresos familiares (ingresos laborales del marido, ingresos laborales de la mujer y otros ingresos); e b) tipos de familias (encabezadas por matrimonios o no). A partir de estos desgloses, desarrollamos análisis contrafactuales para comprobar el impacto de los ingresos laborales de las mujeres casadas en las tendencias de las desigualdades económicas en Brasil entre 1992 y 2014. A pesar del aumento de la asociación entre los ingresos de los cónyuges, el impacto neto de los cambios en las contribuciones económicas de las mujeres casadas durante el período analizado fue ecualizador.

2.
Dados rev. ciênc. sociais ; 54(1): 41-87, 2011. ilus, graf, tab
Article in Portuguese | LILACS | ID: lil-595954

ABSTRACT

This article analyzes inequality of educational opportunities and outcomes in Brazil. The findings corroborate those of previous studies, pointing to persistent inequalities related to race and class in the Brazilian school system. However, the analyses indicate that parents' wealth and type of school (public, Federal, or private) are fundamental factors for explaining persistent inequalities. Parents with higher socioeconomic status invest in private elementary and secondary schools for their children in order to facilitate their progression in the system. In other words, in addition to inequality related to family characteristics, inequality is promoted by the educational system itself. The article presents sensitivity analyses to explain the possible effect of unmeasured variables, as well as a methodology to show the effect of educational transitions on inequality in educational outcomes. The author concludes that in order to promote access to educational progression, Brazil needs to improve not only the quality of its schools, but also the living conditions of Brazilian families.


Dans cet article, on examine l'inégalité de chances et les résultats dans l'éducation au Brésil. Les résultats viennent confirmer ceux de précédentes recherches sur le thème, étant donné qu'ils montrent, dans le système éducatif brésilien, l'existence d'inégalités durables quant à la race et à la classe sociale. L'analyse montre que le niveau de vie (richesse) des parents et le type d'école (publique ou privée) sont des facteurs primordiaux pour comprendre ces inégalités tenaces. Les parents des classes nanties choisissent l'école privée pour leurs enfants jusqu'à l'âge de 15 ans, de façon à faciliter leur progression dans le système éducatif. En d'autres termes, à l'inégalité née des caractéristiques familiales, s'ajoute celle qui dérive du système éducatif. On présente ici des analyses de sensibilité pour rendre compte du possible effet de variables non chiffrées, ainsi que d'une méthodologie montrant l'effet des transitions éducatives sur l'inégalité des résultats scolaires. On conclut que pour faciliter l'accès et la progression des élèves dans le système éducatif brésilien il faut non seulement améliorer la qualité des écoles mais aussi les conditions de vie des familles.

3.
Dados rev. ciênc. sociais ; 52(1): 7-51, 2009. ilus, graf, tab
Article in Portuguese | LILACS | ID: lil-515943

ABSTRACT

The article analyzes trends in marital selectiveness among blacks, browns, and whites in Brazil, using data from 1960, 1980, and 2000. Given that the educational system expanded and racial inequalities decreased over the years, the article aims to investigate to what extent these trends are related to the reduction in barriers to interracial marriage, as observed during the period. The authors thus analyze marriage patterns in couples of different color and schooling. The reduction in barriers to interracial marriage is independent of the parallel decrease in couples with different educational levels. Such barriers have become less common in all groups, except for those with the most education; in other words, the odds of marriage between husbands and wives with any level of university education increased from 1960 to 2000, corresponding to an increase in the barrier to marriage between highly educated individuals and less educated partners. Nevertheless, the overall trend was towards a decrease in barriers to interracial and inter-educational marriages from 1960 to 2000. In other words, there are steadily fewer impediments to interracial and inter-educational marriages in Brazil.


Dans cet article, on analyse les tendances de la sélection maritale entre noirs, mulâtres et blancs au Brésil, à partir de données couvrant les années 1960, 1980 et 2000. En considérant que le système d'éducation s'est développé et que les inégalités raciales ont diminué avec les années, on cherche à savoir dans quelle mesure ces tendances sont liées à l'aténuation des barrières aux mariages inter-raciaux observée dans la période en question. Dans ce sens, on examine les modèles de mariage entre personnes de couleur de peau et niveau scolaire différents. La diminution des barrières dans le mariage inter-racial ne dépend pas de la diminution parallèle des mariages de niveau scolaire différent. Ces derniers diminuent chez tous les groupes, sauf pour les plus scolarisés, c'est-à-dire que les chances de mariage entre hommes et femmes de scolarité supérieure sont plus grandes entre 1960 et 2000, ce qui correspond à un accroissement de la barrière pour les mariages entre gens très scolarisés et peu scolarisés. Malgré cela, la tendance générale est de diminution des barrières aux mariages inter-raciaux et entre des gens de niveau-scolaire différent entre 1960 et 2000. Soit, il y a de moins en moins de restrictions aux mariages inter-raciaux et entre des gens de niveau scolaire différent au Brésil.

4.
Dados rev. ciênc. sociais ; 49(4): 833-873, 2006. tab, ilus
Article in Portuguese | LILACS | ID: lil-449558

ABSTRACT

This article analyzes the differences in inter-generational social mobility and schooling between white, brown, and black men in Brazil. The main objective is to analyze inequality of opportunities for mobility and educational transitions. The results indicate that for individuals from lower social origins, inequality of opportunities is significantly marked by racial differences, and that for persons originating in the upper classes, racial inequality influences the odds of social mobility. The results suggest that theories of stratification by race and class in Brazil should be rethought, taking into account the observed interactions between race and class.


Dans cet article, on étudie les différentiels de mobilité sociale intergénérationnelle et de scolarité entre Blancs, Mulâtres et Noirs. On cherche à examiner les inégalités de chances en ce qui concerne la mobilité sociale et les transitions dans l'éducation. Selon les résultats obtenus, chez les personnes d'origine sociale plus défavorisée l'inégalité de chances est marquée significativement par les différences raciales, tandis que chez les classes plus favorisées les différences raciales jouent moins sur leurs chances de mobilité sociale. On suggère que les théories de stratification par race et par classe sociale au Brésil méritent d'être repensées en tenant compte des interactions ici observées entre race et classe.

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