Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 4 de 4
Filter
1.
Ghana med. j ; 56(3 suppl): 3-12, 2022. figures, tables
Article in English | AIM | ID: biblio-1399754

ABSTRACT

Objectives: To examine how and why a South-South capacity development and networking program for leadership, research, practice and advocacy on maternal new-born, child and adolescent health and health policy and systems strengthening in West Africa and Cameroon worked and identify lessons for low- and middle-income countries. Design: Single qualitative case study drawing on data from document review, observations, key informant interviews and a deliberative workshop. Ethics approval for primary data collection was obtained from the Ghana Health Service Ethical Review Committee (GHS-ERC 012/10/18). Setting: West Africa and Cameroon Participants: Researchers, policy and programme managers and frontline health workers Interventions: Networking and capacity development Results: The programme made good progress in implementing many but not all planned capacity development and networking activities. The opportunity to network with other organisations and individuals and across countries, disciplines, and languages as well as to learn, to develop skills, and obtain mentorship support, were considered valuable benefits of the partnership. Human and financial resource constraints meant that not all planned interventions could be implemented. Conclusions: Lessons for health policy and systems research capacity building in LMIC include the potential of South-South partnerships, the need for dedicated resources, the potential of Sub-regional health organizations to support capacity building and recognition that each effort builds on preceding efforts of others, and that it is important to explore and understand where the energy and momentum for change lies.


Subject(s)
Health Management , Infant Health , Maternal Health , Public Health Systems Research , Health Policy
2.
Article in French | AIM | ID: biblio-1271851

ABSTRACT

La satisfaction des usagers des établissements sanitaires fait partie de l'appréciation de la qualité des soins. L'objectif était d'étudier la satisfaction des patients hospitalisés dans les services du département de médecine du Centre hospitalier universitaire Souro Sanou (CHUSS) de Bobo-Dioulasso, Burkina Faso. Il s'est agi d'une étude transversale à visée analytique conduite en 8 mois. Les domaines de satisfaction ont été calculés selon le modèle SAPHORA (version 7). Des 294 patients éligibles, 250 (85,0 %) patients ont été retenus dont 42,0 % de femmes. L'âge moyen des patients était de 47,1 (± 17,9) ans. Les domaines à score faible étaient : niveau global de satisfaction, accueil, communication avec le personnel, restauration et organisation de la sortie. Les patients plus âgés et ceux à durée d'hospitalisation plus longue étaient plus satisfaits. Les 94,0 % des patients sans assurance maladie étaient moins satisfaits.Les scores des domaines de satisfaction par service et le score global de satisfaction étaient inférieurs à 50,0 %. Les différences entre les services étaient en lien avec : accueil, qualité humaine du personnel, soins médicaux, hôtellerie, restauration, coûts, et niveau global de satisfaction. L'amélioration de la satisfaction des patients hospitalisés requiert le respect des besoins fondamentaux des patients et une réorganisation des services avec un personnel engagé, pour l'offre de soins et services de santé de qualité


Subject(s)
Academic Medical Centers , Burkina Faso , Hospital Medicine , Inpatients , Patient Satisfaction , Quality of Health Care
3.
Annales des sciences de la santé ; 9(1): 35-59, 2016. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1259368

ABSTRACT

Selon l'OMS, l'utilisation de la contraception a nettement plus d'avantages pour la santé que de risques. Néanmoins, l'accès à la contraception des jeunes reste un problème de santé publique. Cette étude visait à évaluer les connaissances et les pratiques contraceptives des jeunes de Bobo-Dioulasso, et à identifier les obstacles d'utilisation.Il s'agit d'une étude quantitative et transversale. Les données d'enquête ont été recueillies en décembre 2014 à Bobo-Dioulasso, auprès de 573 jeunes de 15 à 24 ans. Ces enquêtés ont été sélectionnés par un sondage en grappes à deux degrés. Pour tous les tests statistiques, le seuil de signification était fixé à p<0,05. La quasi-totalité (99,3%) des jeunes connaissaient au moins une méthode contraceptive moderne. Bien que près de 84,0% d'entre eux soient en situation de cohabitation, les parents étaient les sources d'information les moins citées. Seulement 28,6% des enquêtés sexuellement actifs (ou leurs partenaires) avaient utilisé la contraception lors du premier rapport sexuel. Nous avons aussi constaté que la contraception est devenue la « norme », par l'utilisation du préservatif au début de la relation, puis par la contraception orale lorsque la relation est définie comme stable. Plus les enquêtés étaient âgés, plus ils avaient utilisé un moyen contraceptif (p<0,05).Il est urgent de porter les efforts d'éducation non seulement sur les connaissances, mais aussi sur les pratiques quotidiennes dans la vie sexuelle et les éléments qui les entravent. Il va falloir aussi assurer aux jeunes, la confidentialité et la gratuité de la contraception


Subject(s)
Adolescent , Burkina Faso , Contraception , Contraception Behavior , Pregnancy, Unwanted , Public Health
4.
Health sci. dis ; 15(2): 1-5, 2014. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1262699

ABSTRACT

Objectif. Le diabète est un problème majeur de santé publique, notamment dans les pays à ressources limitées d'Afrique, où sa prévalence ne cesse de croitre. L'objectif de notre étude était de déterminer les caractéristiques thérapeutiques des diabétiques suivis au Centre Hospitalier Universitaire de Bobo-Dioulasso, au Burkina Faso.Méthodes. Nous avons entrepris une étude transversale descriptive de septembre 2010 à juillet 2011, dans le Département de Médecine dudit centre hospitalier, qui a concerné 388 diabétiques consentants, suivis dans le département depuis au moins un an. Les données ont été collectées par revue documentaire, interview, examens physique et complémentaires.Résultats. L'âge moyen des sujets était de 53,5±13,5 ans. Les femmes étaient majoritaires et représentaient 58,0% de l'effectif. Le diabète de type 2 représentait 91,2% des cas, celui de type 1 8,5% des cas. Tous les patients ont déclaré suivre un régime sans sucre d'absorption rapide. Près de sept diabétiques de type 2 sur dix, étaient sous antidiabétiques oraux, à base de biguanides et/ou de sulfamides hypoglycémiants. L'insulinothérapie faisait appel essentiellement aux insulines ordinaire et intermédiaire. L'administration de l'insuline était assurée par le patient lui-même dans environ deux-tiers des cas, cette différence étant statistiquement associée à l'ancienneté du diabète. Seuls 1,5% des diabétiques bénéficiaient d'une assurance-maladie.Conclusion. La prise en charge du diabète est essentiellement assurée par le patient et sa famille au Centre Hospitalier Universitaire de Bobo-Dioulasso. La mise en place de structures de soutien telles l'assurance maladie et les mutuelles de santé, permettrait de soutenir les sujets souffrant de cette pathologie chronique grave


Subject(s)
Academic Medical Centers , /therapy , Disease Management , Insurance, Health
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL