RESUMEN
Aims: Investigating the E codes related to suicide and self-inflicted injuries through the prevalence, the patient characteristics, the methods and means employed and the characteristics of the hospital stays; and compare them with the others E codes group. Study Design: Retrospective hospital-based analytical study. Place and Duration of Study: This study was based on the 2010 data of 13 Belgian hospitals. Methodology: Based on 16406 cases of patients with a least an E code (ICD-9-CM); Pearson’s chi-squaretests, simple logistic regressions and Wilcoxon rank sum tests were used to assess the variations between distributions of the investigated factors according to the injury’s groups. Results: Among all the E codes, prevalence of suicide and self-inflicted injury was equal to 10.6%. The poisoning was the major reported diagnosis. There were significantly Original Research Article British Journal of Medicine & Medical Research, 4(26): 4407-4430, 2014 4408 more discharges without consent in the suicide group than in the others. The length of stay was lowest in the suicide group compared to the others E codes group. The several median costs were always highest among the men, but, regarding the median percentage of the pharmaceutical products, the value was highest among the women. Conclusion: The epidemiological use of hospital data is complementary to the use of both the population-based data and the death certificates; each data source participating to a better comprehension and a better surveillance of the complex continuum of suicidality.
RESUMEN
Introduction: Beaucoup d'enfants vivant avec le VIH ont été infectés par leurs mères. Pour prévenir la transmission verticale les femmes doivent d'abord connaître leur statut sérologique VIH .L'objectif de cette étude était de déterminer la proportion de statut VIH inconnu à la naissance et d'identifier les facteurs associés. Méthodes: C'est une étude transversale réalisée dans 10 structures sanitaires de Lubumbashi de Juin à Septembre 2010. La taille de l'échantillon était de 602 accouchées. Les statistiques descriptives usuelles et la régression logistique ont été utilisées. Résultats: Parmi les accouchées, 52,5 % ignoraient leur statut sérologique. Parmi elles, 62,9 % accepteraient de faire le test VIH à la maternité. La proportion des femmes avec un statut sérologique VIH inconnu était significativement plus élevée chez celles qui n'avaient pas suivi de CPN (Odds Ratio ajusté (ORa) = 5,8; Intervalle de Confiance (IC) 95 % : 1,7-19,8) ; chez celles qui avaient un bas niveau d'instruction (ORa = 1,5 ; IC 95% : 1,1-2,1) et chez celles qui ne savaient pas que la transmission verticale du VIH pouvaient se faire au moment de l'accouchement (ORa = 1,5 ; IC 95 % : 1,0-2,4). Conclusion: La proportion de femmes qui accouchent sans connaître leur statut sérologique au VIH est encore importante, malgré le fait que le dépistage du VIH soit proposé lors des CPN. Dans les zones à haute séroprévalence de VIH, aucune femme ne devrait accoucher sans être dépistée au VIH. Ce serait une opportunité manquée