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1.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(12): 607-620, 2018.
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1266321

RESUMEN

Objectif : Déterminer le taux de Transmission Mère-Enfant du VIH (TME), le suivi post-natal ainsi que les facteurs de risque de perdus de vue sous l'option B+.Patientes et méthodes :Etude prospective des accouchées séropositives au VIH suivies du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2014 à l'HGR de la commune Kenya et du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014 à la maternité de l'Hôpital Général de Référence (HGR) de Kampemba. Ont été étudiés : les caractéristiques socio-démographiques des accouchées,les données cliniques, obstétricales et celles propres à la PTME, la TME, le suivi post-natal et facteurs de risque. L'analyse des données a été faite à l'aide du logiciel Epi info 7.0 ; les fréquences exprimées en pourcentage, le test de Fisher utilisé et le seuil significatif fixé à p < 0,05.Résultats : L'âge des accouchées était de 21 à 43 ans (âge moyen : 31 ans). Presque toutes nos patientes étaient en union conjugale, et au moins 76% d'entre elles avaient atteint 6 ans d'études primaires. Quatre-vingt-trois pour cent des femmes n'avaient aucune activité professionnelle spécifique et 72% se confessaient dans les églises de réveil. La parité variait entre 0 et 12 avec une moyenne de 4 ± 2 ; 61 des 86 gestantes (71%) étaient des multipares (parité > 2). L'âge gestationnel moyen était de 38,8 ± 1,0 SA. La quasi-totalité des accouchements (88 : 98,88%) se sont déroulés par voie naturelle. Des 90 naissances vivantes, 47 nouveau-nés étaient de sexe masculin (52,22%). Le poids de naissance variait entre 1400 et 4200 grammes (moyenne : 3174,57 ± 596,9 grammes). Vingt-huit accouchées étaient connues séropositives avant la grossesse (33,33%), pour 52 femmes, la découverte avait été enregistrée au cours de la grossesse (61,90%) et pour 5 autres lors de l'accouchement (5,95%). Parmi les accouchées, 27 (32,14%) étaient sous TAR à vie avant la grossesse, 53 (63,09%) ont été mises sous thérapie pendant la grossesse et 4 (4,76%) ont démarré la trithérapie à vie lors de l'accouchement. Le taux de CD4 variait entre 3 et 1109/mm3 avec un taux moyen de 429,88 ± 198/mm3. Vingt-six accouchées sur 76 (34,20%) avaient un taux de CD4 < 350/mm3. Soixante-huit nouveau-nés avaient bénéficié de l'allaitement maternel exclusif (83,95%) et 97,62% d'entre eux avaient reçu la névirapine pendant 6 semaines. Considéré à 9 mois et à 12 mois, par rapport aux nourrissons dépistés pour lesquels le statut immunologique a été précisé, le taux de TME serait de 4 nourrissons pour 55 (7,27%) et 4 sur 27 (14,81%) respectivement. Le moment de mise sous TAR maternel ne semble pas avoir influé sur la dynamique de rétention ou non des couples mère-enfant durant les 12 mois de suivi post-natal. Au bout de 12 mois du suivi post-natal, seuls 40 (47,62%) des 84 couples mère-enfant attendus avaient été retrouvés mais l'analyse factorielle en rapport avec les données socio-démographiques n'avait pas identifié formellement les facteurs pouvant expliquer la faible rétention observée dans cette étude à part l'éloignement vis-à-vis du site.Conclusion : Les défis à surmonter notamment dans le suivi post-natal sont le délai d'attente trop long des résultats PCR-DNA ainsi que le nombre élevé des perdues de vue


Asunto(s)
Parto Obstétrico , República Democrática del Congo , Hallazgos Incidentales , Recién Nacido , Transmisión Vertical de Enfermedad Infecciosa/prevención & control
2.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 6512: 607-620, 2016.
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1266314

RESUMEN

Objectif : Déterminer le taux de Transmission Mère-Enfant du VIH (TME), le suivi post-natal ainsi que les facteurs de risque de perdus de vue sous l'option B+.Patientes et méthodes : Etude prospective des accouchées séropositives au VIH suivies du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2014 à l'HGR de la commune Kenya et du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014 à la maternité de l'Hôpital Général de Référence (HGR) de Kampemba. Ont été étudiés : les caractéristiques socio-démographiques des accouchées, les données cliniques, obstétricales et celles propres à la PTME, la TME, le suivi post-natal et facteurs de risque. L'analyse des données a été faite à l'aide du logiciel Epi info 7.0 ; les fréquences exprimées en pourcentage, le test de Fisher utilisé et le seuil significatif fixé à p < 0,05.Résultats : L'âge des accouchées était de 21 à 43 ans (âge moyen : 31 ans). Presque toutes nos patientes étaient en union conjugale, et au moins 76% d'entre elles avaient atteint 6 ans d'études primaires. Quatre-vingt-trois pour cent des femmes n'avaient aucune activité professionnelle spécifique et 72% se confessaient dans les églises de réveil. La parité variait entre 0 et 12 avec une moyenne de 4 ± 2 ; 61 des 86 gestantes (71%) étaient des multipares (parité > 2). L'âge gestationnel moyen était de 38,8 ± 1,0 SA. La quasi-totalité des accouchements (88 : 98,88%) se sont déroulés par voie naturelle. Des 90 naissances vivantes, 47 nouveau-nés étaient de sexe masculin (52,22%). Le poids de naissance variait entre 1400 et 4200 grammes (moyenne : 3174,57 ± 596,9 grammes). Vingt-huit accouchées étaient connues séropositives avant la grossesse (33,33%), pour 52 femmes, la découverte avait été enregistrée au cours de la grossesse (61,90%) et pour 5 autres lors de l'accouchement (5,95%). Parmi les accouchées, 27 (32,14%) étaient sous TAR à vie avant la grossesse, 53 (63,09%) ont été mises sous thérapie pendant la grossesse et 4 (4,76%) ont démarré la trithérapie à vie lors de l'accouchement. Le taux de CD4 variait entre 3 et 1109/mm3 avec un taux moyen de 429,88 ± 198/mm3. Vingt-six accouchées sur 76 (34,20%) avaient un taux de CD4 < 350/mm3. Soixante-huit nouveau-nés avaient bénéficié de l'allaitement maternel exclusif (83,95%) et 97,62% d'entre eux avaient reçu la névirapine pendant 6 semaines. Considéré à 9 mois et à 12 mois, par rapport aux nourrissons dépistés pour lesquels le statut immunologique a été précisé, le taux de TME serait de 4 nourrissons pour 55 (7,27%) et 4 sur 27 (14,81%) respectivement. Le moment de mise sous TAR maternel ne semble pas avoir influé sur la dynamique de rétention ou non des couples mère-enfant durant les 12 mois de suivi post-natal. Au bout de 12 mois du suivi post-natal, seuls 40 (47,62%) des 84 couples mère-enfant attendus avaient été retrouvés mais l'analyse factorielle en rapport avec les données socio-démographiques n'avait pas identifié formellement les facteurs pouvant expliquer la faible rétention observée dans cette étude à part l'éloignement vis-à-vis du site.Conclusion : Les défis à surmonter notamment dans le suivi post-natal sont le délai d'attente trop long des résultats PCR-DNA ainsi que le nombre élevé des perdues de vue


Asunto(s)
República Democrática del Congo , Hallazgos Incidentales , Resultado del Embarazo , Transmisión Sináptica
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