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Intervalo de año
1.
Hematol., Transfus. Cell Ther. (Impr.) ; 44(1): 63-69, Jan.-Mar. 2022. tab, graf, ilus
Artículo en Inglés | LILACS | ID: biblio-1364896

RESUMEN

Abstract Objective We evaluated the relevance of using the smudge cell percentage in the blood smear as a prognostic marker in CLL. Methods In this prospective study, 42 untreated Senegalese patients with CLL were enrolled. The diagnosis was established, based on the peripheral blood count and flow cytometry using the Matutes score. Cytogenetic aberrations, assessed by fluorescence in situ hybridization (FISH), were available for 30 patients, while the immunoglobulin heavy chain genes (IGVH) mutation status was performed by next-generation sequencing (NGS) in 24 patients. The SC percentage was determined in the blood smear, as previously described. Statistical analyses were executed using the GraphPad Prism 8. Results The mean age was 63 years (48 - 85) and the male: female sex ratio was 4.66. A low SC (< 30%) percentage was correlated with Binet stage B/C (p= 0.0009), CD38 expression (p= 0.039), unmutated IGVH status (p= 0.0009) and presence of cytogenetic abnormalities (for del 13q, p= 0.0012, while for other cytogenetic aberrations, p= 0.016). An inverse correlation was found between the SC percentage and the absolute lymphocyte count (r= -0.51) and patients with higher percentage of SCs had a prolonged survival. However, there was no correlation between the SC percentage and age (p= 0.41) or gender (median, 19% for males vs. 20% for females; p= 0.76). Conclusion When less than 30%, the SC was associated with a poor prognosis in CLL. Easy and affordable, the percentage of SCs in a blood smear could be a reliable prognostic marker, accessible to all CLL patients, mainly those in developing countries.


Asunto(s)
Humanos , Masculino , Femenino , Persona de Mediana Edad , Anciano , Anciano de 80 o más Años , Leucemia Linfocítica Crónica de Células B , Pronóstico , Senegal
2.
Revue Marocaine de Rhumatologie ; 39: 51-56, 2017. ilus
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1269357

RESUMEN

Introduction : Les facteurs génétiques du SGS, outre les modèles animaux, sont déterminés par le biais de leurs formes familiales. L'objectif de ce travail était d'étudier les aspects phénotypiques des formes familiales du SGS. Patients et méthodes : Etude réalisée dans le service de Rhumatologie du CHU Aristide Le Dantec de Dakar entre Janvier 2013 et Mars 2016, où nous avons colligé les observations de familles multiplex de SGS répondant aux critères de consensus de 2002.Résultats : Vingt-deux familles ont été colligées à partir de 22 propositus (17 femmes et 5 hommes), d'âge moyen de 31,5 ans au début apparent de la maladie. Le SGS chez ces propositus était primitif dans 8 cas et secondaire à une PR dans 14 cas. Les familles totalisaient 921 membres. Soixante- quinze (54 femmes et 21 hommes), y compris les cas index présentaient un SGS (54 primitifs et 21 secondaires), soit une prévalence de 8,14 %. Les apparentés de premiers degré atteints étaient au nombre de 46 (85%). Les autres maladies auto- immunes associées étaient une PR (16 cas), un lupus systémique (1 cas), une polymyosite (1 cas), une sclérodermie systémique (1 cas), un vitiligo (1 cas) et une maladie de Basedow (1 cas). Les autres affections répertoriées étaient : lymphome oculaire (1 cas), cancer du col de l'utérus (1 cas). L'évolution sous traitement fut favorable, sauf chez 1 cas décédé. Conclusion : Le caractère familial du SGS chez nos malades plaide en faveur de l'implication de facteurs génétiques dans le déterminisme de la maladie


Asunto(s)
Familia , Fenotipo , Senegal , Síndrome de Sjögren/diagnóstico , Síndrome de Sjögren/genética
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