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1.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(12): 581-588, 2018.
Article Dans Français | AIM | ID: biblio-1266319

Résumé

Introduction : La co-infection VIH-VHB constitue un facteur important de morbi-mortalité dans les pays en développement. L'objectif était d'étudier l'effet de la co-infection sur le taux de lymphocytes TCD4+ et la fonction hépatique des patients.Matériels et méthode : Il s'est agi d'une étude rétrospective transversale descriptive et analytique menée à l'hôpital central des armées de Brazzaville du 1er janvier 2015 au 30 septembre 2016. Les données ont été analysées par les logiciels Excel et SPSS 21.Résultats : Cinquante-huit patients étaient porteurs de l'antigène HBs, la séroprévalence hospitalière était de 6,3%. Les tranches d'âges représentatifs étaient de 18 ans à 29 ans et de 30 ans à 39 ans dans (34,62%). Le sex-ratio (H/F) était de 0,5. La co-infection représentait 37,18%. Le taux de lymphocytes TCD4 était inférieur à 200/mm3 chez 61,54% des patients. Le taux de lymphocytes TCD4 était plus bas chez les co-infectés que chez les mono-infectés VIH ; (P-Valeur = 0.000).Conclusion : La co-infection VIH/VHB a un impact négatif sur la fonction hépatique et l'immunité des patients


Sujets)
Congo , Échinococcose hépatique , Infection pelvienne
2.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 64(04): 220-224, 2017. tab
Article Dans Français | AIM | ID: biblio-1266242

Résumé

Introduction : L'objectif de notre étude était d'évaluer la situation des formes résistantes de tuberculose à Brazzaville à partir d'une analyse descriptive transversale de patients au service de médecine interne de l'Hôpital Central des Armées de mars 2014 à Juin 2015.Matériels et méthode : Pour 32 patients ayant répondu aux critères cliniques de recrutement, seuls 25 ont été inclus après confirmation microbiologique de la résistance à la rifampicine. Résultats : Le sex-ratio était de 2,6 en faveur des hommes. L'âge moyen était de 32 ± 7 ans. Les extrêmes d'âge étaient de 19 et 46 ans. Environ 66% des patients étaient dans l'informel. La résistance était présente dans 78% des cas et le diagnostic était long dans 60% des cas. Conclusion : La TB-MDR est une réalité qui pose un problème diagnostique et thérapeutique par manque d'une prise en charge codifiée et d'antituberculeux de deuxième ligne


Sujets)
Congo , Résistance microbienne aux médicaments , Hôpitaux militaires , Rifampicine , Tuberculose multirésistante
3.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 63(9): 457-463, 2016. ilus
Article Dans Français | AIM | ID: biblio-1266208

Résumé

Introduction : La tuberculose demeure un problème de santé publique. Son rapport avec la malnutrition a déjà été noté. L'état nutritionnel influe sur l'immunité qui protège du Bacille de Koch (BK). La gestion efficiente de la tuberculose, nécessite-t-elle une prise en charge de l'état nutritionnel ? Nous avons décidé de déterminer la fréquence de la malnutrition chez les patients atteints de tuberculose pulmonaire et d'évaluer l'influence de la supplémentation alimentaire sur l'évolution de la tuberculose au 2e mois de traitement.Patients et méthode : L'étude était prospective, descriptive et interventionnelle réalisée au service de médecine de l'hôpital central des armées de Brazzaville. Etaient inclus, les patients âgés de 18 ans et plus, nouvellement atteints de tuberculose pulmonaire à bacilloscopie positive avec malnutrition. L'étude comportait une phase pré-inclusion à l'initiation du traitement et une phase post-inclusion au 2e mois du traitement. Le principal critère de jugement était l'augmentation de l'IMC ; l'albuminémie n'ayant pas été dosée.Résultats : La fréquence hospitalière de la malnutrition chez les patients atteints de tuberculose était de 6,8%. A l'initiation du traitement, l'IMC révélait 14,8% de malnutrition légère, 22,22% de malnutrition modérée et 62,96% de malnutrition sévère. Les groupes 1 et 2 n'étaient pas statistiquement différents (P-Valeur = 1). A la fin du 2e mois, l'IMC semblait augmenter dans les 2 groupes. Dans le groupe 1 : 74% ne semblaient plus avoir de malnutrition, 19% semblaient avoir une malnutrition légère et 7% une malnutrition modérée. Il ne semblait plus avoir de malnutrition sévère. Dans le groupe 2 : 44% semblaient récupérer de la malnutrition, 26% semblaient avoir une malnutrition légère, 19% une malnutrition modérés et 11% semblaient toujours avoir une malnutrition sévère. Du point de vue statistique, la supplémentation alimentaire n'a pas influencé l'évolution de la malnutrition à la fin de la phase intensive du traitement antituberculeux (P-valeur =0,085). Conclusion : La supplémentation alimentaire est un volet important mais non-obligatoire de la prise en charge de la tuberculose. Le plaidoyer prioritaire doit toujours être orienté vers la disponibilité des médicaments antituberculeux


Sujets)
Congo , Compléments alimentaires , Évolution de la maladie , Malnutrition , Tuberculose pulmonaire
4.
Sante et Armees ; : 65-1994.
Article Dans Français | AIM | ID: biblio-1271786

Résumé

L'infection en chirurgie est la complication la plus redoutee. A l'Hopital Central des Armees Pierre MOBENGO; de la periode allant du 1er janvier 1987 au 31 decembre 1987; sur 624 malades operes en chirurgie; 86 presentent une infection postoperatoire; soit une incidence de 14;2 pour cent. Les signes d'infection sont: fievre; suppuration de la paroi; septicemie; osteite; pseudo-artrose. Les causes sont multiples: exogenes surtout; liees aux structures non adaptees et au personnel peu qualifie; mais aussi endogenes provenant du malade lui-meme. La prevention est possible par l'amelioration des structures; une meilleure gestion de celles-ci; un personnel qualifie et l'adoption peut-etre de certains protocoles; therapeutiques et prophylactiques


Sujets)
Fièvre , Ostéite , Pseudarthrose , Sepsie , Suppuration , Infection de plaie opératoire/étiologie , Infection de plaie opératoire/prévention et contrôle
SÉLECTION CITATIONS
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