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1.
Ann. afr. méd. (En ligne) ; 11(4): 1-12, 2018. ilus
Artigo em Francês | AIM | ID: biblio-1259047

RESUMO

Contexte et objectifs. La République Démocratique du Congo compte parmi les pays à lourd fardeau pour la tuberculose (TB), l'incidence réelle de la maladie n'est pas formellement connue. La présente étude vise à décrire les tendances de l'incidence notifiée des patients atteints de tuberculose pulmonaire bactériologiquement confirmée (TP+) et leurs issues thérapeutiques. Méthodes. Cette étude documentaire, analyse les données des patients diagnostiqués et traités pour tuberculose de 2007 à 2017 en RDC. L'incidence notifiée des patients TP+, le taux d'accroissement annuel, les issues thérapeutiques ont été recherchés. Les variations du nombre de patients sont exprimées par les proportions. Les tendances sont présentées à travers les courbes de régression linéaire. Les issues thérapeutiques sont comparées à l'aide du z-score avec un seuil significatif de p˂ 0,05. Résultats. Au total 884 458 patients TP+ ont été rapportés, dont 820 858 nouveaux patients (NP TP+) et 63 600 déjà traités. Le taux d'accroissement au cours de cette décade était de 28,95%, soit de 66099 en 2007 à 93767 en 2017 pour les NP TP+. L'augmentation annuelle moyenne était de 2,41% +/- 3,28 pour les NP TP+ et de 5,7% +/- 0,26 par an pour les rechutes. La notification des échecs de traitement initial et repris après abandon de traitement ont une tendance à la baisse. L'évaluation thérapeutique de tous les cas cumulés a concerné 848 163 patients dont 789 716 NP TP+ et 58447 en retraitement. Le succès thérapeutique était de 88,0 % pour les NP TP+ et 70,0 % pour les rechutes, de 64,3 % pour les échecs et de 67,8% pour les repris en traitement après abandon. En somme 70 515 (8,3%) patients ont gardé des expectorations positives. Conclusion. Cette étude montre une tendance à la hausse de notification des cas incidents dont l'issue de traitement répond aux standards de l'OMS. En outre, un nombre des personnes demeurent porteurs de germes persistants précurseurs d'une TB pharmacorésistante acquise


Assuntos
República Democrática do Congo , Tuberculose Pulmonar/tratamento farmacológico , Tuberculose Pulmonar/terapia
2.
Ann. afr. méd. (En ligne) ; 11(4): 1-12, 2018. ilus
Artigo em Francês | AIM | ID: biblio-1259051

RESUMO

Contexte et objectifs. La République Démocratique du Congo compte parmi les pays à lourd fardeau pour la tuberculose (TB), l'incidence réelle de la maladie n'est pas formellement connue. La présente étude vise à décrire les tendances de l'incidence notifiée des patients atteints de tuberculose pulmonaire bactériologiquement confirmée (TP+) et leurs issues thérapeutiques. Méthodes. Cette étude documentaire, analyse les données des patients diagnostiqués et traités pour tuberculose de 2007 à 2017 en RDC. L'incidence notifiée des patients TP+, le taux d'accroissement annuel, les issues thérapeutiques ont été recherchés. Les variations du nombre de patients sont exprimées par les proportions. Les tendances sont présentées à travers les courbes de régression linéaire. Les issues thérapeutiques sont comparées à l'aide du z-score avec un seuil significatif de p˂ 0,05. Résultats. Au total 884 458 patients TP+ ont été rapportés, dont 820 858 nouveaux patients (NP TP+) et 63 600 déjà traités. Le taux d'accroissement au cours de cette décade était de 28,95%, soit de 66099 en 2007 à 93767 en 2017 pour les NP TP+. L'augmentation annuelle moyenne était de 2,41% +/- 3,28 pour les NP TP+ et de 5,7% +/- 0,26 par an pour les rechutes. La notification des échecs de traitement initial et repris après abandon de traitement ont une tendance à la baisse. L'évaluation thérapeutique de tous les cas cumulés a concerné 848 163 patients dont 789 716 NP TP+ et 58447 en retraitement. Le succès thérapeutique était de 88,0 % pour les NP TP+ et 70,0 % pour les rechutes, de 64,3 % pour les échecs et de 67,8% pour les repris en traitement après abandon. En somme 70 515 (8,3%) patients ont gardé des expectorations positives. Conclusion. Cette étude montre une tendance à la hausse de notification des cas incidents dont l'issue de traitement répond aux standards de l'OMS. En outre, un nombre des personnes demeurent porteurs de germes persistants précurseurs d'une TB pharmacorésistante acquise


Assuntos
Bacteriologia , República Democrática do Congo , Tuberculose Pulmonar/diagnóstico , Tuberculose Pulmonar/tratamento farmacológico
3.
Artigo em Inglês | IMSEAR | ID: sea-173666

RESUMO

Each year, an estimated six million perinatal deaths occur worldwide, and 98% of these deaths occur in low- and middle-income countries. These estimates are based on surveys in both urban and rural areas, and they may underrepresent the problem in rural areas. This study was conducted to quantify perinatal mortality, to identify the associated risk factors, and to determine the most common causes of early neonatal death in a rural area of the Democratic Republic of the Congo (DRC). Data were collected on 1,892 births. Risk factors associated with perinatal deaths were identified using multivariate analysis with logistic regression models. Causes of early neonatal deaths were determined by physician-review of information describing death. The perinatal mortality rate was 61 per 1,000 births; the stillbirth rate was 30 per 1,000 births; and the early neonatal death rate was 32 per 1,000 livebirths. Clinically-relevant factors independently associated with perinatal death included: low birthweight [odds ratio (OR)=13.51, 95% confidence interval (CI) 7.82-23.35], breech presentation (OR)=12.41; 95% CI 4.62-33.33), lack of prenatal care (OR=2.70, 95% CI 1.81-4.02), and parity greater than 4 (OR=1.93 95% CI 1.11-3.37). Over one-half of early neonatal deaths (n=37) occurred during the first two postnatal days, and the most common causes were low birthweight/prematurity (47%), asphyxia (34%), and infection (8%). The high perinatal mortality rate in rural communities in the DRC, approximately one-half of which is attributable to early neonatal death, may be modifiable. Specifically, deaths due to breech presentation, the second most common risk factor, may be reduced by making available emergency obstetric care. Most neonatal deaths occur soon after birth, and nearly three-quarters are caused by low birthweight/prematurity or asphyxia. Neonatal mortality might be reduced by targeting interventions to improve neonatal resuscitation and care of larger preterm infants.

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