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1.
Dados rev. ciênc. sociais ; 52(2): 263-299, 2009. tab
Artigo em Português | LILACS | ID: lil-528827

RESUMO

According to a widely held view of Brazilian politics, part of the difficulty Presidents experience in governing the country stems from the fact that national legislators respond to pressures from the States rather than from the national government. Based on the argument, governors use their institutional position not only to influence national debates, but also to determine outcomes via the control they exert over their States' legislative delegations. In this paper we examine an extensive data set composed of all roll-call votes taken in the Chamber of Deputies from 1989 to 2006 in order to separate and evaluate the impact of local pressures on the behavior of national legislators. The data span five Presidencies and four different legislatures and show that, although present, the local influence is weaker than that of the national government in the voting decisions of individual legislators We argue that there are institutional resources that allow the central government to counter the centrifugal pressures exerted by federalism and other aspects of Brazil's current institutional system.


Selon l'avis général, dans la politique brésilienne, quelques-unes des difficultés que les présidents rencontrent dans leur travail, viennent de ce que les législateurs nationaux cèdent aux pressions des États qu'ils représentent plutôt qu'à celles du gouvernement central. Vu leur poste dans l'institution, les gouverneurs des États, non seulement influent sur les débats nationaux, mais aussi sur leurs résultats à travers le contrôle qu'ils exercent sur les députés de leurs États. Dans cet article, on examine un large ensemble de données concernant tous les scrutins nominaux de la Chambre des Députés entre 1988 et 2006, afin d'isoler et d'évaluer l'impact des pressions locales sur la conduite des législateurs de Brasilia. Les données, recouvrant cinq exercices présidentiels et quatre Congrès différents, montrent que, malgré sa présense, l'influence locale est moins notable que celle du gouvernement central sur le vote des législateurs individuels. On suggère que des moyens institutionnels internes du processus de décision permettent au gouvernement central d'agir contre les pressions centrifuges exercées par le fédéralisme et d'autres aspects du système institutionnel actuel.

2.
Dados rev. ciênc. sociais ; 48(4): 737-776, out.-dez. 2005. tab
Artigo em Português | LILACS | ID: lil-454305

RESUMO

The article challenges the contention that individual amendments are crucial for a system of exchanging favors with the Administration by members of Congress interested in distributive policies as a way of guaranteeing their reelection. By analyzing funds allocated through Congressional amendments, their distribution in different government programs, and roll-call votes in the Brazilian House of Representatives from 1996 to 2001, the authors show that: individual amendments are not prioritized either by Congress in the budget's approval or by the Administration in its implementation; there are no differences between the agenda dictated by the Administration and that of the legislators; and party affiliation explains both House floor votes and the implementation of individual amendments and is thus an explanatory variable in the Executive-Legislative relationship.


Dans cet article, on s'oppose à la thèse selon laquelle les amendements individuels sont fondamentaux pour un système d'échanges d'appui au gouvernement de la part de parlementaires aspirant à des politiques distributives comme l'une des formes de garantir leur réélection. A partir de l'analyse des ressources qui ont été attribuées par la voie d'amendements parlementaires, de leur distribution dans les différents programmes gouvernementaux et du vote nominal à la Chambre des Députés entre 1996 et 2001, on montre ici que les amendements individuels ne sont pas privilégiés par le pouvoir législatif lors du vote du budget, ni par le pouvoir exécutif lors de son exécution; il n'y a pas de différences entre un programme dicté par l'exécutif et le programme des législateurs; l'affiliation aux partis peut expliquer non seulement les votes à la Chambre mais aussi l'exécution des amendements individuels, ce qui en fait une variable-clé pour expliquer la relation Exécutif-Législatif.

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