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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2266257

ABSTRACT

Introduction: The COVID-19 pandemic has caused an overload within health care structures in Tunisia, impacting negatively on the management of other pathologies. In this study, we estimated the impact of the COVID-19 pandemic on delay in diagnosis and management of lung cancer in a Department of Pulmonology in Tunisia. Method(s): A retrospective study including patients with lung cancer managed between January 2019 and December 2021 in the Pulmonology IV Department of Abderrahmane Mami Hospital. The patients were divided into two groups: Group 1(G1):(n= 59) included patients diagnosed before Covid-19 pandemic (January/December 2019). Group 2 (G2): (n =71) diagnosed during the Covid-19 pandemic (march 2020/December 2021). Result(s): One hundred and thirty male patients were included with an average age of 60.8 years. The mean delay between the onset of symptoms and the first consultation was 43.27 days in G1 versus 39.92 in G2 . The mean delay between first consultation and the histological diagnosis was significantly longer in G2 (34.3 days vs 31.85 days in G1;p = 0.037). The most common histological type in both groups was adenocarcinoma. Sixty point six percent of patients of G2 were diagnosed at metastatic stage (vs 47.5 % in G1 ). The mean delay between histological diagnosis and initiation of specific treatment was significantly longer in G2 (60.34 days vs 41.67 days in G1 ;p = 0.014). Conclusion(s): The study demonstrates the significant impact of COVID-19 on diagnostic and therapeutic delays for lung cancer patients in our department. A specific care pathway needs to be created in order to ensure treatment within the optimal deadlines.

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):211, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182953

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

3.
Revue de Médecine Interne ; 43:A173-A173, 2022.
Article in French | Academic Search Complete | ID: covidwho-1900135

ABSTRACT

Les dermatoses bulleuses auto-immunes sont des maladies peu fréquentes. Elles ont été associées à certains vaccins. De rares cas ont été décrits avec le vaccin Covid-19. Nous rapportons quatre cas de dermatoses bulleuses post vaccin Covid-19. Nous avons retenu les patients qui ont présenté, soit une poussée de dermatose bulleuse, soit une dermatose bulleuse inaugurale suite à la vaccination anti-covid-19. Le diagnostic a été basé sur des critères cliniques, histologiques et immunologiques. Notre série était constituée de 4 femmes. L'âge moyen était de 64,7 ans. Nous avons retrouvé deux poussées de pemphigus et deux pemphigoïdes bulleuses inaugurales post vaccins covid-19. 1er cas : une patiente âgée de 43 ans, suivie pour pemphigus séborrhéique depuis mars 2014, a présenté 24 h après la 1ère dose de vaccin ChAdOx1-S une poussée de son pemphigus. À l'examen, elle présentait des plaques érythémato-croûteuses au niveau du cou, tronc et des membres avec des érosions post bulleuses motivant une augmentation de la dose de corticothérapie générale pour stabiliser sa maladie avec une bonne évolution après deux mois de suivi. 2e cas : une patiente âgée de 53 ans, suivie pour pemphigus vulgaire depuis 2018 nous a consulté pour poussée de son pemphigus. Elle a reçu une première dose de tozinaméran le 10/06/21 sans incidents et une deuxième dose le 05/07/21. Deux jours après avoir reçu le vaccin, il y a eu apparition de nouvelles bulles et d'érosions au niveau du tronc, des membres avec issue de pus. Cette patiente a été traitée par corticothérapie 1,5 mg/kg/j, azathioprine 50 mg 1cp*2/j pour stabiliser sa maladie avec une dégression progressive de la corticothérapie sur des mois avec une bonne évolution. 3e cas : une patiente âgée de 79 ans aux antécédents de diabète, d'hypertension artérielle et d'hyperthyroïdie s'est présentée à notre consultation pour éruption bulleuse 24 h après le la première dose de vaccin tozinaméran. A l'examen, la patiente présentait des bulles tendues à contenu hémorragique diffuses. La biopsie a montré un décollement bulleux siégeant au niveau de la jonction dermo-épidermique. L'immunofluorescence directe était en faveur d'une pemphigoïde bulleuse. Cette patiente a été traitée par corticothérapie générale avec dégression progressive et une bonne évolution.4e cas : une patiente âgée de 84 ans aux antécédents de diabète, dyslipidémie, hypertension artérielle et d'accident vasculaire cérébral nous a été adressée pour éruption bulleuse survenue 7 jours après la vaccination par BBIBP-CorV. À l'examen, elle présentait de multiples bulles tendues reposant sur une base érythémateuse et des érosions post bulleuses siégeant au niveau du tronc et des membres. L'étude histologique et l'immunofluorescence directe était en faveur d'une pemphigoïde bulleuse. La patiente était mise sous dermocorticoïdes avec une évolution favorable et cicatrisation complète des lésions au bout d'un mois. Chez nos patientes, la survenue de la dermatose bulleuse ou d'une poussée sévère et étendue dans un délai court après la vaccination avec une évolution rapidement favorable sous corticothérapie sans récidive fait suspecter la responsabilité du vaccin Covid-19. Toutefois, compte tenu des risques liés au Covid-19 pour les patients atteints de dermatoses bulleuses et de la rareté de ces évènements, les cliniciens doivent encourager la vaccination complète. (French) [ FROM AUTHOR] Copyright of Revue de Médecine Interne is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full . (Copyright applies to all s.)

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):196-197, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586605

ABSTRACT

Introduction L’épidémie à Covid-19 a mis sous tension les systèmes de soins du pays. L’objectif de cette étude était d’évaluer le vécu des patients suivis pour cancer bronchopulmonaire (CBP) face à la COVID-19 et son impact sur leur prise en charge. Méthodes Il s’agissait d’une étude transversale. Un questionnaire a été donné aux patients suivis pour CBP consultant en hôpital du jour entre janvier 2021 et juin 2021. Le questionnaire comprenait : les caractéristiques socio-démographiques des patients, leur vécu face à la COVID-19 et son impact sur leur prise en charge. Résultats Cette étude a inclus 55 patients de sexe masculin, l’âge moyen était de 61 ans. La pandémie de la COVID-19 a eu un impact négatif significatif sur la prise en charge. 46 % des patients (23) étaient obligés de changer le lieu de suivi initial. Trente-six pour cent étaient obligé de changer son médecin traitant. Depuis la pandémie, 76 % des patients ont raté leurs rendez-vous : 69 % ont peur de la contagion en venant à l’hôpital, 12,7 % sensation d’insécurité et perte de confiance envers l’équipe médicale. Soixante deux pour cent des patients ont signalé l’incessibilité au personnel médical tandis que 56 % ont signalé la négligence de l’équipe para-médicale.89 % ont raté les séances de chimiothérapies suite à la non-disponibilité des traitements anticancéreux ;14 % ont eu un arrêt complet de la chimiothérapie. En plus, la crainte de la mort était avouée par 72 % d’entre eux, un trait dépressif a été noté dans 12 %. Conclusion Notre étude a permis de mettre en évidence le ressenti des patients des conséquences délétères de la pandémie de la COVID-19 sur la continuité des soins.

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