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1.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 2(2):S62-S62, 2023.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2326722

ABSTRACT

Introduction Des cas de COVID-19 graves ont été rapportés chez des enfants et des adolescents, en particulier lorsque ceux-ci sont atteints de maladies chroniques. La réponse vaccinale chez les enfants et les adolescents peut différer de celle des adultes et entre populations pédiatriques. Nous avons évalué la réponse humorale 1 mois après primo-vaccination contre le COVID-19 au sein de populations pédiatriques. Matériels et méthodes Etude ancillaire pédiatrique (5-17 ans) de la cohorte prospective multicentrique française des patients sains ou atteints de maladie chronique (ANRS0001S-COV-POPART, NCT04824651), afin d'évaluer 1 mois après 2 ou 3 doses du vaccin à mRNA BNT162b2 dans chaque sous-population les proportions de répondeurs (IgG anti-Spike positifs), de répondeurs forts (≥2795 BAU/mL), et de répondeurs ayant des anticorps neutralisants spécifiques. Résultats Parmi 148 participants, le sérum de 71 patients et de 27 sujets contrôles ont pu être analysés. La proportion de répondeurs était de 100% (n=27) pour la population contrôle et 92% (n=65) chez les patients. Les 6 patients non-répondeurs concernaient les populations « transplantation d'organe solide (TOS) », « cancer/hémopathie (CH) » (2 leucémies aiguës), et « déficit immunitaire héréditaire (DIH) ». Les sous-populations drépanocytaires (67%), DIH (58%), et rhumatologiques (RMI, 46 %) avaient le plus de répondeurs forts. Parmi les contrôles 96% avaient des anticorps neutralisants spécifiques contre 75% des CH, 82% des TOS, 85% des RMI, et 88% des transplantés de cellules souches hématopoïétiques. Conclusion La réponse humorale au vaccin COVID-19 était généralement bonne chez les enfants et les adolescents sauf dans certaines populations d'immunodéprimées. Aucun lien d'intérêt

2.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 2(2):S142-S142, 2023.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2324571

ABSTRACT

Introduction Les réponses immunitaires humorales 12 mois après la primovaccination Covid-19 par des vaccins à ARNm chez des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ont été comparées à celles obtenues chez des participants contrôles. Matériels et méthodes Les réponses des PVVIH et les contrôles séronégatifs inclus dans la cohorte prospective multicentrique ANRS0001S COV-POPART ont été analysées. Le pourcentage (IC 95%) de répondeurs (anticorps IgG anti-Spike positifs) et les moyennes géométriques des titres (IC 95%) des anticorps IgG anti-Spike (BAU/mL) ont été évalués à 1 mois et 6 mois après la 2ème dose du schéma de primovaccination et à 12 mois uniquement chez ceux ayant reçu une dose de rappel. Les anticorps neutralisants spécifiques (test de neutralisation in vitro contre la souche originale, Delta et Omicron BA.1) ont été mesurés dans un échantillon de participants. Les participants ayant à l'inclusion ou au cours des visites de suivi des anticorps anti-nucléocapside (NCP) positifs ont été exclus. Les tests sérologiques (ELISA Euroimmun) et la séroneutralisation ont été évalués de manière standardisée et centralisée. Résultats Au total, 858 PVVIH et 1156 contrôles ont été inclus. Les PVVIH étaient plus âgées que les contrôles: 55,2 ans (49,6-60,6) vs 46,6 ans (36,3-56,6) et plus fréquemment des hommes (75,1% vs 48,9%). Parmi les PVVIH, 97,3% étaient sous traitement antirétroviral, 95,6% avaient une charge virale indétectable et 71,8% avaient un taux de CD4 supérieur à 500 cellules/mm3. Les participants avaient principalement reçu le BNT162b2 en primovaccination (93% des PVVIH vs 84% des témoins) et 53,1% avaient reçu une dose de rappel (57,2% des PVVIH (délai médian après la 2ème dose: 6,1 mois [5,9-6,7]) et 50,1% des contrôles (délai médian 6,0 mois [5,5-6,2])). Le pourcentage de répondeurs 1 mois après la 2ème dose était élevé mais plus faible chez les PVVIH que chez les contrôles ((98,7% [97,7;99,3] vs 99,9% [99,5;99,9], p=0,0001)). Les PVVIH présentaient des niveaux significativement plus faibles d'anticorps anti-Spike à 1 mois ((1188 [650;2067] vs 1506 [950;2507] BAU/mL, p<0,0001)) et 6 mois (149 [95;235] vs 194 [124;314] BAU/mL, p=<0,0001) mais des niveaux similaires à 12 mois (520 [269;1198] vs 427 [259;1087] BAU/mL, p=0,3387) chez ceux ayant reçu une dose de rappel. Les PVVIH présentaient des anticorps neutralisants significativement plus faibles contre les souches originales, Delta et Omicron BA.1 à 1, 6 et 12 mois après la primovaccination par rapport aux contrôles. La dose de rappel a augmenté de manière significative les titres d'anticorps neutralisants contre les souches originales et Delta et, dans une moindre mesure, contre Omicron. Conclusion Les taux de répondeurs à 1 et 6 mois d'un schéma de primo-vaccination Covid-19 à ARNm étaient élevés chez les PVVIH mais leurs titres d'anticorps totaux et neutralisants étaient inférieurs à ceux des contrôles. Une dose de rappel d'ARNm a augmenté les titres d'anticorps IgG anti-Spike à des niveaux similaires à ceux des contrôles, mais l'activité neutralisante, notamment contre Omicron, est restée plus faible. Liens d'intérêts déclarés P.L. Interventions ponctuelles: Astrazeneca, GSK, Moderna, MSD, Pfizer, Sanofi

3.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 2(2):S145-S146, 2023.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2324298

ABSTRACT

Introduction La vaccination COVID-19 par un schéma hétérologue ChAdOx1-nCoV19/vaccins ARNm pourrait induire une plus forte réponse immunitaire humorale qu'une vaccination homologue jusqu'à 6 mois après la seconde dose;l'activité neutralisante des anticorps à 6 mois est mal connue. Nous avons évalué l'immunogénicité d'une vaccination hétérologue ChAdOx1-nCoV19/BNT162b2 et homologue BNT162b2/BNT162b2 et sa persistance jusqu'à 6 mois. Matériels et méthodes Il s'agit d'une sous-étude de l'étude ANRS0001S COV-POPART (ClinicalTrials.gov NCT04824651), cohorte nationale évaluant l'immunogénicité de la vaccination COVID-19 en populations particulières. Ont été inclus des sujets âgés de 18-54 ans immunocompétents, sans antécédent de COVID-19: 1) groupe 1, ChAdOx1-nCoV19/BNT162b2 ayant reçu 1 dose de BNT162b2 12 semaines après une première dose de ChAdOx1-nCoV19;2) groupe 2, BNT162b2/BNT162b2 ayant reçu 2 doses du vaccin BNT162b2 à 28 jours d'intervalle. Les titres d'IgG anti-Spike (anti-S) et d'IgG neutralisants spécifiques (souche Wuhan chez tous et Omicron (B.1.1.529) dans un sous-groupe) ont été évalués de façon centralisée 1 mois et 6 mois après la seconde dose. La réponse lymphocytaire T (Elispot IFNgamma) a été mesurée à J0 et 1 mois après la 2e dose de vaccin. Résultats Au total, 176 sujets ont été inclus dans le groupe 1 hétérologue (69,9 % de femmes, âge médian 37 ans (IQR 28-44)) et 237 dans le groupe 2 homologue (49,4 % de femmes, âge médian 45 ans (38-51)). Une séroconversion en IgG anti-S était observée chez 175 (99,4 %) et 160/161 (99.4%) respectivement à 1 mois et 6 mois pour les sujets du groupe 1;100% et 125/126 (99.2%) des sujets du groupe 2. Les moyennes géométriques (GMT) des titres en IgG anti-S étaient de 1422,4 BAU/mL (IC95% 1298,0–1558,7) et 219,7 (193,8–249,1) respectivement à 1 et 6 mois dans le groupe 1;1493,5 (1382,1-1614,0) et 234,2 (200,9-272,9) dans le groupe 2. Une séroconversion en IgG neutralisants envers la souche Wuhan était observée chez 100% des sujets testés et 155/160 (96.9%) respectivement à 1 mois et 6 mois dans le groupe 1, 236/237 (99.6%) et 116/125 (92.8%) dans le groupe 2;vis à vis du variant Omicron BA.1, 30/33 (90.0%) et 14/32 (43.8%) à 1 et 6 mois respectivement dans le groupe 1 et 2/5 (40%) et 0/5 dans le groupe 2. Une réponse lymphocytaire T était observée à 1 mois chez 14/18 (77.8%) et 13/18 (72.2%) des participants du groupe 1 et du groupe 2, respectivement. Conclusion Une vaccination hétérologue ChAdOx1-nCoV19/BNT162b2 induit une réponse immunitaire robuste et durable jusqu'à 6 mois après la primo vaccination. La neutralisation envers Omicron est réduite de moitié à 6 mois. Aucun lien d'intérêt

7.
Annales Francaises de Medecine d'Urgence ; 12(6):383-390, 2022.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2228307

ABSTRACT

The current pandemic linked to the emergence of SARS-CoV-2 in 2019 has considerably changed the perception of doctors of the impact of respiratory viruses and their role in community-acquired acute pneumonia (CAP). While more than 25% of CAP in adults were of viral origin, respiratory viruses were often perceived as harmless pathogens. Faced with the challenge that the microbiological documentation of a CAP still represents today, the establishment of empirical antibiotic treatment is often carried out in the emergency room. The COVID-19 pandemic has primarily highlighted the decisive role of molecular biology and chest CT in the diagnostic algorithm of CAP. Indeed, a rapid and reliable diagnosis is the key to improve isolation decisions and reducing the unnecessary prescription of antibiotics. Due to significantly different treatments, it is necessary to distinguish the viral etiology from the bacterial of a CAP. Copyright © 2022 Lavoisier. All rights reserved.

12.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S123-S124, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1867578
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