Variation in biochemical parameters in COVID-19 patients admitted at a tertiary care dedicated COVID hospital: A prospective study.

ABSTRACT

Introduction: COVID-19 infection has a myriad of presentation. Rural India and other developing nations are relatively resource poor, not having access to modern specialized investigations. In this study, we tried to evaluate only biochemical parameters in predicting the severity of the infection. The aim of this study was to find a cost-effective means to predict the clinical course at the time of admission and thereby to reduce mortality and, if possible, morbidity by timely intervention. Materials and Methods: All COVID-19-positive cases admitted at our hospital from March 21 to December 31, 2020, were recruited in this study. The same acted as sham control at recovery. Results: We observed a significant difference in biochemical parameters at the time of admission and discharge, between mild/moderate disease and severe disease. We found slightly deranged liver function tests at admission, which becomes normal at the time of discharge. Urea, C-reactive protein (CRP), procalcitonin, lactate dehydrogenase, and ferritin concentrations in severe/critical patients were significantly higher than that in the mild/moderate group. Receiver operating characteristic curves were plotted to predict the severity on the basis of biochemical parameters independently, of the patients based on these values. Conclusion: We proposed cutoff values of certain biochemical parameters, which will help in judging the severity of the infection at admission. We developed a predictive model with a significant predictive capability for CRP and ferritin values, using normal available biochemical parameters, routinely done in resource-poor centers. Clinicians working in resource-poor situations will be benefitted by having an idea of the severity of the disease. Timely intervention will reduce mortality and severe morbidity.

Résumé Introduction: L'infection au COVID19 a une myriade de présentations. L'Inde rurale et d'autres pays en développement sont relativement pauvres en ressources, non avoir accès aux enquêtes spécialisées modernes. Dans cette étude, nous avons essayé d'évaluer uniquement les paramètres biochimiques pour prédire la gravité de l'infection. Le but de cette étude était de trouver un moyen rentable de prédire l'évolution clinique au moment de l'admission et ainsi de réduire la mortalité et, si possible, la morbidité par une intervention rapide. Matériels et méthodes Tous les cas positifs au COVID19 admis à notre hospitalisés du 21 mars au 31 décembre 2020, ont été recrutés dans cette étude. La même chose a agi comme un contrôle factice lors de la récupération. Résultats Nous avons observé une différence significative dans les paramètres biochimiques au moment de l'admission et de la sortie, entre une maladie légère/modérée et une maladie grave. Nous avons trouvé des tests de la fonction hépatique légèrement dérangés à l'admission, qui deviennent normaux au moment de la sortie. Urée, protéine Créactive (CRP, les concentrations de procalcitonine, de lactate déshydrogénase et de ferritine chez les patients sévères/critiques étaient significativement plus élevées que chez les patients légers/modérés groupe. Les courbes caractéristiques de fonctionnement du récepteur ont été tracées pour prédire la gravité sur la base de paramètres biochimiques indépendamment, deles patients en fonction de ces valeurs. Conclusion: Nous avons proposé des valeurs seuils de certains paramètres biochimiques, qui permettront de juger de la gravité de l'infection à l'admission. Nous avons développé un modèle prédictif avec une capacité prédictive significative pour les valeurs de CRP et de ferritine, en utilisant les paramètres biochimiques normaux disponibles, systématiquement effectués dans les centres pauvres en ressources. Les cliniciens travaillant dans des situations où les ressources sont limitées bénéficier d'avoir une idée de la gravité de la maladie. Une intervention rapide réduira la mortalité et la morbidité grave. Mots-clés COVID19, ferritine, lactate déshydrogénase, urée.