Knowledge, Perceptions and Levels of Utilisation of E-Learning among Medical Students in Nigeria.

BACKGROUND: Globally, electronic learning (e-learning) is being embraced in all spheres, including the field of Medicine, where it has an engrained role in both medical education and practice. OBJECTIVES: The study aimed to assess the knowledge, perception and factors influencing the utilisation of e-learning amongst medical students in Nigeria. METHODS: It was a descriptive, cross-sectional survey. The study involved public and private medical schools across the six geopolitical zones of Nigeria. Five hundred and thirty (530) medical students responded to the online questionnaire (Google forms). Data were analyzed using SPSS version 23.0. RESULTS: The mean age of the participants was 21.5 ± 3.1 years, with 60.8% being females. About three-fifths (59.5%) of the respondents were in public universities, while the remaining were in private universities. Nearly all the respondents (98.1%) were aware of e-learning. The majority believed that e-learning would be useful for lectures and seminars, but not for laboratory demonstrations, clinical demonstrations, and bedside teaching. Class of study (p = 0.002), school ownership (p = 0.034), institutions having e-learning platform (p <0.001); having received e-learning training (p <0.001)) and institution encouraging e-learning for students (p <0.001) were significant predictors of utilization of e-learning. High cost and poor internet connectivity were the most cited disadvantages of e-learning. CONCLUSION: This study showed that e-learning is well known among Nigerian medical students, although some had never utilized it. The high financial costs, poor internet connectivity, and irregular electricity were among the major constraints to the utilization of e-learning.

CONTEXTE: Dans le monde entier, l'apprentissage électronique (elearning) est adopté dans toutes les sphères, y compris dans le domaine de la médecine, où il joue un rôle important dans l'enseignement et la pratique de la médecine. OBJECTIFS: L'étude visait à évaluer la connaissance, la perception et les facteurs influençant l'utilisation de l'apprentissage électronique chez les étudiants en médecine au Nigeria. MÉTHODES: Il s'agissait d'une enquête descriptive et transversale. L'étude a impliqué des écoles de médecine publiques et privées dans les six zones géopolitiques du Nigeria. Cinq cent trente (530) étudiants en médecine ont répondu au questionnaire en ligne (Google forms). Les données ont été analysées à l'aide de SPSS version 23.0. RÉSULTATS: L'âge moyen des participants était de 21,5 ± 3,1 ans,60,8 % étant des femmes. Environ trois cinquièmes (59,5 %) des répondants étaient dans des universités publiques, tandis que les autres étaient dans des universités privées. Presque tous les répondants (98,1 %) connaissaient l'apprentissage en ligne. La majorité d'entre eux pensaient que l'apprentissage en ligne serait utile pour les cours magistraux et les séminaires, mais pas pour les démonstrations en laboratoire, les démonstrations cliniques et l'enseignement au chevet des patients. La classe d'étude (p = 0,002), la propriété de l'école (p= 0,034), les institutions disposant d'une plateforme d'apprentissage électronique (p <0,001), ayant reçu une formation à l'apprentissage électronique (p <0,001)) et les institutions encourageant l'apprentissage électronique pour les étudiants (p <0,001) étaient des prédicteurs significatifs de l'utilisation de l'apprentissage électronique. Le coût élevé et la faible connectivité à internet étaient les inconvénients les plus cités de l'apprentissage en ligne. CONCLUSION: Cette étude a montré que l'apprentissage en ligne est bien connu parmi étudiants en médecine nigérians, même si certains ne l'ont jamais utilisé. Les coûts financiers élevés, la mauvaise connectivité à internet et l'irrégularité de l'électricité sont parmi les principales contraintes à l'utilisation de l'apprentissage en ligne. Mots Clés: Apprentissage en ligne, Connaissances, Étudiants en médecine, Nigeria, Utilisation.

Early Experience of Laparoscopic Surgery in a Teaching Hospital in Rural Nigeria.

INTRODUCTION/BACKGROUND: Laparoscopic surgery is still at its budding phase in low resource countries. The reasons for this include poor financing of the health sector and lack of trained personnel. The aim of this article is to highlight our initial experiences, our challenges in setting up laparoscopic surgery in a private tertiary hospital in rural southwestern Nigeria, and to share our efforts towards alleviating these challenges. METHODOLOGY: A retrospective analysis of all patient who had laparoscopic surgery between January 2019 and December 2020 at the Surgery Department of Babcock University Teaching Hospital, Ilisan, Ogun State was carried out. Their sociodemographic, preoperative and intraoperative data along with postoperative records were subjected to descriptive analysis. RESULTS: During the period, 19 patients had laparoscopic procedures: 12(63.2%) males and 7 (36.8%) females with age ranging from 4 to 63years. The most common indication for laparoscopic surgery was appendicitis, representing 84.2% of the procedures. Most of the procedures were done on emergency basis (63.1%) while 36.9% were elective procedures. All the procedures were therapeutic though in 21.1% we started with diagnostic intent but intra-operatively we proceed to therapeutic procedure following confirmation of the diagnosis. The duration of the procedures ranged from 40 minutes to 107 minutes with a mean duration of 74.8±19 minutes. No intra or post operative complications were recorded in this cohort of patients. The mean duration of hospital stay was 2 days. CONCLUSION: Laparoscopic surgery is safe and feasible in low resource setting. We recommend that centers embarking on laparoscopic surgeries should start with diagnostic procedures and gradually incorporate therapeutic procedures as they improve in proficiency.

INTRODUCTION/CONTEXTE: La chirurgie laparoscopique en est encore à sa phase naissante dans les pays à faibles ressources. Les raisons en sont le faible financement du secteur de la santé et le manque de personnel qualifié. Le but de cet article est de mettre en lumière nos premières expériences, nos défis dans la mise en place de la chirurgie laparoscopique réalisée dans un hôpital tertiaire privé rural du sud-ouest du Nigeria, et de partager nos efforts pour atténuer ces défis. MÉTHODOLOGIE: Une analyse rétrospective de tous les patients ayant subi une chirurgie laparoscopique entre janvier 2019 et décembre 2020 au service de chirurgie de l'hôpital universitaire de Babcock, à Ilisan, dans l'État d'Ogun, a été réalisée. Leurs données sociodémographiques, préopératoires et peropératoires ainsi que les dossiers postopératoires ont fait l'objet d'une analyse descriptive. RÉSULTATS: Au cours de la période, 19 patients ont subi des interventions laparoscopiques : 12 hommes (63,2 %) et 7 femmes (36,8 %) âgés de 4 ans à 63 ans. L'indication la plus fréquente de la chirurgie laparoscopique était l'appendicite, représentant 84,2 % des interventions. La plupart des procédures ont été effectuées en urgence (63,1 %) tandis que 36,9 % étaient des procédures électives. La plupart des procédures étaient thérapeutiques (78,9 %) tandis que les autres (21,1 %) étaient à la fois diagnostiques et thérapeutiques. Pour ce groupe de patients, nous avons commencé par une laparoscopie diagnostique et, en peropératoire, une procédure thérapeutique a été effectuée après confirmation du diagnostic. La durée des procédures variait de 40 minutes à 107 minutes avec une durée moyenne de 74,8 ± 19 minutes. Aucune complication per ou post opératoire n'a été enregistrée dans cette cohorte de patients. La durée moyenne d'hospitalisation était de 2 jours. CONCLUSION: La chirurgie laparoscopique est sûre et faisable dans les milieux à faibles ressources. Nous recommandons que les centres qui se lancent dans des chirurgies laparoscopiques commencent par des procédures de diagnostic et intègrent progressivement des procédures thérapeutiques au fur et à mesure de leur amélioration. Mot-clé: Laparoscopie, Expérience, Rural, Hôpital.

Comparative study of collagen and elastin content of abdominal wall fascia in inguinal hernia and non-hernia patients in an African population.

PURPOSE: Altered composition of collagen and elastin in abdominal fascia has been linked with the pathogenesis of hernias. This has not been studied amongst Africans who have hernia presentations which vary significantly from Caucasian cohorts. The aim of this study was to determine, and compare, the collagen and elastin contents of the transversalis fascia and rectus sheath of inguinal hernia patients with non-hernia controls. METHODS: Twenty-five patients with solitary, primary, uncomplicated inguinal hernia and twenty-five non-hernia controls were evaluated. Biopsies of the transversalis fascia and anterior rectus sheath were stained with Masson Trichrome and Verhöeff van-Gieson to isolate collagen and elastin respectively, which were quantified using the ImageJ/Fiji® image analysis software. RESULTS: Inguinal hernia patients were aged 19-85 years with a mean age of 45.2 years, mean body mass index (BMI) of 23.3 kg/m2 and mean duration of hernia of 42.5 months. Lateral hernias with no hernia defect or posterior wall defect [PL0] were the predominant clinical type. There were significantly lower collagen and higher elastin content in the transversalis fascia and rectus sheath of inguinal hernia patients [P < 0.001]. Regression analysis identified smoking and long duration of hernias as independent predictors of low collagen levels in this study CONCLUSION: Inguinal hernia patients in the study population demonstrated depleted collagen in the connective tissue of the inguinal canal. This might justify the routine use of prosthetic mesh for the reinforcement of the posterior wall during hernia repair.