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1.
Health sci. dis ; 18(1): 48-52, 2017. ilus
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1262773

ABSTRACT

Objectif. Le but de notre travail était de déterminer le profil épidémiologique, le type de pathologie et l'évolution des patientes avec complications obstétricales admises dans les services de réanimation de deux hôpitaux de référence du Cameroun. Patients et méthodes. Il s'agit d'une étude transversale descriptive rétrospective portant sur 177 cas de complications obstétricales admises dans les services de réanimation de l'Hôpital Central de Yaoundé et de l'Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé, du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2015.les paramètres analysées étaient les données sociodémographiques des mères, les antécédents obstétricaux passés et actuels, le type de complications, et la morbimortalité maternelle et fœtale. Résultats. La prévalence des patientes admises pour complications obstétricales était de 6,1 % des hospitalisations de réanimation. L'âge moyen des patientes était de 25,7 ± 7,3 ans. Les femmes célibataires étaient les plus représentées (74%). Les ménagères représentaient 67,2% de l'effectif et les élèves ou étudiantes 17,5%. Il y avait 33.3 % de nullipares et 32.8% de primipares. 52,9% des femmes vivaient en milieu rural et 48,6% n'avaient effectué aucune consultation prénatale. 44% des complications ont été observées entre 37 et 40 semaines d'aménorrhée et 30% dans le post-partum. Les pathologies répertoriées étaient les pathologies hypertensives sur grossesse (72,3%), les hémorragies antépartum (13,5%) et les pathologies infectieuses sur grossesse (10,2%). Le taux de mortalité maternelle était de 9,6% et le taux de mortalité fœtale de 18,5%. Conclusion. Les complications obstétricales 'admises en réanimation sont à l'origine d'une mortalité maternelle et fœtale considérables. La réduction de ces complications passe par l'éducation des patientes, le suivi régulier de la grossesse par un personnel qualifié et entraîné, la détection rapide des complications et leur prise en charge adéquate en milieu spécialisé


Subject(s)
Cameroon , Prognosis , Resuscitation
2.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 63(11): 582-586, 2016. tab
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1266157

ABSTRACT

Objectif : Le but de cette étude était de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et évolutifs de la nécrolyse épidermique toxique à l'Hôpital Central de Yaoundé, et d'identifier les médicaments incriminés dans la survenue de cette maladie. Patients et méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive réalisée dans le service de réanimation de l'Hôpital Central de Yaoundé, portant sur 64 cas de nécrolyse épidermique toxique, diagnostiqués entre le 1er octobre 2005 et le 30 septembre 2015. Résultats : La prévalence de la nécrolyse épidermique toxique a été estimée à 2% des patients hospitalisés. Il y avait une prédominance féminine (sex-ratio de 1 : 1,6 en faveur des femmes). L'âge moyen des patients était 32,7 ± 22 ans avec une prédominance des jeunes âgés de 20 à 40 ans (75%). Le syndrome de Lyell était le plus fréquent (62%), suivi de la forme intermédiaire (25%) et du syndrome de Stevens-Johnson (13%). Et dans 67,2% des cas, cette maladie survenait chez des patients infectés par le VIH. L'évolution a été marquée par un taux de mortalité de 56,3%, tous présentant le syndrome de Lyell. Parmi les médicaments incriminés, le Sulfaméthoxazole-Triméthoprime était en tête (56,2%), suivi par la Sulfadoxine-Pyriméthamine (18,7%) et la Névirapine (11%). Chez 8 patients (12,5%), aucun médicament n'a été formellement mis en cause. Conclusion : La nécrolyse épidermique toxique est fréquemment rencontrée et diagnostiquée. Elle est causée par des médicaments reconnus allergisants et inducteurs de toxidermie. L'usage de ces médicaments devrait faire pondérer le bénéfice thérapeutique attendu par le risque encouru


Subject(s)
Cameroon , Stevens-Johnson Syndrome , Stevens-Johnson Syndrome/diagnosis
4.
Health sci. dis ; 14(4): 1-5, 2013. tab
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1262680

ABSTRACT

OBJECTIF: L'objectif était d'évaluer la faisabilité, les indications et les complications de la rachianesthésie en chirurgie pédiatrique à l'Hôpital Central de Yaoundé. MÉTHODOLOGIE : Il s'agissait d'une étude descriptive, prospective s'étalant sur 12 mois d'octobre 2009 à septembre 2010 à l'Hôpital Central de Yaoundé. Etaient inclus tous les patients de 1 jour à 16 ans devant subir une chirurgie sous ombilicale sous rachianesthésie. RÉSULTATS : Cinquante cinq patients âgés de un jour à 16 ans ont été colligés dont 38 garçons (69,09)% et 17 filles (30,9%), soit un sex ratio de 2,23. Il y avait 81.8% de patients ASA1 et 18,2% de patients ASA2. 34,54% avaient entre 0 et 5 ans ; 21,81% entre 5 et 10 ans, et 46,35% au-dessus de 10 ans. 81,8% des chirurgies étaient programmées et 18,2% étaient en urgence. La rachianesthésie a été réalisée par les infirmiers anesthésistes dans 14,55% des cas. Dans 58,19% des cas, le niveau de ponction se situait entre L4 et L5.Les aiguilles G22 ont été utilisées dans 89,09% des cas. Les chirurgies les plus fréquentes étaient viscérales (49,1%), traumatologiques (36,36%) et urologiques (14,54%). Les indications les plus fréquentes étaient la cure d'hydrocèle, la hernie inguinoscrotale (48,15%) et l'ostéosynthèse du fémur (35%). La durée moyenne de toutes les interventions était de 63,76 ±19,39 minutes, la plus longue ayant duré jusqu'à 130 minutes. Aucune complication n'a été enregistrée. CONCLUSION : La rachianesthésie est de plus en plus utilisée dans la pratique en anesthésiologie pédiatrique à Yaoundé. Ses indications couvrent en général les chirurgies abdominales sous-ombilicales et des membres inférieurs. Elle procure une anesthésie pouvant durer jusqu'à 130 mn. Elle est fiable, facile, sûre et semble n'avoir aucun effet secondaire


Subject(s)
Anesthesia, Spinal , Anesthesia, Spinal/adverse effects , Cameroon , Pediatrics , Surgical Procedures, Operative
5.
Med Trop (Mars) ; 69(6): 577-80, 2009 Dec.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-20099673

ABSTRACT

PURPOSE: The purpose of this article is to present the results of a descriptive and retrospective study of the operations of the emergency medical assistance service (SAMU) in Yaounde, Cameroon. METHODS: Medical regulation and intervention records and monthly statistics forms were analysed for the period going from the creation of the SAMU in 2004 to March 2007. Study was limited to call reception, medical regulation, and extra-hospital and training activities. Study focused on operations and services. RESULTS: The SAMU in Cameroon is managed by a pilot committee presided by the Minister of Public Health and headed by a technical executive secretary. The single phone number to contact SAMU Yaoundé is 19 (119). When a call comes, the personnel on duty in the regulation room identifies the caller and either gives a non-medical response or transfers the call to an on-call emergency doctor who decides whether or not on-site intervention is required. In the 3-year study period, the SAMU received 50,822 calls per year (mean, 1694 +/- 2195). There were 1 596 prank calls (3.14%), 31 044 (61.08%) calls requesting non-medical information, and 2054 (4.04%) calls requiring on-site intervention. The number of calls decreased by 23% from the first to third year of operation. The number of on site-interventions carried out by Yaoundé SAMU was 578 in the first year, 651 in the second and 825 in the third year. A total of 1555 interventions were carried out including 142 that ended in no action and 107 that ended in late arrival. Road traffic accidents were the main reason for intervention. Only one training session was organised for the personnel during the first year of operations. CONCLUSION: The SAMU Yaoundé is based on the French model (on-site care). The number of calls has dropped from the first to third year but the number of prank calls has also decreased. Road traffic accidents accounted for most of the on-site interventions. Further work is needed to increase public awareness of the importance of the SAMU and to provide training for SAMU personnel.


Subject(s)
Emergency Medical Services/organization & administration , Emergency Medical Services/statistics & numerical data , Accidents, Traffic/statistics & numerical data , Cameroon , Humans , Retrospective Studies
6.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-1622103

ABSTRACT

We reviewed sonographic findings and evaluated the impact of conventional ultrasound (US) in the management of 99 consecutive black africans with liver cirrhosis. Patients were studied in the University teaching Hospital of Yaoundé (Cameroon). There were 73 males and 26 females, with a mean age of 49 years (range 15 to 71 years). 90 p. cent patients presented with symptoms suggestive of liver disease. The commonest sonographic liver abnormalities were: echo coarseness with poor depiction of intrahepatic vessels, irregularity of the liver surface, hypertrophy of caudate lobe, hepatomegaly, and decreased beam penetration through the liver. Ascitis and other signs of portal hypertension were present respectively in 44 p. cent and 33 p. cent of subjects. 15 p. cent of subjects had hepatocellular carcinoma. Choletithiasis was seen in 6 subjects (6%), and chronic pancreatitis in 3 patients (3 p. cent). For 21 patients (21 p. cent), US depicted significant abdominal disease which was not clinically suspected, and for 10 patients (10 p. cent), it discovered silent liver cirrhosis. Our findings suggest that conventional US may be a useful tool in the management of some black african subjects with liver cirrhosis.


Subject(s)
Liver Cirrhosis/diagnostic imaging , Adolescent , Adult , Aged , Cameroon , Female , Humans , Male , Middle Aged , Retrospective Studies , Ultrasonography
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