Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 1 de 1
Filter
Add more filters










Database
Language
Publication year range
1.
J Obstet Gynaecol Can ; 37(2): 122-128, 2015 Feb.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-25767944

ABSTRACT

OBJECTIVE: To determine levels of HPV awareness and knowledge in higher-risk young women and their attitudes toward HPV vaccination and catch-up programs. METHODS: An anonymous, cross-sectional, Internet-based, self-reported questionnaire was completed by women ages 13 to 25 attending two outreach clinics. Primary outcomes were HPV infection/vaccine awareness, vaccination rates, and catch-up program acceptability. Chi-square, Fisher exact test, and logistic regression analyses were performed. RESULTS: Of 105 respondents (mean age 19.32), 66.7% received social assistance and 54.3% relied on walk-in clinics. Overall HPV awareness was 81.0% and vaccine awareness was 76.2%. HPV awareness was significantly higher in women < 20 years old (P = 0.032) and with past sexually transmitted infection (STI) history (P = 0.039) but didn't differ by education level. Vaccine awareness differed significantly with STI history (P = 0.031) but not by age or education level. Awareness of HPV's association with genital warts and cervical cancer was low (30.0%, 41.9%) and didn't differ by education level or sexually transmitted infection history. Thirty percent had been vaccinated (of those, 42% had received 3 doses), mainly in school-based programs (71%). Odds of vaccination were significantly higher in those with a family doctor (OR 8.08). Reasons for not being vaccinated included: "Did not know about it"(28.5%) and "Don't know" (28.5%). Catch-up program acceptability was high (92.8%, 95.2% if free) and did not differ significantly by age or education level. CONCLUSION: Higher-risk young women may have high levels of HPV infection/vaccine awareness but lack knowledge of HPV consequences. Those who missed or did not complete HPV vaccination opportunities would support free catch-up vaccination programs in accessible, youth-friendly centres.


Objectif : Déterminer le niveau de sensibilisation au VPH et l'état des connaissances à ce sujet chez des jeunes femmes exposées à des risques accrus, ainsi que les attitudes de ces dernières envers la vaccination anti-VPH et les programmes de rattrapage. Méthodes : Un questionnaire Web d'autoévaluation anonyme et transversal a été rempli par des femmes (âges : 13-25 ans) fréquentant deux cliniques destinées à des groupes mal desservis. La sensibilisation à l'infection au VPH / à la vaccination anti-VPH, les taux de vaccination et l'acceptabilité des programmes de rattrapage constituaient les critères d'évaluation principaux. Le test de chi carré, le test exact de Fisher et des analyses de régression logistique ont été menés. Résultats : Parmi les 105 répondantes (âge moyen : 19,32), 66,7 % recevaient de l'aide sociale et 54,3% avaient recours aux services de cliniques sans rendez-vous. Le taux global de sensibilisation au VPH était de 81,0 % et le taux de sensibilisation à la vaccination était de 76,2 %. La sensibilisation au VPH était considérablement accrue chez les femmes de moins de 20 ans (P = 0,032) et chez celles qui présentaient des antécédents d'infection transmissible sexuellement (ITS) (P = 0,039); toutefois, elle n'était pas affectée par le niveau de scolarité. La sensibilisation à la vaccination variait considérablement en fonction des antécédents d'ITS (P = 0,031), mais non pas en fonction de l'âge ou du niveau de scolarité. La sensibilisation à l'association entre le VPH et les verrues génitales et le cancer du col utérin était faible (30,0 %, 41,9 %) et ne variait ni en fonction du niveau de scolarité ni en fonction des antécédents d'ITS. Trente pour cent des répondantes avaient été vaccinées (chez celles-ci, 42 % avaient reçu trois doses), principalement dans le cadre de programmes scolaires (71 %). La probabilité d'une vaccination était considérablement accrue chez les répondantes qui pouvaient compter sur les services d'un médecin de famille (RC, 8,08). Parmi les raisons expliquant le fait de ne pas avoir été vaccinée, on trouvait les suivantes : « Je n'étais pas au courant ¼ (28,5 %) et « Je ne sais pas ¼ (28,5 %). L'acceptabilité des programmes de rattrapage était élevée (92,8 %, 95,2 % si l'accès était gratuit) et ne variait pas de façon considérable en fonction de l'âge ou du niveau de scolarité. Conclusion : Les jeunes femmes exposées à des risques accrus pourraient disposer d'une sensibilisation élevée à l'infection au VPH / à la vaccination anti-VPH, tout en présentant un manque de connaissances quant aux conséquences du VPH. Celles qui n'ont pu se prévaloir d'occasions de se faire vacciner contre le VPH (ou qui n'ont pu terminer un cycle de vaccination anti-VPH) seraient en faveur de l'offre de programmes gratuits de rattrapage de la vaccination au sein de centres accessibles et axés sur la jeunesse.


Subject(s)
Health Knowledge, Attitudes, Practice , Papillomavirus Infections/psychology , Papillomavirus Vaccines/administration & dosage , Vaccination/psychology , Adolescent , Adult , Community-Institutional Relations , Cross-Sectional Studies , Female , Humans , Papillomavirus Infections/prevention & control , Patient Acceptance of Health Care/statistics & numerical data , Vaccination/statistics & numerical data , Young Adult
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL
...