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1.
J Can Acad Child Adolesc Psychiatry ; 28(2): 82-90, 2019 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-31447906

ABSTRACT

OBJECTIVE: From 2007-2017, pediatric emergency department (ED) visits for mental health concerns increased by 66% in Canada, with repeat visits accounting for a significant proportion of all visits. Our objective was to examine patient and visit characteristics associated with repeat visits to a tertiary care pediatric ED for mental health concerns. METHOD: Data were obtained from the administrative records of McMaster Children's Hospital ED for mental health-related visits from February 2013-December 2017. Data on 9,018 ED visits made by 4,976 unique patients were included in this study. Logistic regression analysis was used to examine characteristics associated with repeat visit within six months of index presentation. RESULTS: 22% (n=1,088) of individuals returned to the ED for a mental health concern within six months following their index visit. A repeat visit within six months was associated with female sex (OR=1.19, p=0.019), age of 14-17 years (OR=1.42, p=0.016), receiving a risk assessment by the emergency psychiatry team (OR=1.63, p<0.001) and having an inpatient psychiatric admission (OR=1.67, p<0.001) at the index visit. Receiving anxiety-related discharge diagnoses at an index visit reduced the odds of a repeat visit within 6 months (OR=0.76, p=0.035), while receiving depression-related discharge diagnoses increased the odds of a repeat visit, but only for females (OR=1.3, p=0.011 vs. OR=0.93, p=0.589 for males). CONCLUSIONS: We found that approximately one in five patients presenting to the ED for a mental health concern have a repeat visit within six months, consistent with previous studies. This study provides support for previously identified risk factors for repeat visits and offers information on interactions between patient sex and diagnosis.


OBJECTIF: De 2007 à 2017, les visites au service d'urgence (SU) pédiatrique pour des problèmes de santé mentale ont augmenté de 66 % au Canada, les visites répétées représentant une proportion significative de toutes les visites. Notre objectif était d'examiner les caractéristiques des patients et des visites associées aux visites répétées à un SU pédiatrique de soins tertiaires pour les problèmes de santé mentale. MÉTHODE: Les données ont été obtenues des dossiers administratifs du SU de l'Hôpital pour enfants McMaster pour les visites liées à la santé mentale de février 2013 à décembre 2017. Les données de 9 018 visites au SU faites par 4 976 patients uniques ont été incluses dans l'étude. L'analyse de régression logistique a servi à examiner les caractéristiques associées aux visites répétées en dedans de six mois de la première visite. RÉSULTATS: 22 % (n = 1 088) des personnes sont revenues au SU pour un problème de santé mentale en dedans de six mois de leur première visite. Une visite répétée en dedans de six mois était associée au sexe féminin (RC = 1,19, p = 0,019), à l'âge de 14 à 17 ans (RC = 1,42, p = 0,016), à la réception d'une évaluation du risque par l'équipe psychiatrique de l'urgence (RC = 1,63, p < 0,001) et à une hospitalisation psychiatrique (RC = 1,67, p < 0,001) à la première visite. Recevoir des diagnostics liés à l'anxiété au congé de la première visite réduisait les probabilités d'une visite répétée en dedans de 6 mois (RC = 0,76, p = 0,035), alors que recevoir des diagnostics liés à la dépression au congé augmentait les probabilités d'une visite répétée, mais seulement pour les femmes (RC = 1.3, p = 0,011 c. RC = 0,93, p = 0,589 pour les hommes). CONCLUSIONS: Nous avons constaté qu'environ un patient sur cinq qui se présente au SU pour un problème de santé mentale a une visite répétée en dedans de six mois, conformément aux études précédentes. Cette étude apporte un appui aux facteurs de risque précédemment identifiés pour les visites répétées, et offre de l'information sur les interactions entre le sexe des patients et le diagnostic.

2.
J Can Acad Child Adolesc Psychiatry ; 26(2): 98-103, 2017 Jul.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-28747932

ABSTRACT

OBJECTIVE: To examine the prescribing practices of quetiapine for insomnia at a tertiary care child and adolescent psychiatric inpatient unit. METHOD: A retrospective chart review was conducted on all admissions in 2013 involving night-time only prescription of quetiapine. We examined patient demographics, discharge diagnoses, physician's written indications for prescriptions, and maximum doses used. If used for insomnia only, we noted any documentation of past sedative trials, concurrent prescriptions of other sedative agents, whether quetiapine was started in hospital or continued as a part of a community regimen, and whether quetiapine was continued on discharge. RESULTS: Of 720 admissions, 83 (11.5%) involved the prescription of night-time only quetiapine, and 47 of the 83 (57%) were for insomnia only. Of patients prescribed quetiapine for insomnia only, most common discharge diagnoses were anxiety disorder (35%), depressive disorder (27%), eating disorder (27%), and Cluster B/borderline personality traits/disorder (25%). Mean age was 15.4 years; mean maximum dose was 41.2 mg. Quetiapine was often started during admission (89.5%) and continued on discharge (66%). About 40% of these cases involved concurrent prescription of other sedative agents. Most patients (81%) had no documented history of prior sedative trials. CONCLUSIONS: Quetiapine is used not infrequently for the management of insomnia in adolescents in tertiary mental health settings. We highlight the nuances associated with the prescription of quetiapine for the treatment of insomnia in the unique setting of the child and adolescent psychiatric inpatient unit, emphasizing the importance of weighing short-term use with potential long-term adverse consequences if continued in the community setting.


OBJECTIF: Examiner les pratiques de prescription de quétiapine pour l'insomnie dans une unité psychiatrique de soins tertiaires pour enfants et adolescents hospitalisés. MÉTHODE: Un examen des dossiers rétrospectif a été mené pour toutes les admissions de 2013 impliquant une prescription de quétiapine pour la nuit. Nous avons examiné les données démographiques des patients, les diagnostics au congé de l'hôpital, les indications de prescriptions écrites par le médecin, et les doses maximum utilisées. Si la quétiapine était utilisée pour l'insomnie seulement, nous avons pris en note toute documentation d'essais passés de sédatifs, les prescriptions concurrentes d'autres agents sédatifs, que la quétiapine ait été commencée à l'hôpital ou qu'elle soit poursuivie dans le cadre d'une pharmacothérapie communautaire, ou encore qu'elle soit continuée au congé. RÉSULTATS: Sur 720 admissions, 83 (11,5 %) impliquaient la prescription de quétiapine de nuit, et sur ces 83, 47 (57 %) étaient pour insomnie seulement. Sur les patients à qui la quétiapine a été prescrite pour insomnie seulement, les diagnostics au congé les plus communs étaient un trouble anxieux (35 %), un trouble dépressif (27 %), un trouble alimentaire (27 %), et un trouble/traits de personnalité limite du groupe B (25 %). L'âge moyen était 15,4 ans, et la dose maximum moyenne était 41,2 mg. La quétiapine était souvent commencée durant l'hospitalisation (89,5 %) et poursuivie au congé (66 %). Quelque 40 % de ces cas impliquaient une prescription concurrente d'autres agents sédatifs. La plupart des patients (81 %) n'avaient pas d'antécédents documentés d'essais de sédatifs antérieurs. CONCLUSIONS: La quétiapine n'est pas rarement utilisée pour la prise en charge de l'insomnie chez des adolescents dans des établissements de soins de santé mentale tertiaires. Nous présentons les nuances associées à la prescription de quétiapine pour le traitement de l'insomnie dans le contexte unique d'une unité psychiatrique pour enfants et adolescents hospitalisés, en soulignant l'importance d'évaluer l'utilisation à court terme contre les conséquences indésirables potentielles à long terme si l'utilisation se poursuit en milieu communautaire.

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