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Physiother Can ; 69(4): 280-289, 2017.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-30369695

ABSTRACT

Purpose: This article evaluates, describes, and addresses a gap in British Columbia physiotherapists' knowledge of the decision making required for the diagnostic imaging of patients after traumatic neck injury. Method: An online survey of orthopaedic physiotherapists in British Columbia was undertaken to explore their awareness of, knowledge of, and attitudes toward the Canadian Cervical Spine Rule (C-Spine Rule) and decision making regarding the need for diagnostic imaging in managing patients with traumatic neck injury. The survey included questions about managing clinical scenarios; respondents' awareness, knowledge, and use of a specific clinical decision rule-the C-Spine Rule-and any perceived barriers to using clinical practice guidelines in general and the C-Spine Rule in specific. The survey also included questions about the facilitators of and barriers to using the C-Spine Rule. These data were used to guide development of a tool kit to facilitate use of the rule. Results: Of 889 physiotherapists, 467 (52.5%) completed the survey. Given a scenario in which imaging was indicated according to the C-Spine Rule, 95.2% of the respondents correctly recommended imaging. However, in a scenario in which imaging was not indicated, 42.7% incorrectly recommended it. The barriers to using the guidelines included their perceived rigidity, role limitation, and reliance on clinical judgment. The results indicated a need for, and guided development of, resources to facilitate the use of the C-Spine Rule by British Columbia physiotherapists. Conclusions: We identified a gap in the knowledge of British Columbia physiotherapists in identifying which patients were most likely to require imaging after sustaining a traumatic neck injury. We developed a tool kit to address these barriers. British Columbia physiotherapists have accessed this resource extensively. Evaluating its impact on clinical practice, although desirable, was not feasible.


Objectif : évaluer, décrire et corriger une lacune dans les connaissances des physiothérapeutes de la Colombie-Britannique (C.-B.) sur les prises de décision nécessaires à l'égard de l'imagerie diagnostique après un traumatisme cervical. Méthodologie : les chercheurs ont lancé un sondage en ligne auprès des physiothérapeutes orthopédiques de la C.-B. pour évaluer leurs connaissances et leurs attitudes au sujet des règles canadiennes relatives à la colonne cervicale (RCC) et de la prise de décision entourant la nécessité de procéder à une imagerie diagnostique pour traiter les patients atteints d'un traumatisme cervical. Le sondage comprenait des questions sur la gestion des scénarios cliniques, les connaissances des répondants au sujet d'un outil de décision clinique (les RCC), leur utilisation de cet outil et les obstacles perçus à l'utilisation de guides de pratique clinique en général et des RCC en particulier. Le sondage contenait également des questions sur les incitations et les obstacles à l'utilisation des RCC. Les chercheurs ont utilisé ces données pour orienter l'élaboration d'un outil visant à faciliter le recours à ces règles. Résultats : au total, 467 des 889 physiothérapeutes (52,5 %) ont rempli le sondage. À la lecture d'un scénario où l'imagerie était indiquée d'après les RCC, 95,2 % des répondants ont bien recommandé l'imagerie. Cependant, dans un scénario où l'imagerie n'était pas indiquée, 42,7 % recommandaient l'imagerie à tort. Les obstacles à l'utilisation des lignes directrices incluaient une perception de rigidité, les limites de leur rôle et le fait de se fier au jugement clinique. Les résultats démontraient la nécessité de préparer des ressources pour faciliter l'utilisation des RCC par les physiothérapeutes de la C.-B. et en ont orienté la préparation. Conclusions : les chercheurs ont constaté une lacune dans les connaissances des physiothérapeutes de la C.-B. qui doivent repérer les patients les plus susceptibles d'avoir besoin d'imagerie après un traumatisme cervical. Ils ont préparé un outil pour vaincre ces obstacles. Les physiothérapeutes de la C.-B. ont abondamment consulté cette ressource. Même s'il aurait été souhaitable d'en évaluer les répercussions sur la pratique clinique, il n'a pas été possible de le faire.

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