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1.
Plast Surg (Oakv) ; 32(2): 226-234, 2024 May.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-38681241

ABSTRACT

Objective: To determine which surgical technique offers the lowest rate of velopharyngeal insufficiency (VPI) without the need for further operative intervention, in pediatric patients with nonsyndromic submucous cleft palate (SMCP). Methods: This systematic review and meta-analysis included articles reporting on nonsyndromic pediatric patients treated surgically during childhood for SMCP, with data on postoperative speech outcomes and/or recommendations for secondary surgery. Main outcome measures included rates of unfavorable speech outcomes defined as persistent VPI requiring secondary surgery and speech outcome data. Results: 15 articles met our inclusion criteria, reporting on 383 children who underwent surgical treatment; 343 patients were included in studies reporting recommendations for secondary surgery. There was 1 randomized comparative trial, 4 comparative studies, and 10 single cohort studies. Eight articles used validated speech assessment tools. Our model showed the proportion of patients recommended for secondary surgery varied between techniques, ranging from 0.0% (CI 0.0, 1000) in pharyngeal flap to 17.8% (CI 8.9, 32.5) in straight line repair techniques, but there was no statistically significant difference between treatments (P = .33). Speech improvement ranged from 44.4% to 100%, with 9 studies recommending secondary surgery for some of their patient series. Conclusions: Although not of statistical significance, pharyngeal flap yields the lowest rate of reoperation as a primary technique for pediatric patients with nonsyndromic SMCP. Delayed repair age inherent to SMCP may render operations that rely on a functional levator muscle with less favorable outcomes. The absence of standardized surgical techniques, speech outcomes, speech therapy, and assessment make comparative analysis and recommendation difficult. We advocate for standardized speech assessment tools to improve future quantitative assessment of cleft surgery outcomes and a randomized controlled trial to better elucidate the preferred first-line technique.


Objectif: Déterminer les techniques chirurgicales qui offrent le plus bas taux d'insuffisance vélopharyngée (IVP) sans autre intervention opératoire chez les patients pédiatriques présentant une fissure palatine sous-muqueuse (FPSM) non syndromique. Méthodologie: La présente analyse systématique et méta-analyse incluait des articles rendant compte de patients pédiatriques non syndromiques ayant reçu un traitement chirurgical pendant l'enfance à cause d'une FPSM, y compris des données sur l'élocution postopératoire ou les recommandations en vue d'une opération secondaire. Les principales mesures de résultats incluaient les taux d'élocution défavorables définis comme une IVP persistante exigeant une opération secondaire et les données sur les résultats de l'élocution. Résultats: Au total, 15 articles respectaient les critères d'inclusion et rendaient compte de 383 enfants qui ont subi un traitement chirurgical; 343 patients ont participé à des études qui recommandaient une opération secondaire. Ces articles incluaient une étude comparative randomisée, quatre études comparatives et dix études de cohortes uniques. Huit faisaient appel à des outils d'évaluation de l'élocution validés. Le modèle des auteurs démontrait que la proportion de patients chez qui on recommandait une opération secondaire variait selon les techniques, soit de 0,0 % (IC, 0,0, 100,0) pour la technique de lambeau pharyngien à 17,8 % (IC, 8,9, 32,5) pour la technique de réparation linéaire, mais il n'y avait pas de différence significative entre les traitements (p=0,33). L'amélioration de l'élocution oscillait entre 44,4 % et 100 %, neuf études recommandant une opération secondaire pour certains patients de leur série. Conclusions: Même si ce résultat n'avait pas de signification statistique, le lambeau pharyngé est associé au taux de réopération le plus faible lorsqu'il est utilisé comme technique primaire chez les patients pédiatriques ayant une FPSM non syndromique. En raison de l'âge tardif de réparation inhérent à la FPSM, les opérations qui reposent sur le muscle élévateur fonctionnel peuvent donner des résultats moins favorables. Il peut être difficile de procéder à une analyse comparative et de formuler des recommandations à cause de l'absence de techniques chirurgicales standardisées, de résultats sur l'élocution, d'orthophonie et d'évaluation. Les auteurs préconisent des outils d'évaluation de l'élocution standardisés pour améliorer la future évaluation quantitative des résultats de l'opération de la fissure palatine et la tenue d'une étude contrôlée randomisée pour mieux déterminer la technique de première ligne à favoriser.

2.
Plast Surg (Oakv) ; 30(3): 246-253, 2022 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-35990392

ABSTRACT

Objectives: The hospital can be saturated with noxious smells. Anecdotally, medical staff apply products to surgical masks to lessen the impact of these smells. This study aimed to determine the odour-masking ability of 4 inexpensive and convenient products. Methods: A randomized, single-blinded crossover study was conducted in Vancouver, Canada. Participants, 19 to 30 years old, were invited to participate. Participants with active allergies, upper respiratory tract infection, alteration to sense of smell, or failure of olfactory screen were excluded from the study. An experimental odour was used in lieu of a noxious surgical odour. After smelling the experimental odour without barriers, participants were re-exposed to the odour using 5 surgical masks in randomized order. Each mask was lined with a test product (cherry lip balm, tincture of benzoin, Mastisol, mint toothpaste, and control [plain mask]). Participants rated the effectiveness of products at masking the experimental odour from 0 to 100 (0 = completely ineffective, 100 = completely effective). Participants also rated the pleasantness of the products, recorded if the products made them feel unwell, and identified their preferred product overall. Results: Eighty participants were included in the study (33 male, 47 female), averaging 24.2 years of age. Mean odour-masking effectiveness for cherry lip balm was 66.5 (±24.6), tincture of benzoin: 62.6 (±25.0), Mastisol: 61.3 (±23.9), mint toothpaste: 57.5 (±27.4), and control: 21.9 (±21.8). All products performed better than the control (P < .001), but there was no significant difference in performance between products. Cherry lip balm was the most preferred odour-masking product (29 participants), followed by mint toothpaste (22), Mastisol (14), tincture of benzoin (10), and control (5). Conclusions: All tested products demonstrated equivalent odour-masking abilities. If health care professionals choose to use an odour-masking product, they should consider their own olfactory preferences.


Objectifs: L'hôpital peut être saturé d'odeurs nauséabondes. On rapporte que le personnel médical applique des produits sur leurs masques chirurgicaux pour atténuer l'impact de ces odeurs. Cette étude visait à déterminer l'efficacité de quatre produits masqueurs d'odeurs, et ce de façon pratique et peu couteuse. Méthodes: Une étude croisée a simple insu et a répartition aléatoire a été menée à Vancouver, Canada. Des participants âgés de 19 à 30 ans, ont été invités à participer. Les participants souffrant d'allergies actives, d'une infection des voies respiratoires supérieures, d'une altération olfactive, ou aillant échoué la procédure de sélection ont été exclus de l'étude. Une odeur expérimentale a été utilisée au lieu d'une odeur nauséabonde chirurgicale. Après avoir senti l'odeur expérimentale, les participants ont été réexposés à la même odeur à cinq reprises. A chaque reprise, le participant était muni d'un de 5 masques tapissé d'un agent masquant d'odeur (baume à lèvres aux cerises, teinture de benzoïne, mastisol, dentifrice à la menthe, et contrôle [masque standard]). L'ordre des masques a été déterminé de façon aléatoire. Les participants ont noté sur une échelle de 0 à 100 l'efficacité des produits à masquer l'odeur (0: complètement inefficace, 100: complètement efficace). Les participants ont également évalué la qualité plaisante des agents, si ceux-ci les rendaient nauséeux, et ont ensuite identifié leur produit préféré parmi l'ensemble. Résultats: Quatre-vingts participants ont été inclus dans l'étude (33 hommes, 47 femmes), âgés en moyenne de 24,2 ans. L'efficacité des produits à masquer l'odeur expérimentale étaient d'une moyenne de 66,5 (+24,6) pour le baume à lèvres aux cerises ; 62,6 (+25,0) pour la teinture de benzoine ; 61,3 (+23,9) le mastisol ; 57,5 (+27,4) pour le dentifrice à la menthe, et 21,9 (+21,8) le contrôle. Tous les agents testés ont reçu une note supérieure au contrôle (P < .001). Par-contre, il n'y avait pas de différence significative entre les agents. Le baume à lèvres aux cerises était le produit préféré (29 participants), suivi du dentifrice à la menthe (22), du mastisol (14), de la teinture de benzoine (10), et finalement du contrôle (5). Conclusions: Tous les produits testés ont démontré une efficacité similaire, celle-ci supérieure comparée au contrôle. Si les professionnels de la santé souhaitent d'utiliser un produit qui masque les odeurs, ils devraient tenir compte de leurs propres préférences.

3.
J Pediatr Surg ; 54(7): 1471-1476, 2019 Jul.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-30301609

ABSTRACT

BACKGROUND/PURPOSE: Tissue expansion complication rates up to 40% have been reported in the pediatric population. This study aims to review one Canadian pediatric plastic surgeon's experience with tissue expansion by examining tissue expander and flap complication rates, and discussing important aspects of the tissue expansion experience. METHODS: This is a retrospective chart review of the medical records of all tissue expansion patients treated by the senior author during a ten-year period. Data were collected on patient demographics, tissue expansion details, complications, and outcomes, and were analyzed descriptively. The relationship between tissue expander complications and flap complications was analyzed with odds ratio. RESULTS: Ninety-three expanders were placed in 24 patients during 49 sessions. Complications occurred in 19 expanders (10 patients; 16 sessions), resulting in premature removal of nine. Only one session was unsuccessful; the expander became exposed and was removed after 1 month. The odds of having a flap complication were three times greater with preceding tissue expander complication (not statistically significant). CONCLUSIONS: Our study identifies a 20% expander complication rate in the pediatric population. Patients with tissue expander complications subsequently experienced more flap complications than those without tissue expander complications. Complications do not preclude successful reconstruction. TYPE OF STUDY: Prognostic. LEVEL OF EVIDENCE: II.


Subject(s)
Postoperative Complications/etiology , Tissue Expansion Devices/adverse effects , Tissue Expansion/adverse effects , Adolescent , Child , Child, Preschool , Female , Humans , Infant , Infant, Newborn , Male , Retrospective Studies , Surgical Flaps/adverse effects , Tissue Expansion/methods
4.
J Pediatr Surg ; 53(11): 2290-2293, 2018 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-29724436

ABSTRACT

BACKGROUND/PURPOSE: Sodium bicarbonate is added to lidocaine to reduce injection pain. In Canada, it is available in vials exceeding the injection volume 100-fold. These are single-use vials that should be disposed of after one access. Some surgeons re-use vials to reduce waste, potentially causing contamination. This study aims to review the safety of sodium bicarbonate and assess alternatives to current practice. METHODS: Strains of Staphylococcus aureus, Staphylococcus epidermidis, Pseudomonas aeruginosa, and Burkholderia cepacia were used to assess bacterial growth in vials of sodium bicarbonate. Each pathogen was inoculated into a vial for 14 days at room temperature. At several time points, 1 mL of solution was removed and diluted. One hundred microliters were transferred to blood agar plates and incubated at 35 °C. Colony counts were calculated, averaged and plotted onto a logarithmic graph. RESULTS: Colony counts of all strains fell below observational threshold after 7 days in sodium bicarbonate. CONCLUSIONS: Although all strains were reduced, bacteria can survive in sodium bicarbonate for several days, during which transmission may occur. Sodium bicarbonate vials should be treated as single-dose, as indicated by the manufacturers. To reduce waste, hospital pharmacies can repackage sodium bicarbonate into smaller vials or pre-alkalize lidocaine with sodium bicarbonate.


Subject(s)
Colony Count, Microbial , Drug Contamination/prevention & control , Lidocaine/administration & dosage , Minor Surgical Procedures , Sodium Bicarbonate , Bacteria/pathogenicity , Humans , Minor Surgical Procedures/methods , Minor Surgical Procedures/standards , Patient Safety , Sodium Bicarbonate/administration & dosage , Sodium Bicarbonate/standards
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