ABSTRACT
According to international clinical practice guidelines, low-molecular-weight heparins are advocate for the treatment and the prevention of cancer associated thrombosis. Direct oral anticoagulants recently introduced represent an alternative to vitamin K antagonists and low-molecular-weight heparins since their use doesn't require coagulation monitoring or daily subcutaneous injections. Recent studies comparing direct oral anticoagulants and low-molecular-weight heparins have shown a trend towards a reduction of venous thromboembolism events of direct oral anticoagulants but an increased risk of major bleeding. Recent French inter-group recommendations on the treatment of venous thromboembolism in cancer patients, favor low molecular weight heparins over direct oral anticoagulants as curative agents. In the light of recent studies, the objective of this review is to re-evaluate the place of low-molecular-weight heparins in the management of patents with cancer-associated thrombosis and to focus on the recent updates of international guidelines.
Subject(s)
Anticoagulants/therapeutic use , Heparin, Low-Molecular-Weight/therapeutic use , Neoplasms/complications , Thrombosis/drug therapy , Humans , Thrombosis/etiology , Thrombosis/prevention & control , Venous Thromboembolism/drug therapy , Venous Thromboembolism/etiology , Venous Thromboembolism/prevention & controlABSTRACT
Introduction : Les connectivites sont peu diagnostiquées en Afrique au sud du Sahara probablement en raison d'une insuffisance de couverture du continent en service spécialisés. Il est nécessaire d'établir des politiques de dépistages Objectif : Etablir le panorama des connectivites dans un service de médecine interne après la réorga-nisation de sa prise en charge Méthode : Il s'agit d'une étude transversale descriptive qui a eu pour cadre le service de médecine interne du CNHU-HKM de Cotonou. L'étude a couvert une période 91 mois allant du 1er janvier 2010 au 31 août 2017. Les variables étudiées étaient les caractéristiques sociodémographiques, cliniques et biologiques au moment du diagnostic de connectivite. Résultats : 18 patients ont été inclus sur les 2219 patients suivis pendant la période d'étude soit une fréquence hospitalière de 0,8%. Le sex ratio était de 0,26 et l'âge moyen de 35,3±11,5 ans. Les connectivites identifiées au cours de la période d'étude étaient principalement le Lupus érythéma-teux systémique (77,8%), les connectivites indifférenciées (11,1%) et la sclérodermie (5,6%). Les manifestations cliniques étaient dominées par les manifestations ostéo-articulaires (77,8%), cutanéo-muqueuses (61,1%) et hématologiques (55,6%). Le profil immunologique des patients était dominé par les antiRNP, les antiSm, anti-SSA et antinucléosome. Conclusion : les connectivites sont peu fréquentes en Médecine interne au Bénin et sont majoritaire-ment représentées par le lupus. Des études multicentriques sont nécessaires afin de déterminer un panorama plus représentatif