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1.
Mali Med ; 36(1): 8-15, 2021.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-37973572

ABSTRACT

INTRODUCTION: Obstructive renal failure or obstructive uropathy is an entity defined by the simultaneous presence of impaired renal function and dilated urinary excretory pathways in medical imaging. It accounts for 2 to 10% of the causes of acute renal failure (ARF). The purpose of this work was to evaluate the prevalence of this condition in our department. METHOD: This was a retrospective study conducted from January 1, 2017 to June 30, 2018 in the said department. The parameters studied were age, sex, etiology, type of renal failure, actions performed, surgical results of the procedure, creatinine level before and after management, and death rate. RESULTS: obstructive renal failure accounted for 7.32% of all hospitalizations during the study period. The sex ratio was 1.86 in favor of men. The average age was 48.99 ± 6.81 years with extremes of 7 and 102 years. The etiologies were dominated by lithiasis (43.4%). Renal failure was acute and chronic in 20.5% and 54.2% of cases, respectively. It was indeterminate in 25.3% of cases. The obstructive character of renal failure has been confirmed in medical imaging. Lithiases accounted for 43.4% of cases. For therapeutic management, our patients received urinary catheterization (38.6%), nephrostomy (34.9%), urological surgery (22.9%) and hemodialysis (22%). The evolution was favorable in 59% of the cases. CONCLUSION: Obstructions of the upper urinary tract are becoming more frequent in our medical practice. They occur mainly in patients with lithiasis. There is a large proportion of kidney failure requiring hemodialysis.


INTRODUCTION: L'insuffisance rénale obstructive ou encore uropathie obstructive est une entité définie par la présencesimultanée d'une altération de la fonction rénale et d'une dilatation des voies excrétrices urinaires à l'imageriemédicale. Elle représente 2 à 10% des causes d'insuffisance rénale aiguë (IRA). L'objectif de ce travail était de déterminer la prévalence de cette affection dans notre service. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective réalisée du 1er janvier 2017 au 30 juin 2018 dans le service de néphrologie du CHU du Point G.Ont été inclus, tous les patients hospitalisés dans le service durant la période d'étude et ayant un dossier médical exploitable. Les paramètres étudiés étaient l'âge, le sexe, l'étiologie, le type d'insuffisance rénale, les gestes réalisés, les résultats chirurgicaux de la procédure, le taux de créatinine avant et après la prise en charge et le taux de décès. RÉSULTAT: Durant la période d'étude, 83 patients répondaient aux critères d'inclusion sur les 1133 patients hospitalisés, soit 7, 32%.Le sex-ratio était de 1,86 en faveur des hommes. L'âge moyen était de 48,99±6,81 ans avec des extrêmes de 7 et 102 ans. A l'admission 97,6% des patients avaient une créatininémie augmentée. La créatininémie moyenne était de 1284,087 µmol/l avec des extrêmes de 506 et 2063 µmol/l. La créatininémie moyenne après traitement était de 579,605 µmol/l. L'échographie de l'arbre urinaire réalisée chez tous nos patients a montré une hydronéphrose et une urétérohydronéphrose dans respectivement 61,5% et 38,5% des cas. La tomodensitométrie abdomino-pelvienne réalisée chez 42 patients, montrait une urétérohydronéphrose bilatérale dans 50% des cas. La lithiase urétérale et les séquelles bilharziennes étaient les plus fréquemment retrouvées à la TDM avec 23,53% chacune. L'infection urinaire était présente dans 59,7% des cas et le germe isolé était Escherichia coli dans 32,8% des cas. Les étiologiesétaient dominées par les lithiases (43,4%). L'insuffisance rénale était aiguë et chronique dans respectivement 20,5% et 54,2% des cas. Elle était indéterminée dans 25,3% des cas. La prise en charge thérapeutique comportait le sondage urinaire (38,6%), la néphrostomie percutanée (34,9%), la chirurgie urologique (22,9%) et l'hémodialyse (22%).L'évolution a été favorable dans 59,04% des cas dont 20,48% des cas de guérison complète, 14, 46% des cas d'amélioration et 24,10% des cas ont été transférés. Le taux de mortalité était élevé soit 36,14%. CONCLUSION: les obstructions du haut appareil urinaire sont de plus en plus fréquentes dans notre pratique médicale. Elles sont essentiellement d'origine lithiasique. On compte une importante proportion d'insuffisance rénale nécessitant une prise en charge en hémodialyse.

2.
Med Sante Trop ; 29(1): 102-105, 2019 Feb 01.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-31031232

ABSTRACT

The purpose of this work is to describe pruritus in chronic hemodialysis patients at the G-University Hospital Center. METHOD AND PATIENTS: This a descriptive cross-sectional study included 30 patients receiving chronic hemodialysis. RESULTS: Among 90 chronic hemodialysis patients, the study selected 30, including 22 men (73.3%) and 8 women (26.7%), with an average age of 46.60 years (range: 24-82 years). All had pruritus: it was localized in 23.3 % (n=7) and diffuse in 76.7% (n=23). It occurred during dialysis sessions for half of them. It could be nocturnal (50%), diurnal (30%) intermittent (10%), or constant (10%). The dermatological signs associated with pruritus were cutaneous hyperpigmentation in 13.3% of cases, contact eczema in 3.3%, and cutaneous xerosis in 53.3%. CONCLUSION: Pruritus is still the most common sign of dermatological conditions in chronic hemodialysis. Treatment remains symptomatic.


Subject(s)
Pruritus/complications , Renal Dialysis , Adult , Aged , Aged, 80 and over , Cross-Sectional Studies , Dermatitis, Contact/complications , Female , Hospital Departments , Hospitals, University , Humans , Hyperpigmentation/complications , Male , Mali , Middle Aged , Young Adult
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