ABSTRACT
PURPOSE: To investigate current practices, barriers, and training needs for the promotion of physical activity (PA) in physiotherapy practices in eastern Nigeria. METHODS: A total of 141 fully licensed physiotherapists in southeast Nigeria were invited to participate in a cross-sectional survey consisting of 23 questions in five key sections, focusing mainly on risk-factor management practices of physiotherapists. RESULTS: A total of 103 questionnaires were returned. Respondents ranged in age from 25 to 54 years and reported a mean of 11 (SD 10) years of clinical experience. Respondents reported that they regularly assess and advise their clients on PA but rarely give written prescriptions. Although they are confident in assessing and advising their clients on PA and consider including PA intervention as a priority in daily practice, lack of time and lack of access to materials were reported as barriers to effective PA intervention. CONCLUSION: Findings showed the potential for physiotherapists to address physical inactivity and highlighted several barriers. Strategies are needed to improve contact time with clients and make material promoting PA available to practising physiotherapists.
Objet : Étudier les pratiques, les obstacles et les besoins en formation courants qui ont trait à la promotion de l'activité physique (AP) dans les cabinets de physiothérapie de l'est du Nigéria. Méthodes : Au total, 141 physiothérapeutes entièrement autorisés du sud-est du Nigéria ont été invités à participer à une étude transversale comportant 23 questions réparties en 5 sections clés et portant principalement sur les pratiques de gestion des facteurs de risque suivies par les physiothérapeutes. Résultats : Au total, 103 questionnaires ont été renvoyés. L'âge des répondants variait de 25 à 54 ans et ils ont déclaré une moyenne de 11 (ET 10) ans d'expérience clinique. Les répondants ont signalé qu'ils évaluent régulièrement leurs clients et leur conseillent de faire de l'AP, mais leur donnent rarement des ordonnances écrites. Même s'ils se sentent en confiance lorsqu'ils doivent évaluer leurs clients et leur donner des conseils en matière d'AP, et s'ils envisagent de faire de l'intervention sur l'AP une priorité dans la pratique quotidienne, les répondants ont signalé le manque de temps et d'accès au matériel comme obstacles à une intervention efficace sur l'AP. Conclusion : Les constatations ont révélé que les physiothérapeutes pourraient aborder l'inactivité physique et ont dégagé certains obstacles. Des stratégies s'imposent pour améliorer le temps de contact avec les clients et mettre à la disposition des physiothérapeutes en activité du matériel de promotion de l'AP.
