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1.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 164(1): 71-78, 2022 Jan.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34983741

ABSTRACT

INTRODUCTION: The golden jackal (Canis aureus) is a wild canid new to Switzerland. It is an officially monitored species and all deceased individuals are submitted for post-mortem examination to collect baseline health data. This includes parasitological examinations, with an emphasis on zoonotic, reportable infections, such as those caused by Trichinella spp. or Echinococcus spp. From 2016 to 2021, five golden jackals originating from four Swiss cantons were submitted for full post-mortem examination. In one case only organ samples were available, and therefore parasitological examination was not possible. Parasite stages recovered during necropsy, as well as by routine coproscopical techniques, were morphologically identified. Taeniid eggs and adult tapeworms were processed for molecular species identification. Additionally, tongue and diaphragm were analysed for Trichinella spp. by the artificial digestion technique followed by multiplex-PCR in positive cases. Of the four jackals investigated for parasites, hookworm eggs were detected in one animal, both adult worms and eggs of Echinococcus multilocularis were present in another case, and one animal was free of parasites. Eggs of E. multilocularis as well as eggs of Toxocara canis and sporocysts of Sarcocystis sp. were detected in the intestinal content, and Trichinella britovi larvae were found in the muscle samples of the last case. The health monitoring programme in place for protected carnivores in Switzerland allowed us to add the golden jackal to the list of hosts for the endemic zoonotic parasites E. multilocularis and T. britovi in this country. Hunters, farmers, and other persons who could come in contact with golden jackals should be aware of the associated health risk and handle faeces and carcasses with caution.


INTRODUCTION: Le chacal doré (Canis aureus) est un canidé sauvage nouvellement présent en Suisse. Il s'agit d'une espèce officiellement surveillée et tous les individus morts sont soumis à un examen post-mortem afin de recueillir des données sanitaires de base. Cela inclut un examen parasitologique mettant l'accent sur les infections zoonotiques à déclaration obligatoire, telles que celles causées par Trichinella spp. ou Echinococcus spp. De 2016 à 2021, cinq chacals dorés originaires de quatre cantons suisses ont été soumis à un examen post-mortem complet. Dans un cas, seuls des échantillons d'organes ont été envoyés, l'examen parasitologique n'a pas été possible pour cet animal. Les stades parasitaires trouvés lors de l'examen pathologique et de la coprologie de routine ont été identifiés morphologiquement. Les espèces de ténias (œufs et stades adultes) ont été déterminées par des techniques de biologie moléculaire. En outre, la recherche de Trichinella spp. a été effectuée sur du tissu musculaire lingual et diaphragmatique par la technique de digestion artificielle suivie d'une PCR multiplex dans les cas positifs. Sur les quatre chacals ayant fait l'objet d'une recherche de parasites, des œufs d'ankylostomes ont été détectés chez un animal, des vers adultes et des œufs d'Echinococcus multilocularis étaient présents chez un autre animal, et aucun parasite n'a été trouvé dans un autre cas. Chez le dernier cas, des œufs d'E. multilocularis ainsi que des œufs de Toxocara canis et des sporocystes de Sarcocystis sp. ont été détectés dans le contenu intestinal, et des larves de Trichinella britovi ont été trouvées dans les échantillons de muscle. Le programme de surveillance sanitaire mis en place pour les carnivores protégés en Suisse a donc permis d'ajouter le chacal doré à la liste des hôtes des parasites zoonotiques endémiques E. multilocularis et T. britovi. Les chasseurs, agriculteurs et autres personnes susceptibles d'entrer en contact avec le chacal doré doivent être conscients du risque sanitaire associé et manipuler les fèces et les carcasses avec précaution.


Subject(s)
Echinococcus multilocularis , Trichinella , Trichinellosis , Animals , Jackals , Switzerland/epidemiology , Trichinellosis/epidemiology , Trichinellosis/veterinary
2.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 162(11): 675-681, 2020 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33140726

ABSTRACT

INTRODUCTION: Dichelobacter nodosus (D. nodosus) is the etiological agent of ovine footrot affecting mainly sheep worldwide, but also free-ranging wild ungulates such as Alpine ibex (Capra ibex ibex) and mufflon (Ovis orientalis orientalis). A nationwide ovine footrot eradication program is planned for the years to come, based on polymerase chain reaction (PCR)-testing of interdigital swab samples and regular footbathing. In this cross-sectional study, we clinically evaluated the foot health and analysed presence of D. nodosus in 11 different even-toed ungulate species (mainly European species) during a 13 months (2018-2019) period in Berne Animal Park. The foot lesions were scored for any clinical signs of pathologies as described in cattle and simultaneously for clinical signs of footrot as described for sheep, using a scale from 0 to 5 (while 0 describes clinically healthy feet and 5 loss of the horn capsule). From a total of 53 animals, 4-feet swab samples were taken from the interdigital cleft and subjected to real-time PCR assays to detect D. nodosus at animal level. Foot lesions were detected in five different species. In 3/5 muskoxen (Ovibos moschatus wardi), 7/12 Cretan wild goats (Capra hircus cretica) and 2/3 dwarf goats (Capra hircus aegagrus), they mainly consisted of white line disease, whereas in 9/10 European bison, dermatitis of the interdigital cleft was diagnosed. 1/3 alpaca was diagnosed with chorioptic mange of the heel area. None of the examined animals showed clinical signs of footrot (score 0), and neither benign (aprB2-positive) nor virulent (aprV2-positive) D. nodosus were detected in any of the samples. This study provides additional information to facilitate an efficient ovine footrot control program in Switzerland and suggests that captive wild even-toed ungulates do not pose a risk to the planned footrot control program.


INTRODUCTION: Dichelobacter nodosus (D. nodosus) est l'agent étiologique du piétin chez les ruminants, qui affecte principalement les moutons dans le monde, mais aussi les ongulés sauvages en liberté tels que les bouquetins (Capra ibex ibex) et les mouflons (Ovis orientalis orientalis). Un programme d'éradication du piétin ovin à l'échelle Nationale, basé sur des tests PCR (réaction de polymérisation en chaîne) d'écouvillons de l'espace interdigité et des pédiluves réguliers, est prévu dans les années à venir en Suisse. Dans cette étude transversale, nous avons évalué cliniquement la santé des onglons et recherché la présence de D. nodosus chez 11 espèces différentes d'animaux biongulés (principalement des espèces européennes) pendant une période de 13 mois (2018­2019) au Parc animalier de Berne. Les lésions des onglons ont été notées pour tout signe clinique de pathologie et de présence de piétin, comme cela est décrit chez les bovins et les moutons et en utilisant une échelle de 0 à 5 (où 0 décrit des pieds cliniquement sains et 5 la perte de la boîte cornée). Des écouvillons ont été prélevés dans l'espace interdigité des 4 pieds sur un total de 53 animaux et soumis à des tests PCR en temps réel pour détecter D. nodosus. Des lésions aux onglons ont été détectées chez cinq espèces différentes. Chez 3 boeufs musqués (Ovibos moschatus wardi) sur 5, 7 chèvres sauvages crétoises (Capra hircus cretica) sur 12 et 2 chèvres naines (Capra hircus aegagrus) sur 3, il s'agissait principalement de lésions de la ligne blanche, alors que dans 9 bisons sur 10, le diagnostic était une dermatite interdigitale. Un alpaga sur 3 a été diagnostiqué avec une gale chorioptique de la zone du paturon. Aucun des animaux examinés n'a montré de signes cliniques de piétin (score 0) et aucun D. nodosus bénin (aprB2-positif) ou virulent (aprV2-positif ) n'a été mis en évidence dans les échantillons. Cette étude fournit des informations supplémentaires pour améliorer l'efficacité du programme d'éradication du piétin ovin et suggère que les biongulés sauvages détenus dans les parcs zoologiques ne présentent pas de risque pour le programme d'éradication prévu en Suisse.


Subject(s)
Animals, Zoo/microbiology , Dichelobacter nodosus , Digital Dermatitis/epidemiology , Digital Dermatitis/pathology , Eutheria/microbiology , Gram-Negative Bacterial Infections/veterinary , Animals , Digital Dermatitis/microbiology , Gram-Negative Bacterial Infections/epidemiology , Gram-Negative Bacterial Infections/pathology , Prevalence , Switzerland/epidemiology
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