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J Assoc Med Microbiol Infect Dis Can ; 7(3): 233-241, 2022 Sep.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-36337601

ABSTRACT

BACkGROUND: Hepatitis C virus (HCV) infection and excessive alcohol consumption are leading causes of liver disease worldwide. Direct acting antivirals (DAAs) are well-tolerated treatments for HCV infections with high sustained virologic response (SVR) rates. There are limited data assessing the influence of alcohol use on DAA uptake and cure. METHODS: We performed a retrospective analysis of patients followed at The Ottawa Hospital Viral Hepatitis Program between January 2014 and May 2020 to investigate the effect of excessive alcohol use history on DAA uptake and SVR rates. Additionally, we evaluated the incidence of concurrent comorbidities and social determinants of health. Predictors of DAA uptake and SVR were assessed by logistic regression. RESULTS: Excessive alcohol use history was reported in 46.0% (733) of patients. Excessive alcohol use did not predict DAA uptake (OR 1.06, 95% CI 0.71 to 1.57), while employment (OR 2.10, 95% CI 1.29 to 3.42) and recreational drug use (OR 0.62, 95% CI 0.40 to 0.94) were predictors. Employment predicted SVR (OR 2.38, 95% CI 1.68 to 3.36) in those starting treatment. Excessive alcohol use history did not predict SVR. CONCLUSIONS: History of excessive alcohol use does not influence treatment initiation or SVR. Efforts to improve treatment uptake should shift to focus on the roles of determinants of health such as employment and recreational drug use on treatment initiation.


HISTORIQUE: L'infection par le virus de l'hépatite C (VHC) et la consommation excessive d'alcool sont les principales causes de maladie hépatique dans le monde. Les antiviraux à action directe (AAD) sont bien tolérés pour traiter les infections par le VHC et entraînent un taux élevé de réponse virologique soutenue (RVS). Les données évaluant l'influence de la consommation d'alcool sur l'utilisation des AAD et la guérison sont limitées. MÉTHODOLOGIE: Les chercheurs ont procédé à une analyse rétrospective des patients suivis au sein du programme d'hépatite virale de L'Hôpital d'Ottawa entre janvier 2014 et mai 2020 pour examiner l'effet d'antécédents de consommation excessive d'alcool sur les taux d'acceptation des AAD et de RVS. De plus, ils ont évalué l'incidence de maladies concomitantes et de déterminants sociaux de la santé. Ils ont également utilisé la régression logistique pour évaluer les prédicteurs d'acceptation des AAD et de la RVS. RÉSULTATS: Au total, 46,0 % des patients (733) avaient des antécédents de consommation excessive d'alcool. Cette consommation n'était pas prédictive de l'acceptation des AAD (RC 1,06, IC à 95 %, 0,71 à 1,57), tandis que l'emploi (RC 2,10, IC à 95 %, 1,29 à 3,42) et la consommation de drogues à usage récréatif (RC 0,62, IC à 95 %, 0,40 à 0,94) l'étaient. L'emploi était prédicteur d'une RVS (RC 2,38, IC à 95 %, 1,68 à 3,36) chez les patients qui commençaient le traitement. La consommation excessive d'alcool n'était pas prédictive d'une RVS. CONCLUSIONS: Une histoire de consommation excessive d'alcool n'influe pas sur le début du traitement ni sur la RVS. Les efforts pour améliorer l'acceptation du traitement devraient être réorientés vers le rôle des déterminants de la santé comme l'emploi et l'utilisation de drogues à usage récréatif au début du traitement.

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