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1.
Can J Anaesth ; 69(4): 427-437, 2022 04.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34907502

ABSTRACT

PURPOSE: The objective of this study was to describe the incidence, management, and complications of difficult and failed endotracheal intubation in a general surgical population. METHODS: This historical cohort study included all cases of difficult endotracheal intubation in general surgical patients at Mount Sinai Hospital (Toronto, ON, Canada) from 1 January 2011 to 31 December 2017. Patient charts and electronic records were reviewed to collect data on airway management and complications. Endotracheal intubation was graded as "difficult" if more than two attempts with direct laryngoscopy or if additional equipment for second or subsequent attempts was required, and "failed" if it could not be achieved despite the attempts. The primary outcome was the incidence of difficult and failed intubation. The secondary outcomes were complications, difficult airway parameters, mask ventilation, number of intubation attempts, and rescue devices including the eventually successful method. RESULTS: We identified 111 cases of difficult intubation (0.26%) and 14 cases of failed intubation (0.03%) in 42,805 surgical cases requiring endotracheal intubation over the seven-year period. The incidence was highest in 2012 (0.36%) and lowest in 2017 (0.13%). Difficulty was anticipated in 84 (76%) patients. The median (range) number of intubation attempts was 2 (2-5). Videolaryngoscopy was the eventually successful method in those with unsuccessful first attempt direct laryngoscopy (n = 91) and videolaryngoscopy (n = 17) in 71% and 77% cases, respectively. Intubation failed in 14 patients, three of whom required a surgical airway because the lungs could not be ventilated. Poor visualization of the glottis (93%) and airway bleeding (36%) were the leading causes of failed intubation. Desaturation was seen in 8%, airway bleeding in 7%, and airway edema in 6% of cases of difficult intubation. CONCLUSION: The incidences of difficult and failed intubations in our study were 2.6 and 0.3 per 1,000 surgeries requiring laryngoscopies, respectively, with a decrease over time. Videolaryngoscopy showed a high success rate as a rescue device.


RéSUMé: OBJECTIF: L'objectif de cette étude était de décrire l'incidence, la prise en charge et les complications d'une intubation endotrachéale difficile et d'un échec d'intubation dans une population chirurgicale générale. MéTHODE: Cette étude de cohorte historique a inclus tous les cas d'intubation endotrachéale difficile chez des patients de chirurgie générale à l'Hôpital Mount Sinai (Toronto, ON, Canada) du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2017. Les dossiers papier et électroniques des patients ont été passés en revue afin de recueillir des données sur la prise en charge des voies aériennes et les complications. L'intubation endotrachéale a été classée comme « difficile ¼ si plus de deux tentatives avec laryngoscopie directe ou si du matériel supplémentaire pour la deuxième tentative ou les tentatives ultérieures était nécessaire, et « échec ¼ si elle n'avait pas pu être réalisée malgré les tentatives. Le critère d'évaluation principal était l'incidence d'intubation difficile et d'échec. Les critères d'évaluation secondaires comportaient les complications, les critères de voies aériennes difficiles, la ventilation au masque, le nombre de tentatives d'intubation et les dispositifs de sauvetage, y compris la méthode permettant finalement un succès d'intubation. RéSULTATS: Nous avons identifié 111 cas d'intubation difficile (0,26 %) et 14 cas d'échec d'intubation (0,03 %) parmi les 42 805 cas chirurgicaux nécessitant une intubation endotrachéale au cours de la période de sept ans. L'incidence était la plus élevée en 2012 (0,36 %) et la plus basse en 2017 (0,13 %). Des difficultés avaient été anticipées chez 84 (76 %) patients. Le nombre médian (intervalle) de tentatives d'intubation était de 2 (2 à 5). La vidéolaryngoscopie a été la méthode permettant le succès final de l'intubation chez les patients pour lesquels la première tentative avait échoué avec la laryngoscopie directe (n = 91) ou la vidéolaryngoscopie (n = 17), soit dans 71 % et 77 % des cas, respectivement. L'intubation a échoué chez 14 patients, dont trois ont nécessité un accès chirurgical aux voies aériennes car les poumons ne pouvaient pas être ventilés. Une mauvaise visualisation de la glotte (93 %) et des saignements des voies aériennes (36 %) étaient les principales causes d'échec de l'intubation. Une désaturation a été observée dans 8 % des cas d'intubation difficile, alors que des saignements des voies aériennes ont été observés dans 7 % et un œdème des voies aériennes dans 6 % des cas. CONCLUSION: Dans notre étude, les incidences d'intubations difficiles et d'échec étaient de 2,6 et 0,3 pour 1000 chirurgies nécessitant des laryngoscopies, respectivement, avec une diminution au fil du temps. La vidéolaryngoscopie a montré un taux de réussite élevé en tant que dispositif de sauvetage.


Subject(s)
Laryngoscopes , Laryngoscopy , Airway Management/methods , Cohort Studies , Humans , Intubation, Intratracheal , Laryngoscopy/methods , Tertiary Care Centers
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