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1.
Can J Infect Dis Med Microbiol ; 24(2): e47-9, 2013.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-24421819

ABSTRACT

The current report describes two renal transplant recipients who presented with sporotrichosis. In addition, the authors review the general aspects of sporotrichosis in renal transplant recipients reported in the literature. Sporotrichosis is a rare fungal infection in transplant patients and has been reported primarily in renal transplant recipients not treated with antifungal prophylaxis. Extracutaneous forms of sporotrichosis without skin manifestations and no previous history of traumatic injuries have been described in such patients and are difficult to diagnose. Renal transplant recipients with sporotrichosis described in the present report were successfully treated with antifungal therapy including amphotericin B deoxycholate, lipid amphotericin B formulations, fluconazole and itraconazole.


Le présent rapport décrit deux greffés du rein qui ont présenté une sporotrichose. De plus, les auteurs ont examiné les aspects généraux de la sporotrichose chez des greffés du rein signalés dans les publications. La sporotrichose, une infection fongique rare chez les greffés, s'observe surtout chez des greffés du rein qui ne reçoivent pas de prophylaxie antifongique. Des formes extracutanées de sporotrichose, sans manifestations cutanées et sans antécédents de lésions traumatiques, ont été décrites chez ces patients, mais elles sont difficiles à diagnostiquer. Les greffés du rein atteints de sporotrichose décrits dans le présent rapport ont été traités avec succès à l'aide d'un antifongique, y compris le désoxycholated d'amphotéricine B, les formulations lipidiques d'amphotéricine B, le fluconazole et l'itraconazole.

2.
Can J Infect Dis Med Microbiol ; 24(3): e75-9, 2013.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-24421835

ABSTRACT

BACKGROUND: Vancomycin is the treatment of choice for methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA) infections; however, treatment failure is not uncommon, even when the minimum inhibitory concentration (MIC) of the MRSA strain is within the susceptible range for vancomycin. OBJECTIVE: To describe the relationship between molecular markers such as the mecA and agrII genes, serum vancomycin levels and vancomycin MICs, and the 30-day mortality rate of patients with nosocomial MRSA pneumonia in an intensive care unit (ICU). METHODS: The present study was a prospective cohort study including all patients with MRSA hospital-acquired pneumonia or ventilator-associated pneumonia who were admitted to the ICU of a tertiary care hospital between June 2009 and December 2011. The MIC for vancomycin was determined using the E-test and broth microdilution methods. Variables analyzed included age, sex, comorbid conditions, serum vancomycin trough concentration, the Acute Physiology and Chronic Health Evaluation II (APACHE) score and the presence of the agrII gene. The primary outcome was mortality at 30 days. RESULTS: Thirty-six (42.4%) patients died within 30 days of the index MRSA culture. A multiple regression analysis that included the variables of MIC (determined using the E-test or broth microdilution methods), APACHE II score, serum vancomycin level and the presence of agrII revealed that only the APACHE II score was related to the 30-day mortality rate (P=0.03). Seven patients (9.0%) with isolates exhibiting an MIC ≥1.5 µg/mL according to the E-test method died, and nine patients (11.6%) survived (P=0.76). Of the patients for whom MICs were determined using the broth microdilution method, 11 (14.1%) patients with MICs of 1.0 µg/mL died, and 16 (20.5%) survived (P=0.92). The median APACHE II score of survivors was 22.5, and the median score of nonsurvivors was 25.0 (P=0.03). The presence of the agrII gene was not related to the 30-day mortality rate. CONCLUSIONS: Patients with severe hospital-acquired pneumonia presented with MRSA isolates with low to intermediate vancomycin MICs in the ICU setting. At the Hospital de Clínicas de Porto Alegre (Porto Alegre, Brazil), the 30-day mortality rate was high, and was similar among patients with severe hospital-acquired pneumonia infected with MRSA isolates that exhibited MICs of ≤1.5 µg/mL determined using the E-test method and ≤1.0 µg/mL determined using the broth microdilution method in those who achieved optimal serum vancomycin levels. The APACHE II scores which provides an overall estimate of ICU mortality were independently associated with mortality in the present study, regardless of the MICs determined. Molecular markers, such as the agrII gene, were not associated with higher mortality in the present study.


HISTORIQUE: La vancomycine est le traitement de première intention des infections par le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM), mais les échecs thérapeutiques ne sont pas rares, même lorsque la concentration minimale inhibitrice (CMI) de la souche de SARM se situe dans la plage susceptible de vancomycine. OBJECTIF: Décrire le lien entre les marqueurs moléculaires comme les gènes mecA et agrII, le taux de vancomycine sérique et la CMI de vancomycine, et le taux de mortalité au bout de 30 jours des patients atteints d'une pneumonie à SARM d'origine nosocomiale à l'unité de soins intensifs (USI). MÉTHODOLOGIE: La présente étude prospective de cohorte incluait tous les patients ayant une pneumonie à SARM d'origine nosocomiale ou d'une pneumonie acquise sous ventilation mécanique qui ont été hospitalisés à l'USI d'un hôpital de soins tertiaires entre juin 2009 et décembre 2011. Les chercheurs ont déterminé la CMI de la vancomycine au moyen des méthodes d'E-test et de microdilution en bouillon. Les variables qu'ils ont analysées sont l'âge, le sexe, les états comorbides, la concentration minimale de vancomycine sérique, le score APACHE (évaluation de physiologie aiguë et de maladie chronique II) et la présence du gène agrII. La mortalité au bout de 30 jours était l'issue primaire. RÉSULTATS: Trente-six patients (42,4 %)sont décédés dans les 30 jours suivant la culture de référence du SARM. Une analyse de régression multiple qui incluait les variables de la CMI (déterminée au moyen des méthodes d'E-test ou de microdilution en bouillon, le score APACHE II, le taux de vancomycine sérique et la présence du gène f agrII a révélé que seul le score APACHE II était lié au taux de mortalité au bout de 30 jours (P=0,03). Sept patients (9,0 %) dont les isolats présentaient une CMI d'au moins 1,5 µg/mL d'après la méthode d'E-test sont décédés, et neuf patients (11,6 %) ont survécu (P=0,76). Chez les patients dont la CMI a été déterminée au moyen de la méthode de microdilution en bouillon, 11 (14,1 %) ayant une CMI de 1,0 µg/mL sont décédés et 16 (20,5 %) ont survécu (P=0,92). Les survivants avaient un score APACHE II médian de 22,5, et les non-survivants, de 25,0 (P=0,03). La présence du gène agrII n'était pas liée au taux de décès au bout de 30 jours. CONCLUSIONS: Les patients ayant une grave pneumonie d'origine nosocomiale présentaient des isolats de SARM à la CMI faible à intermédiaire à la vancomycine à l'USI. Au Hospital de Clínicas de Porto Alegre (Porto Alegre, Brésil), le taux de mortalité au bout de 30 jours était élevé, tout comme chez les patients atteints d'une grave pneumonie d'origine nosocomiale infectés par des isolats du SARM dont la CMI était égale ou inférieure à 1,5 µg/mL d'après par la méthode d'E-test (ou égale ou inférieure à 1,0 µg/mL d'après la méthode de microdilution en bouillon) qui ont atteint des taux optimaux de vancomycine sérique. Les scores APACHE II qui procurent une évaluation globale de la mortalité à l'USI s'associaient de manière indépendante avec la mortalité dans la présente étude, quelle que soit la CMI établie. De plus, les marqueurs moléculaires, tels que le gène agrII, n'étaient pas liés à un taux de mortalité plus élevé y.

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