Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 11 de 11
Filter
1.
Rev Med Liege ; 77(3): 181-186, 2022 Mar.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-35258867

ABSTRACT

Cervical-facial cellulitis are infections of the cellular fatty spaces of the face and neck with a tendency towards locoregional extension, septic and thromboembolic complications that can affect the patient's vital and/or functional prognosis. The management is multidisciplinary including a medical component, surgical drainage associated with the treatment of the causal tooth. This is a retrospective study including 87 cases of odontogenic head and neck cellulitis hospitalized in the ENT and head and neck surgery department at Fattouma Bourguiba Monastir hospital over a period of 4 years between January 2017 and December 2020. The study included 48 women and 39 men. The most affected age group was young adults (54 %). The main contributing factors were poor oral hygiene (76 %), tobacco (41 %) and alcohol (19 %). Anti-inflammatory medicines intake was found in 31 % of cases. The average consultation time was 5 days. The main reason for consultation was painful head and neck swelling associated with trismus (70 %) and fever (52 %). The cervical-facial scan was performed in 93 % of patients. It revealed suppurative cellulitis (64 %), extension to upper aerodigestive ways (20 %), compression of upper aero-digestive tract (11,5 %), Lemierre syndrome (4,6 %) and gangrenous cellulitis with mediastinal extension (1,1 %). All patients received large spectrum antibiotic, associated in 25 % of cases with surgical drainage. Treatment of the dental cause was performed in all patients. The evolution was favourable in 98,9 % of cases. There is only one death due to a septic shock (1,1 %), which is consistent with most of the results reported in the literature. Head and neck cellulitis can affect the functional and vital prognosis of the patient in the absence of rapid and adequate management. The treatment remains primarily preventive.


Les cellulites cervico-faciales sont des infections des espaces cellulo-graisseux de la face et du cou. Leur gravité est corrélée à leur extension locorégionale. Les complications septiques et thromboemboliques peuvent mettre en jeu le pronostic vital et/ou fonctionnel du patient. La prise en charge est multidisciplinaire, se basant sur un trépied thérapeutique comportant un volet médical (antibiothérapie), un drainage chirurgical et un traitement de la dent causale. Il s'agit d'une étude rétrospective ayant colligé 87 cas de cellulites cervico-faciales odontogènes hospitalisés au service d'ORL et de Chirurgie cervico-faciale au CHU Fattouma Bourguiba Monastir sur une période de 4 ans entre janvier 2017 et décembre 2020. L'étude comportait 48 femmes et 39 hommes. La tranche d'âge la plus touchée était l'adulte jeune (54 %). Les principaux facteurs favorisants étaient la mauvaise hygiène bucco-dentaire (76 %), le tabac (41 %) et l'alcool (19 %). La notion de prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens était retrouvée dans 31 % des cas. Le délai moyen de consultation était de 5 jours. Le principal motif de consultation était une tuméfaction cervico-faciale douloureuse associée à un trismus (70 %) et une fièvre (52 %). Le scanner cervico-facial a été réalisé chez 93 % des patients. Il a objectivé une cellulite suppurée (64 %), une extension aux espaces profonds (20 %), une compression des voies aéro-digestives supérieures (11,5 %), un syndrome de Lemierre (4,6 %) et une cellulite gangréneuse avec extension médiastinale (1,1 %). Tous les malades ont bénéficié d'une antibiothérapie à large spectre. Seuls 25 % ont eu un drainage chirurgical associé. Le traitement de la porte d'entrée a été réalisé chez tous les patients. L'évolution a été favorable dans 98,9 % des cas. On recense un seul décès dû à un choc septique (1,1 %), ce qui est concordant avec la majorité des résultats rapportés dans la littérature. Les cellulites cervico-faciales peuvent mettre en jeu le pronostic fonctionnel et vital du patient en l'absence de prise en charge rapide et adéquate. Le traitement reste avant tout préventif.


Subject(s)
Cellulitis , Drainage , Anti-Bacterial Agents/therapeutic use , Cellulitis/drug therapy , Cellulitis/therapy , Drainage/methods , Face , Female , Humans , Male , Neck , Retrospective Studies , Young Adult
2.
j.tunis.ORL chir. cerv.-fac ; 47: 41-46, 2022. tables, figures
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1433896

ABSTRACT

Etudier les particularités cliniques des carcinomes adénoïdes kystiques des glandes salivaires accessoires et discuter les modalités thérapeutiques de ce type tumoral. Patients et méthodes: Il s'agit d'une étude rétrospective descriptive ayant colligé 11 patients présentant un carcinome adénoïde kystique (CAK) des glandes salivaires accessoires (GSA) pris en charge dans notre département sur une période de 20 ans. Résultats: L'âge moyen de nos patients était de 51 ans avec un sex ratio à 0,83. Le délai moyen de consultation était de 20 mois. Le site tumoral était: la cavité buccale dans 3 cas, le massif facial et le cavum dans 6 cas, la trachée et le larynx dans 2 cas. Les motifs de consultation étaient variables selon le site tumoral. L'extension péri neurale était objectivée dans 3 cas. Le traitement était chirurgical suivi de radiothérapie chez 5 patients. Une radiothérapie exclusive a été indiquée chez 3 patients et une radio chimiothérapie concomitante dans 3 cas. Un recul moyen de 42 mois a pu être obtenu pour 10 patients. Une patiente a été perdue de vue. L'évolution était favorable avec absence de récidive locale chez 8 patients. Conclusion: Le traitement de référence reste une chirurgie d'exérèse large, suivie de radiothérapie adjuvante. L'imagerie est indispensable pour le bilan d'extension locorégional et à distance qui conditionne l'attitude thérapeutique.


Subject(s)
Humans , Carcinoma, Adenoid Cystic , Neoplasms , Pinealoma , Radiotherapy , Therapeutics
3.
j.tunis.ORL chir. cerv.-fac ; 47(3): 41-46, 2022. tales, figures
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1392589

ABSTRACT

Objectif: Etudier les particularités cliniques des carcinomes adénoïdes kystiques des glandes salivaires accessoires et discuter les modalités thérapeutiques de ce type tumoral. Patients et méthodes: Il s'agit d'une étude rétrospective descriptive ayant colligé 11 patients présentant un carcinome adénoïde kystique (CAK) des glandes salivaires accessoires (GSA) pris en charge dans notre département sur une période de 20 ans. Résultats: L'âge moyen de nos patients était de 51 ans avec un sex ratio à 0,83. Le délai moyen de consultation était de 20 mois. Le site tumoral était: la cavité buccale dans 3 cas, le massif facial et le cavum dans 6 cas, la trachée et le larynx dans 2 cas. Les motifs de consultation étaient variables selon le site tumoral. L'extension péri neurale était objectivée dans 3 cas. Le traitement était chirurgical suivi de radiothérapie chez 5patients. Une radiothérapie exclusive a été indiquée chez 3 patients et une radio chimiothérapie concomitante dans 3 cas. Un recul moyen de 42 mois a pu être obtenu pour 10 patients. Une patiente a été perdue de vue. L'évolution était favorable avec absence de récidive locale chez 8 patients. Conclusion: Le traitement de référence reste une chirurgie d'exérèse large, suivie de radiothérapie adjuvante. L'imagerie est indispensable pour le bilan d'extension locorégional et à distance qui conditionne l'attitude thérapeutique


Subject(s)
Humans , Salivary Glands , General Surgery , Carcinoma, Adenoid Cystic , Accessory Nerve
4.
j.tunis.ORL chir. cerv.-fac ; 47(3): 53-58, 2022. tables
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1392709

ABSTRACT

Objectifs: évaluer les résultats thérapeutiques et étudier les facteurs pronostiques de la surdité brusque.Patients et méthodes: Il s'agit d'une étude rétrospective à propos de 61 patients (39 hommes et 22 femmes) pris en charge pour surdité brusque dans le service d'Otorhinolaryngologie et de Chirurgie Cervico-Faciale de l'hôpital Bourguiba de Monastir durant une période de 16 ans (2001-2016). Une analyse statistique a été réalisée afin d'identifier les facteurs influençant le pronostic de la surdité brusque. Le seuil de significativité retenu était de 5%. Résultats:L'âge moyen était de 43 ans [16-80 ans]. Le taux global de récupération auditive était de 45%. Les facteurs pronostiques selon l'analyse uni variée étaient: un antécédent d'hypoacousie controlatérale, la présence d'un vertige associé, la sévérité de la perte auditive initiale, une courbe audiométrique de type E, l'absence du réflexe stapédien et le recours à l'oxygénothérapie hyperbare (OHB). En analyse multivariée, les seuls facteurs retenus étaient une perte auditive initiale supérieure ou égale à 70 dB, la présence d'un vertige et l'absence d'un épisode infectieux précédant la survenue de la surdité. Conclusion: Notre étude a permis de retenir comme facteurs de mauvais pronostic indépendants la perte auditive initiale supérieure ou égale à 70 dB, la présence d'un vertige et l'absence d'un épisode infectieux précédant la survenue de la surdité. Ceci nous incite à une réflexion quant au protocole thérapeutique adopté dans notre service et à indiquer l'OHB, qui est normalement prescrite en cas de non réponse, en première intention, afin d'optimiser la récupération auditive.


Subject(s)
Deaf-Blind Disorders , Hearing Disorders , Hyperbaric Oxygenation , Audiometry , Hearing Loss, Sudden , Hearing Loss, Sensorineural
5.
Eur Ann Otorhinolaryngol Head Neck Dis ; 136(3): 207-209, 2019 Jun.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-30880032

ABSTRACT

INTRODUCTION: Desmoid tumours of the head and neck, also known as fibromatosis, are rare, locally invasive benign tumours with high recurrence rate, causing considerable morbidity. Complete surgical excision of desmoid tumours is considered to be the only effective treatment. CASE REPORT: We present a case of fibromatosis of the right posterolateral region of the neck in a 56-year-old woman who presented with right neck mass. The patient underwent complete excision of the tumour with no adjuvant therapy. No recurrence or neurological deficit was observed 2 years after surgery. CONCLUSION: Although desmoid tumour is a benign neoplasm with no metastatic potential, treatment is challenging due to its aggressive, infiltrative behaviour with a tendency to recur.


Subject(s)
Fibromatosis, Aggressive/surgery , Head and Neck Neoplasms/surgery , Female , Fibromatosis, Aggressive/diagnostic imaging , Head and Neck Neoplasms/diagnostic imaging , Humans , Middle Aged , Tomography, X-Ray Computed
6.
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1264032

ABSTRACT

BUT : Analyser les particularités cliniques et paracliniques des fistules labyrinthiques secondaires aux cholestéatomes de l'oreille moyenne, et discuter les différentes modalités de prise en charge de cette affection.PATIENTS ET MÉTHODES : Il s'agit d'une étude rétrospective ayant inclus, parmi 273 dossiers médicaux de patients opérés pour otite moyenne chronique cholestéatomateuse, ceux des patients présentant une fistule labyrinthique confirmées chirurgicalement. RESULTATS : Vingt-cinq cas de fistule labyrinthique ont été inclus dans l'étude, soit une incidence de 9,1 %.Le tableau clinique était marqué par une surdité dans tout les cas et un vertige roratoire dans 60% des cas. Le signe de la fistule a été objectivé dans 12 cas (48%). La sensibilité de la TDM dans la détection des fistules labyrinthiques était de 72 %. L'éradication complète de la matrice du cholestéatome a été réalisée chez tous les malades. Le comblement de la fistule a été réalisé dans tous les cas par du matériel autologue. Les matériaux étaient l'aponévrose temporale superficielle, le périchondre et la poudre d'os. Après chirurgie, nous avons noté une amélioration du seuil de la conduction osseuse dans 9 cas (36 %), une aggravation dans 3 cas (12 %) et dans 13 cas (52%), le seuil est resté stable. CONCLUSION : La fistule labyrinthique est une complication sévère de l'otite moyenne chronique cholestéatomateuse. Sa présentation clinique n'est pas spécifique d'où l'intérêt de l'imagerie. Sa prise en charge a fait l'objet de plusieurs débats, elle est actuellement mieux codifiée

7.
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1264026

ABSTRACT

Objectifs :Analyser les résultats fonctionnels et anatomiques de la méatotomie moyenne fonctionnelle et dégager les facteurs qui les influencent.Population et méthodes : étude rétrospective ayant inclus tous les patients ayant eu une méatotomie moyenne fonctionnelle monocentrique de Janvier 2002 à Décembre 2014.Résultats :Cent six patients ont été inclus dans cette étude, répartis en 58 hommes et 48 femmes. L'âge moyen était de 34 ans. L'indication a été posée pour 83 cas de sinusites rhinogènes et 23 cas de sinusites odontogènes. Le taux global de bon résultat fonctionnel de 73,6%. Il était de 74,5% pour le résultat anatomique.L'analyse univariée a permis de retenir comme facteurs de mauvais résultat aussi bien anatomique que fonctionnel après MM, le caractère bilatéral de la sinusite (p=0,000), l'existence decomorbidités à savoir l'allergie nasosinusienne (p=0,045), l'hyperréactivité nasale (p=0,000) et l'hyposmie(p=0,011), un score de Lund Mackay (SLM) global élevé (p=0,00), un SLM de l'ethmoïde antérieur élevé (p=0,009) et un SLM COM global élevé (p=0,001). En analyse multivariée, on a identifié comme facteur prédictif de de bon résultat anatomique un SLM global < 5 (p=0,001)alors que l'étiologie rhinogène unilatérale (p=0,027), l'absence d'hyperréactivité nasale (p=0,009) et un délai d'évolution inférieur à 24 mois (p=0,019) sont des facteurs qui influencent positivement le résultat fonctionnel.Conclusion : L'indication de la MM fonctionnelle doit être posée après une évaluation exacte du terrain, un examen endoscopique et une analyse scanographique précise afin de garantir les meilleurs résultats thérapeutiques


Subject(s)
Endoscopy , Maxillary Sinus , Tomography, X-Ray Computed , Treatment Outcome , Tunisia
9.
Eur Ann Otorhinolaryngol Head Neck Dis ; 129(1): 47-50, 2012 Feb.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-21600866

ABSTRACT

INTRODUCTION: Primary meningiomas of the sinonasal tract are rare tumors. Their positive diagnosis is difficult to establish. From one case observation, we report the clinical features, the diagnosis difficulties and the therapeutic modalities of primary meningioma of the sinonasal tract. CASE REPORT: A seventeen-year-old girl consulted for a left unilateral nasal obstruction with progressive evolution without episodes of epistaxis, smell disorder or headaches over a year. Physical examination revealed a grayish polypoid tumor in the left nasal fossa. CT scan evidenced an isodense lesion of the left nasal fossa slightly enhanced pushing back the lateral nasal wall without invasion or intracranial connection. Biopsy was in favour of an inverted papilloma. The tumor was resected via endoscopic approach. Pathological examination established the diagnosis of meningothelial menigioma. The prognosis was favourable without recurrence after a six-month follow-up. CONCLUSION: The positive diagnosis of primary sinonasal meningioma is difficult to establish because of their infrequent occurrence in this ectopic site and of their non-specific clinical appearance. The final diagnosis rests on the histological examination. Immunohistochemical studies are helpful to establish the accurate diagnosis. Imaging confirms the primitive nature of these tumors. Prognosis is excellent after complete surgical extirpation without the necessity of adjuvant therapy.


Subject(s)
Meningioma , Paranasal Sinus Neoplasms , Adolescent , Female , Humans , Meningioma/diagnosis , Meningioma/surgery , Paranasal Sinus Neoplasms/diagnosis , Paranasal Sinus Neoplasms/surgery
10.
Rev Stomatol Chir Maxillofac ; 113(1): 9-13, 2012 Feb.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-21943496

ABSTRACT

OBJECTIVES: Para-pharyngeal tumors are located deeply. Imaging is mandatory for their management. We conducted a retrospective study to determine the contribution of imaging for their diagnosis and treatment. PATIENTS AND METHODS: Imaging was performed for 20 cases of primary para-pharyngeal tumors between 1986 and 2008. We compared the imaging to the anatomic and histological features of these tumors. RESULTS: Computed tomography and MRI confirmed the para-pharyngeal location of tumors. Tumors were located in the prestyloid compartment in eight cases, in the retrostyloid compartment in five cases, and in the retropharyngeal compartment in one case. Six tumors had filled all the para-pharyngeal space. Salivary gland tumors had filled the prestyloid space in two cases, and in two other malignant cases all para-pharyngeal space were invaded. MRI failed to differentiate the nature of tumor and its malignancy except when there was obvious bone erosion. The treatment was mainly surgical. The mean follow-up was 5 years 6 months. DISCUSSION: Imaging contributes to the etiological diagnosis and assesses tumor extension, thus helping to choose the surgical approach. MRI is the most contributive examination; its resolution is more adapted to the diagnosis of deep tumors. CT scan is contributive when studying the bone structure.


Subject(s)
Adenoma/diagnostic imaging , Magnetic Resonance Imaging , Pharyngeal Neoplasms/diagnostic imaging , Pharynx/diagnostic imaging , Tomography, X-Ray Computed , Adenoma/diagnosis , Adenoma/epidemiology , Adenoma/pathology , Aged , Carcinoma/diagnosis , Carcinoma/diagnostic imaging , Carcinoma/epidemiology , Carcinoma/pathology , Diagnosis, Differential , Female , Head and Neck Neoplasms/diagnosis , Head and Neck Neoplasms/diagnostic imaging , Head and Neck Neoplasms/epidemiology , Head and Neck Neoplasms/pathology , Humans , Male , Middle Aged , Pharyngeal Neoplasms/diagnosis , Pharyngeal Neoplasms/epidemiology , Pharyngeal Neoplasms/pathology , Pharynx/pathology , Retrospective Studies
11.
Eur Ann Otorhinolaryngol Head Neck Dis ; 127(5): 186-8, 2010 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-20952271

ABSTRACT

INTRODUCTION: Primary malignant lymphoma of the mandible is rare. It is frequently mistaken for a dental lesion, delaying diagnosis. We here report a case of mandibular lymphoma and present the clinical and radiological characteristics and means of treatment of this pathology. CASE REPORT: A 17-year-old woman consulted for right facial tumefaction with 1 year's evolution. Clinical examination found a mass facing the horizontal branch of the mandible, extending to the right parotid region without cutaneous involvement. CT and MRI showed a large expansive process of mandibular origin with parotid, temporal and intracranial extension. Biopsy indicated large B-cell lymphoma. The patient showed good evolution 2 years after chemotherapy. CONCLUSION: Lymphoma is the second most frequent form of head and neck tumor, after epidermoid carcinoma. Only 0.6% of locations are mandibular, almost always consisting of B-cell lymphoma. They are often initially misdiagnosed as a dental pathology. Complete remission after chemotherapy ranges from 60 to 80% at 1 year.


Subject(s)
Lymphoma, B-Cell , Mandibular Neoplasms , Adolescent , Female , Humans , Lymphoma, B-Cell/diagnosis , Mandibular Neoplasms/diagnosis
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL
...