Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 5 de 5
Filter
Add more filters










Language
Publication year range
1.
Mali Med ; 36(1): 66-69, 2021.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-37973568

ABSTRACT

OBJECTIF: The aim of this study was to describe the results of radiochemotherapy in patients after transurethral resection of muscle invasive bladder tumors. MATERIAL AND METHODS: A retrospective study from May 2014 to May 2016 in the radiotherapy department of the Mali Hospital. Have been included, all patients with bladder cancer infiltrating the muscle. Secondary cancers of the bladder and metastatic forms have been excluded from our study. Transurethral resection of bladder was performed. Neoadjuvant chemotherapy with paclitaxel- carboplatin was administered every three weeks in all patients, then external phototherapy 6 MV at a dose of 66 Gy due to 2 Gy of 5 sessions per week 6MV photon of external beam radiotherapy at a dose of 66 Gy due to 2 Gy of 5 sessions per week associated with concomitant cisplatin at dose of 40mg / m2 / week. RESULTS: Eight patients were included in ourstudy. The average age of 53.75 ± 14.84 years. The male sex was predominant 87.5% (n = 7). The history of chronic smoking wasfound in four patients. The main carcinogenic risk factor identified in our patients was urogenital bilharzia (6 cases / 8).The histological type found was urothelial carcinomain 12.5% (n = 1) and invasive squamous cell carcinomain 87.5% (n = 7). Transurethral resection of the tumor was performed in 62.5% (n = 5). Endoscopic biopsy was performed in 37.5% (n = 3). The tumor was classified pT2N0M0 in 50% (n = 4), pT3aN0M0 in 37.5% (n = 3) and pT3bN0M0 in 12.5% (n = 1). Neoadjuvant chemotherapy with paclitaxel - carboplatin every three weeks was administered to all patients. The results of radiochemotherapy (see Table: evolution). CONCLUSION: Concomitant radiochemotherapy is a conservative curative treatment that can be proposed as a replacement for cystectomy, for non-metastatic infiltrating tumors after the most complete endoscopic resection.


OBJECTIF: Le but de cette étude était de décrire les résultats d'une radiochimiothérapie chez les patients après résection transurétrale des tumeurs de vessie infiltrant le muscle. MATÉRIEL ET MÉTHODES: Une étude rétrospective allant de mai 2014 à mai 2016 au service de radiothérapie de l'hôpital du Mali. Ont été inclus, tous les patients présentant un cancer de vessie infiltrant le muscle. Les cancers secondaires de la vessie ainsi que les formes métastatiques ont été exclus de notre étude. La résection transurétrale de vessie a été réalisée. La chimiothérapie néoadjuvante à base de paclitaxel ­ carboplatine a été administrée toutes les trois semaines. La radiothérapie externe au photon 6MV à la dose de 66 Gy en raison de 2 Gy de 5 séances par semaine associée à la chimiothérapie concomitante à base de cisplatine (CDDP) 40mg/m2/semaine a été réalisée. RÉSULTATS: Au total huit patients ont été inclus dans notre étude. L'âge moyen de 53,75±14,84 ans. Le sexe masculin était prédominant 87.5% (n=7). L'antécédent de tabagisme chronique était retrouvé chez quatre patients. Le principal facteur de risque cancérigène identifié chez nos patients était la bilharziose urogénitale (6cas/8). Le type histologique retrouvé était le carcinome urothelial dans 12.5% (n=1) et le carcinome épidermoïde infiltrant dans 87.5% (n=7). La résection transurétrale de la tumeur a été réalisée dans 62.5% (n=5). La biopsie par voie endoscopique été réalisée dans 37.5% (n=3). La tumeur été classée pT2N0M0 dans 50% (n= 4), pT3aN0M0 dans 37.5% (n=3) et pT3bN0M0 dans 12.5% (n= 1). La chimiothérapie néoadjuvante à base de paclitaxel ­ carboplatine chaque trois semaines a été administrée chez tous les malades.Les résultats de la radiochimiothérapie (cf. Tableau: évolution). CONCLUSION: La radiochimiothérapie concomitante est un traitement curatif conservateur qui peut être proposée en remplacement à la cystectomie pour les tumeurs infiltrantes non métastatiques après une résection endoscopique la plus complète possible.

2.
Mali Med ; 35(1): 11-14, 2020.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-37978763

ABSTRACT

AIM: To determine the frequency of the surgery wound infection, its favoring factors, causative germs and its antibiotic treatment of choice in the surgery "A" department of the University Hospital Point G. METHOD: In a retrospective descriptive study over a 6-month period in the surgery "A" department of the University Hospital Point G, we enrolled all patients who underwent surgery necessitating at least 48 hours of hospital admission during our study period and in conformity with the Atlanta CDC criteria. Surgery patients with less than 48 hours postoperative hospital stay and those admitted to the hospital without surgery were not included.After the surgery, the nature and location of the infection have been clarified. In this work, ethical considerations have been respected and there is no conflict of interest. RESULTS: Two hundred and sixty-five (n=265) patient files were collected including 24 cases of surgery wound infection (a hospital frequency of 9%. The average age was 41.41 years (y.o) old with extremes of 7 y.o and 102 y.o. The sex ratio was 0.9 in favor of women. The commonly studied pathologies were digestive surgery in 52.8%, gynecological surgery in 24.5%, etc… Patients were seen in regular outpatient surgery visits in 75.8% and surgical emergencies in 24.2%. Of the patients urgently admitted, 26.5% presented an ISO; for those received in ordinary consultation it was 3.48%. Fifteen (15) cases were classified ASA III and two (2) ASA II. Based on the Altemeier classification, surgery was clean in 66.8% of our patients, contaminated clean in 12.4%, contaminated in 12.1%, and dirty in 8.7% (including half resulting in surgery wound infection). In total, 79% of patients whose surgeries lasted more than two (2) hours presented a surgery wound infection. Postoperative infection of patients was superficial in 58.3% and deep in 33.3%. In 8.3% of cases, it was a space infection. At the cytobacteriological examination of the pus from the operative site, Escherichia coli (E. coli) was the most common germ with 58.3%. E. coli was sensitive to amoxicillin-clavulanic acid in 57.14%. Surgically, a re-intervention was performed in 20.8% of cases, a secondary suture in 12.5%, and a single dressing in 66.7%. The average postoperative stay was 6.5 days with extremes of 2 days and 69 days. In 3 months postoperatively we recorded 4 cases of death. CONCLUSION: The surgery wound infection constitutes a major complication in a surgical environment starting with surgical act itself.Particular emphasis should be placed on prevention, which will reduce the risks of ISO occurrence.


BUT: déterminer la fréquence des infections du site opératoire (ISO), les facteurs favorisants la survenue des ISO, les germes responsables et les antibiotiques actifssur les infections du site opératoire dans le service chirurgie « A ¼ du CHU du Point G. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive sur une période de 6 mois réalisée dans le service chirurgie « A ¼ du CHU du Point G. Ont été inclus tous les patients ayant subi une intervention chirurgicale pendant cette période et hospitalisés au moins 48 heures après, et qui ont répondu aux critères du CDC d'Atlanta. N'ont pas été inclus, les patients opérés dont le séjour post opératoire a été inférieur à 48 heures, les patients hospitalisés dans le service mais non opérés, et ceux opérés dans le service et non hospitalisés. En postopératoire la nature et le siège de l'infection ont été précisées. Dans ce travail les considérations éthiques ont été respectées et il n'y a pas de conflit d'intérêt. RÉSULTATS: deux cent soixante-cinq dossiers de patients ont été colligés dont 24 cas d'ISO soit 9% des cas. L'âge moyen a été de 41,41 ans avec des extrêmes de 7ans et 102 ans. Le sex ratio a été de 0,2 en faveur des femmes. Les principales pathologies étudiées ont été la chirurgie digestive dans 52,8%, la chirurgie gynécologique dans 24,5%. La majorité des patients ont été reçus en consultation ordinaire dans 75,8% des cas, et en urgences dans 24,2 %. Parmi les patients reçus en urgence 26,5% ont présenté une ISO ; pour ceux reçus en consultation ordinaire elle a été de 3,48%.Parmi les patients infectés 15 étaient classés ASA III et 2 ASA II. Selon la classification Altemeier, la chirurgie propre a occupé 66,8% des patients, la chirurgie propre contaminée 12,4%, la chirurgie contaminée 12,1%, et la chirurgie sale 8,7%. Parmi les patients opérés de chirurgie sales 50% ont présenté une ISO.L'ISO était présente chez 79% des patients ayant effectué plus de 2 heures d'intervention.En postopératoire l'infection était superficielle chez 58,3% des patients, et profonde chez 33,3% des patients. Dans 8,3% des cas, il s'agissait d'une infection d'espace. A l'examen cytobactériologique du pus Escherichia coli (E coli) avec 58,3% a été le germe le plus fréquent sur le site opératoire. E coli était sensible à l'association amoxicilline - acide clavulanique dans 57,14%. Sur le plan chirurgical une réintervention a été réalisée dans 20,8% des cas, une suture secondaire dans 12,5%, et un pansement seul dans 66,7%. La durée moyenne de séjour post opératoire était de 6,5 jours avec des extrêmes de 2 jours et 69 jours. En 3 mois postopératoire nous avons enregistré 4 cas de décès. CONCLUSION: L'ISO constitue une complication majeure en milieu chirurgical compromettant l'acte chirurgical. Un accent particulier doit être mis sur la prévention qui diminuerai les risques de survenue de l'ISO.

3.
Mali Med ; 34(3): 39-43, 2019.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-35897220

ABSTRACT

PURPOSE: Delays to access to radiotherapy are long in our context. The purpose of this study was to analyze the effect of neoadjuvant chemotherapy to concomitant chemoradiotherapy in locally advanced cervical cancers. PATIENTS AND METHODS: We conducted a retrospective study from April 2014 to April 2016 at the radiotherapy center of "Hopital du Mali" in Bamako, Mali. Patients were allocated according to age, histological type, tumor size and the 2002 classification of the FIGO. Experimental protocol was the administration of a neoadjuvante chemotherapy with association of Paclitaxel 175mg/m2 + Carboplatine AUC 5 every 3 weeks and radiothérapy cure with avec linac 6 MV at 70 Gy due to 5 sessions of 2 Gy per week associated with a concomitant chemotherapy with cisplatin at 40 mg/m2/week. The clinical response was assessed at the end of neoadjuvant chemotherapy and of concomitant chemoradiotherapy. RESULTS: Thirty patients were included in the study. The mean age was 53.63 ± 8.9 years. The mean size of the tumor was 5.17 cm (2 to 7 cm). According to the 2002 classification of the FIGO stages IIB were 33% (n = 10); IIIB were 57% (n = 17) and IVA were 10% (n = 3). Clinical evaluation at the end of neoadjuvant chemotherapy found: complete response 17 % (n = 5), partial response 10% (n = 3) and stable disease 73 % (n = 22). Evaluation at the end of the concomitant chemoradiotherapy had found the complete response in 90% (n = 27) and stable disease in 10% (n = 3). CONCLUSION: Neoadjuvant chemotherapy to concomitant chemoradiotherapy in locally advanced cervical cancer allows stabilization of the tumor and improves local control. Due to long delays to access to radiotherapy treatment in our context; neoadjuvant chemotherapy is an alternative to stabilize the disease and prevent distant metastasis from locally advanced cervical cancers.


OBJECTIF: Les délais d'attente pour accéder à la radiothérapie sont longs dans note contexte. L'objet de cette étude était d'analyser le résultat de la chimiothérapie néo adjuvante à la radiothérapie dans les cancers localement avancés du col utérin. PATIENTS ET MÉTHODES: Nous avons réalisé une étude rétrospective allant d'avril 2014 à avril 2016 au centre de radiothérapie de l'hôpital du Mali. Les patients ont été regroupés selon l'âge, le type histologique, la taille de la tumeur, la classification de la FIGO 2002. Le schéma thérapeutique était une chimiothérapie néo adjuvante associant Paclitaxel 175 mg/m2 et Carboplatine AUC 5 toutes les 3 semaines suivie d'une radiothérapie avec linac 6 MV à la dose de 70 Gy en raison de 5 séances de 2 Gy par semaine faite concomitamment à une chimiothérapie avec du cisplatine à la dose de 40 mg/m2/semaine. La réponse clinique était évaluée à la fin de la chimiothérapie néoadjuvante et de la radiochimiothérapie concomitante. RÉSULTATS: Trente patientes ont été incluses dans l'étude. L'âge moyen était de 53.63 ± 8.9 ans. La taille moyenne de la tumeur était de 5,17 cm (2 à 7 cm). Selon la classification FIGO 2002, 10 (33%) étaient en stade IIB distal, 17 (57%) étaient en stade IIIB et 3 (10%) en stade IVA. L'évaluation clinique à la fin de la chimiothérapie néo adjuvante avait retrouvé 17 % de réponses complètes (n=5), 10% de réponses partielles (n=3) 73 % d'évolutions stables (n=22). L'évaluation à la fin de la radiochimiothérapie concomitante avait trouvé une réponse complète chez 27 patientes (90%) et une maladie stable chez 3 (10%). CONCLUSION: La chimiothérapie néo adjuvante à la chimioradiothérapie concomitante dans les cancers localement avancés du col utérin permet la stabilisation de la tumeur et améliore le control local. En raison des délais d'attente longs pour accéder à la radiothérapie, la chimiothérapie néo adjuvante est une alternative pour stabiliser la maladie et réduire le risque de métastases à distance des cancers du col utérin localement avancés.

4.
Mali méd. (En ligne) ; 34(3): 39-43, 2019. ilus
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1265751

ABSTRACT

Les délais d'attente pour accéder à la radiothérapie sont longs dans note contexte. L'objet de cette étude était d'analyser le résultat de la chimiothérapie néo adjuvante à la radiothérapie dans les cancers localement avancés du col utérin. Patients et méthodes: Nous avons réalisé une étude rétrospective allant d'avril 2014 à avril 2016 au centre de radiothérapie de l'hôpital du Mali. Les patients ont été regroupés selon l'âge, le type histologique, la taille de la tumeur, la classification de la FIGO 2002. Le schéma thérapeutique était une chimiothérapie néo adjuvante associant Paclitaxel 175 mg/m2 et Carboplatine AUC 5 toutes les 3 semaines suivie d'une radiothérapie avec linac 6 MV à la dose de 70 Gy en raison de 5 séances de 2 Gy par semaine faite concomitamment à une chimiothérapie avec du cisplatine à la dose de 40 mg/m2/semaine. La réponse clinique était évaluée à la fin de la chimiothérapie néoadjuvante et de la radiochimiothérapie concomitante. Résultats : Trente patientes ont été incluses dans l'étude. L'âge moyen était de 53.63 ± 8.9 ans. La taille moyenne de la tumeur était de 5,17 cm (2 à 7 cm). Selon la classification FIGO 2002, 10 (33%) étaient en stade IIB distal, 17 (57%) étaient en stade IIIB et 3 (10%) en stade IVA. L'évaluation clinique à la fin de la chimiothérapie néo adjuvante avait retrouvé 17 % de réponses complètes (n=5), 10% de réponses partielles (n=3) 73 % d'évolutions stables (n=22). L'évaluation à la fin de laradiochimiothérapie concomitante avait trouvé une réponse complète chez 27 patientes (90%) et une maladie stable chez 3 (10%). Conclusion - La chimiothérapie néo adjuvante à la chimioradiothérapie concomitante dans les cancers localement avancés du col utérin permet la stabilisation de la tumeur et améliore le control local. En raison des délais d'attente longs pour accéder à la radiothérapie, la chimiothérapie néo adjuvante est une alternative pour stabiliser la maladie et réduire le risque de métastases à distance des cancers du col utérin localement avancés


Subject(s)
Chemoradiotherapy , Mali , Uterine Cervical Neoplasms
5.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 66(7): 363-369, 2019.
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1266340

ABSTRACT

Introduction : La sécurité transfusionnelle constitue un défi majeur dans les pays en développement. La sélection médicale est un élément essentiel dans la stratégie visant à réduire la transmission d'agents infectieux Mali. Dans ce travail nous avons évalué l'outil utilisé pour le screening pré-don dans l'unité de banque de sang de l'hôpital du Mali. Matériel et Méthodes : Il s'agissait d'une étude prospective du 30 mars 2016 au 14 février 2017 incluant tous les candidats au don de sang. Après la sélection médicale, une qualification biologique a été réalisée au niveau du Centre National de Transfusion Sanguine notamment pour les 4 infections transmissibles obligatoires de l'OMS (VHB, VHC, VIH et Syphilis). Résultats : Au total, 726 candidats au don ont été inclus. La moyenne d'âge était de 30,72 ± 8,8 ans, compris entre 17 et 60 ans. Le sex-ratio H/F était : 8,48. Il s'agissait dans 83,5% des cas d'un don de compensation, 67% étaient à leur premier don. La sélection médicale a permis d'écarter 108 candidats pour des raisons diverses. Sur les 618 candidats retenus, 79 soit 12,8% des PSL n'étaient pas qualifiés pour la distribution pour VIH (0,3%), VHB (10,7%), VHC (1,8%), syphilis (0,3%) et co-infection VHB+VHC (0,3%). Conclusion : Cette étude nous a permis d'identifier quelques insuffisances de l'outil. Nous concluons que cet outil utilisé pour la sélection médicale doit être amélioré


Subject(s)
Blood Donors , Blood Safety , Developing Countries , Mali
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL
...