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1.
Can J Hosp Pharm ; 75(4): 326-334, 2022.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-36246441

ABSTRACT

Background: Burnout is a growing problem among health care professionals, with consequences for patient safety and personal satisfaction. The prevalence of burnout among hospital pharmacists in Canada is unknown; however, it has been documented at over 60% in other countries. Objectives: To assess the prevalence of burnout and variables associated with burnout among hospital pharmacists in Canada. Methods: This cross-sectional cohort study was based on a survey made available to more than 2600 Canadian hospital pharmacists from February 10 to April 2, 2020, through the Canadian Society of Hospital Pharmacists QID platform. The questionnaire collected data for the Maslach Burnout Inventory Human Services Survey for Medical Personnel (MBI-HSSMP), demographic data, employment characteristics, and workplace factors; it also included an open-ended question about burnout. Results: A total of 171 respondents provided data suitable for analysis. Of these, only 13 (7.6%) met the criteria for burnout on all 3 subscales of the burnout inventory; however, 105 respondents (61.4%) surpassed the threshold for burnout on the emotional exhaustion subscale. In univariate analyses, not working to one's full scope of practice was associated with meeting the criteria for burnout on all 3 scales. Linear regression highlighted associations between scores on the emotional exhaustion subscale and gender identity, perceived excessive on-call duties, area of practice, and positivity of workplace culture. Content analysis of the open-ended question supported the quantitative findings and pointed to 3 major themes: workload quantity, workload quality, and workplace culture. Conclusions: Results on the emotional exhaustion subscale of the MBI-HSSMP and responses to the open-ended question suggested a relatively high prevalence of burnout among Canadian hospital pharmacists, and indicated potential links between burnout and certain workplace characteristics.


Contexte: L'épuisement professionnel est un problème croissant chez les professionnels de la santé qui entraîne des conséquences sur la sécurité des patients et la satisfaction personnelle des professionnels. La prévalence de l'épuisement professionnel chez les pharmaciens d'hôpitaux au Canada est inconnue; cependant, il a été documenté à plus de 60 % dans d'autres pays. Objectifs: Évaluer la prévalence de l'épuisement professionnel et les variables associées à celui-ci chez les pharmaciens d'hôpitaux au Canada. Méthodes: Cette étude de cohorte transversale se basait sur un sondage distribué à plus de 2600 pharmaciens d'hôpitaux canadiens entre le 10 février et le 2 avril 2020 via la plateforme QID de la Société canadienne des pharmaciens d'hôpitaux. Le questionnaire a permis de recueillir des données pour le Maslach Burnout Inventory Human Services Survey for Medical Personnel (MBI-HSSMP; un inventaire de l'épuisement professionnel chez les professionnels de la santé), des données démographiques, des caractéristiques professionnelles et des facteurs liés au lieu de travail; il comprenait également une question ouverte sur l'épuisement professionnel. Résultats: Au total, 171 répondants ont fourni des données se prêtant à l'analyse. Parmi ceux-ci, seuls 13 (7,6 %) répondaient aux critères de l'épuisement professionnel des 3 sous-échelles de l'inventaire de l'épuisement professionnel; cependant, 105 répondants (61,4 %) ont dépassé le seuil d'épuisement professionnel de la sous-échelle d'épuisement émotionnel. Dans les analyses univariées, le fait de ne pas travailler dans l'ensemble de son champ d'exercice était associé au respect des critères d'épuisement professionnel sur les 3 sous-échelles. La régression linéaire a mis en évidence des associations entre les scores sur la sous-échelle d'épuisement émotionnel et l'identité de genre, les tâches de garde excessives perçues, le domaine de pratique et la positivité de la culture sur le lieu de travail. L'analyse du contenu de la question ouverte étayait les résultats quantitatifs et a souligné 3 thèmes principaux : la quantité et la qualité de la charge de travail, ainsi que la culture sur le lieu de travail. Conclusions: Les résultats relatifs à la sous-échelle d'épuisement émotionnel du MBI-HSSMP et les réponses à la question ouverte suggèrent une prévalence relativement élevée d'épuisement professionnel chez les pharmaciens d'hôpitaux canadiens et indiquent des liens potentiels entre l'épuisement professionnel et certaines caractéristiques du milieu de travail.

2.
Can J Hosp Pharm ; 68(3): 218-25, 2015.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-26157183

ABSTRACT

BACKGROUND: The Beers criteria were developed to help in identifying potentially inappropriate medications (PIMs) for elderly patients. These medications are often associated with adverse events and limited effectiveness in older adults. Patients awaiting an alternate level of care (ALC patients) are those who no longer require acute care hospital services and are waiting for placement elsewhere. They are often elderly, have complex medication regimens, and are at high risk of adverse events. At the time of this study no studies had applied the Beers criteria to ALC patients in Canadian hospitals. OBJECTIVES: To determine the proportion of ALC patients receiving PIMs and the proportion experiencing selected PIM-related adverse events. METHODS: A retrospective chart review of ALC patients 65 years of age or older was performed to identify PIMs and the occurrence of selected adverse events (specifically central nervous system [CNS] events, falls, bradycardia, hypoglycemia, seizures, insomnia, gastrointestinal bleeding, and urinary tract infections). A logistic regression model with a random intercept for each patient was constructed to estimate odds ratios and probabilities of adverse events. RESULTS: Fifty-two ALC patients were included in the study. Of these, 48 (92%) were taking a PIM. Of the 922 adverse events evaluated, 407 (44.1%) were associated with a regularly scheduled PIM. Among patients who were taking regularly scheduled PIMs, there was a significantly increased probability of an adverse CNS event and of a fall (p < 0.001 for both). The most common PIM medication classes were first-generation antihistamines (24 [46%] of the 52 patients), antipsychotics (21 patients [40%]), short-acting benzodiazepines (15 patients [29%]), and nonbenzodiazepine hypnotics (14 patients [27%]). CONCLUSIONS: A high proportion of ALC patients were taking PIMs and experienced an adverse event that may have been related to these drugs. These findings suggest that the ALC population might benefit from regular medication review and monitoring to prevent or detect adverse events.


CONTEXTE: Les critères de Beers ont été élaborés afin d'aider à détecter l'utilisation de médicaments potentiellement inappropriés (MPI) auprès des patients âgés. L'on associe souvent les MPI à des événements indésirables, et leur efficacité chez les personnes âgées est limitée. Les patients en attente d'un autre niveau de soins (patients ANS) sont ceux qui ne nécessitent plus de soins de courte durée de l'hôpital et qui attendent d'être déplacés vers un autre établissement. Il s'agit souvent de personnes âgées ayant une panoplie complexe de traitements médicamenteux et présentant un risque élevé de subir des événements indésirables. Au moment de la présente recherche, aucune étude n'avait appliqué les critères de Beers aux patients ANS des hôpitaux canadiens. OBJECTIFS: Déterminer quelles sont les proportions de patients ANS qui reçoivent des MPI et qui subissent certains événements indésirables choisis liés à ces médicaments. MÉTHODES: Une analyse rétrospective des dossiers médicaux de patients ANS âgés de 65 ans et plus a été réalisée dans le but de relever les MPI ainsi que les cas de certains événements indésirables choisis (particulièrement les événements liés au système nerveux central, les chutes, la bradycardie, l'hypoglycémie, les convulsions, l'insomnie, les hémorragies gastro-intestinales et les infections urinaires). On a mis au point un modèle de régression logistique avec ordonnée à l'origine aléatoire pour chaque patient afin d'estimer les risques relatifs approchés ainsi que les probabilités d'événements indésirables. RÉSULTATS: Au total, 52 patients ANS ont été admis à l'étude. De ceuxci, 48 (92 %) prenaient un MPI. Des 922 événements indésirables analysés, 407 (44,1 %) ont été associés à un MPI administré régulièrement. Parmi les patients prenant des MPI à une fréquence régulière, la probabilité de subir une chute ou un événement indésirable lié au système nerveux central était grandement accrue (p < 0,001 pour chacun). Les MPI les plus fréquents étaient : les antihistaminiques de première génération (24 [46 %] des 52 patients), les antipsychotiques (21 patients [40 %]), les benzodiazépines à action brève (15 patients [29 %]) et les hypnotiques non-benzodiazépines (14 patients [27 %]). CONCLUSIONS: Un grand nombre de patients ANS prenaient des MPI et avaient subi un événement indésirable qui pouvait avoir été en lien avec ces médicaments. Ces résultats laissent croire que les patients ANS pourraient tirer avantage d'évaluations fréquentes de la pharmacothérapie et de surveillance afin de prévenir les événements indésirables ou de les détecter.

3.
Biol Psychol ; 92(2): 249-56, 2013 Feb.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-23046906

ABSTRACT

The role of sleep deprivation in aggressive behavior has not been systematically investigated, despite a great deal of evidence to suggest a relationship. We investigated the impact of 33 h of sleep loss on endocrine function and reactive aggression using the Point Subtraction Aggression Paradigm (PSAP) task. PSAP performance was assessed in 24 young men and 25 women who were randomly assigned to a sleep deprivation or control condition. Sleep deprivation lowered reactive aggression and testosterone (but not cortisol) in men, and disrupted the positive relationship between a pre-post PSAP increase in testosterone and aggression that was evident in rested control men. While women increased aggression following provocation as expected, no influence of sleep deprivation was found. This is the first experimental study to demonstrate that sleep deprivation lowers reactive aggression in men. Testosterone, but not cortisol, played a role in the relationship between sleep and reactive aggression in men.


Subject(s)
Aggression/physiology , Sex Characteristics , Sleep Deprivation/physiopathology , Testosterone/metabolism , Adolescent , Adult , Affect/physiology , Analysis of Variance , Female , Humans , Immunoassay , Linear Models , Male , Psychiatric Status Rating Scales , Saliva/metabolism , Time Factors , Young Adult
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