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1.
Rev Sci Tech ; 40(1): 239-251, 2021 Jun.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34140727

ABSTRACT

The World Organisation for Animal Health (OIE) Manual of Diagnostic Tests and Vaccines for Terrestrial Animals describes a diverse array of assays that can be used to detect, characterise and monitor the presence of infectious agents of farmed livestock. These methods have been developed in different laboratories, at different times, and often include tests or kits provided by the commercial sector. Reference panels are essential tools that can be used during assay development and in validation exercises to compare the performance of these varied (and sometimes competing) diagnostic technologies. World Organisation for Animal Health Reference Laboratories already provide approved international standard reagents to help calibrate diagnostic tests for a range of diseases, but there remain important gaps in their availability for comparative purposes and the calibration of test results across different laboratories. Using foot and mouth disease (FMD) as an example, this review highlights four specific areas where new reference reagents are required. These are to: reduce bias in estimates of the diagnostic sensitivity and inter-serotypic specificity of tests used to detect diverse strains of FMD virus (FMDV), provide bio-safe positive controls for new point-of-care test formats that can be deployed outside high containment, harmonise FMDV antigens for post-vaccination serology, and address inter-laboratory differences in serological assays used to measure virus-specific FMD antibody responses. Since there are often limited resources to prepare and distribute these materials, sustainable progress in this arena will only be achievable if there is consensus and coordination of these activities among OIE Reference Laboratories.


Le Manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) décrit une vaste panoplie d'essais utilisables pour la détection, la caractérisation et la surveillance des agents pathogènes affectant les animaux d'élevage. Ces méthodes ont été mises au point par des laboratoires différents à diverses périodes et intègrent souvent des tests ou des kits fournis par le secteur privé. Les panels de référence sont des outils essentiels aussi bien lors de la conception d'un essai que lors d'exercices de validation, leur but étant alors de comparer les performances de technologies diagnostiques variées (et parfois concurrentes). Les Laboratoires de référence de l'OIE fournissent des réactifs de référence internationaux validés afin d'aider à calibrer les tests de diagnostic pour un certain nombre de maladies animales ; toutefois, on constate que nombre de ces réactifs ne sont pas disponibles pour la comparaison et le calibrage interlaboratoires des résultats de tests. À partir de l'exemple de la fièvre aphteuse, les auteurs soulignent quatre domaines spécifiques pour lesquels il conviendrait de disposer de nouveaux réactifs de référence. Il s'agit des réactifs nécessaires pour : (1) réduire les biais dans l'estimation de la sensibilité diagnostique et de la spécificité pour différents sérotypes des tests utilisés pour détecter diverses souches du virus de la fièvre aphteuse ; (2) fournir des contrôles positifs sûrs au plan biologique pour les nouveaux formats de tests utilisables sur le lieu d'intervention et non plus dans des laboratoires de confinement à haute sécurité ; (3) harmoniser les antigènes du virus de la fièvre aphteuse pour la sérologie post-vaccinale ; (4) résoudre le problème des différences obtenues entre laboratoires lors d'essais sérologiques visant à mesurer la réponse en anticorps spécifiques du virus de la fièvre aphteuse. Compte tenu des ressources souvent limitées consacrées à la préparation et à la distribution de ces réactifs, des progrès durables ne seront obtenus que s'il existe un consensus en la matière et une coordination de ces activités parmi les Laboratoires de référence de l'OIE.


En el Manual de pruebas de diagnóstico y vacunas para los animales terrestres de la Organización Mundial de Sanidad Animal (OIE) se describe todo un conjunto de ensayos que se pueden emplear para detectar y caracterizar agentes infecciosos del ganado doméstico y hacer así controles sistemáticos de su eventual presencia. Estos métodos, concebidos en distintos laboratorios en distintos momentos, suelen acompañarse de pruebas o estuches analíticos que proporcionan empresas privadas. Los paneles de referencia son una herramienta esencial, que se puede emplear durante la concepción de ensayos y en los procesos de validación para comparar el funcionamiento de estas diferentes técnicas de diagnóstico, que a veces compiten unas con otras. Los laboratorios de referencia de la OIE ya facilitan reactivos de referencia internacional aprobados que ayudan a calibrar las pruebas de diagnóstico de una serie de enfermedades, pero todavía hay importantes carencias por lo que respecta a la posibilidad de procurárselos con fines de comparación y a la calibración de los resultados que obtienen diferentes laboratorios. Sirviéndose del ejemplo de la fiebre aftosa, los autores destacan cuatro aspectos específicos para los que hacen falta nuevos reactivos de referencia. Se trata de los siguientes: reducir el sesgo a la hora de calcular la sensibilidad de diagnóstico y la especificidad interserotípica de las pruebas empleadas para detectar diversas cepas del virus de la fiebre aftosa; proporcionar controles positivos que ofrezcan seguridad biológica para nuevos modalidades de ensayo utilizables en el lugar de consulta, esto es, en condiciones que no sean de alta contención; armonizar los antígenos víricos para la práctica de análisis serológicos tras la vacunación; y solventar las diferencias entre laboratorios por lo que respecta a los ensayos serológicos empleados para medir la respuesta de anticuerpos específicos contra el virus de la fiebre aftosa. Dado que suele haber escasos recursos para preparar y distribuir este tipo de material, solo será posible avanzar duraderamente en la materia si los laboratorios de referencia de la OIE consensúan y coordinan estas actividades.


Subject(s)
Foot-and-Mouth Disease Virus , Foot-and-Mouth Disease , Viral Vaccines , Animals , Foot-and-Mouth Disease/diagnosis , Foot-and-Mouth Disease/prevention & control , Livestock , Serogroup , Vaccination/veterinary
2.
Rev Sci Tech ; 39(3): 863-870, 2020 Jan.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-35275128

ABSTRACT

Peste des petits ruminants (PPR) is a severe non-zoonotic viral disease of small ruminants caused by a morbillivirus closely related to rinderpest virus (RPV). The disease is widespread in Africa, the Middle East and Southern Asia. It is one of the priority animal diseases whose control is considered important for poverty alleviation in those regions because of the associated high economic losses. A sero-epidemiological study of PPR was conducted in Oromia and Afar regional states of Ethiopia. A total of 800 serum samples from sheep and goats were collected between October 2015 and March 2016 in Afar and Oromia, where no vaccination history has been recorded. These two regions are known to have a large population of small ruminants. The levels of PPR antibodies obtained in the two regions using the competitive enzyme-linked immunosorbent assay (cELISA) ID Screen® PPR Competition from IDvet (Montpellier, France) were similar, at 12.7% and 13.0% for Afar and Oromia, respectively. A seroprevalence of 12.9% for the two regions was obtained. The study also linked seropositivity to risk factors such as sex, age and species with a p-value of less than 0.05 (p = 0.0001, p = 0.0001 and p = 0.004, respectively).


La peste des petits ruminants (PPR) est une maladie virale non zoonotique des petits ruminants due à un morbillivirus apparenté au virus de la peste bovine. Cette maladie est très présente en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud. Elle fait partie des maladies animales prioritaires qu'il est important de contrôler à des fins d'allègement de la pauvreté dans les régions affectées, en raison de l'ampleur des pertes économiques qui lui sont associées. Une étude séroépidémiologique sur la PPR a été conduite en éthiopie, couvrant les régions d'Oromia et d'Afar. Au total, 800 échantillons sériques issus d'ovins et de caprins ont été prélevés entre octobre 2015 et mars 2016 à Afar et Oromia, régions sans historique documenté de vaccination. Les populations de petits ruminants y sont nombreuses. La détection d'anticorps dirigés contre le virus de la PPR au moyen de l'épreuve immuno-enzymatique de compétition (cELISA) ID Screen® PPR Competition du laboratoire IDvet (Montpellier, France) a fait apparaître un niveau d'anticorps comparable dans les deux régions (12,7 % à Afar et 13,0 % à Oromia). Le taux de prévalence sérologique pour les deux régions était de 12,9 %. L'étude a également permis de relier la présence d'anticorps à certains facteurs de risque tels que le sexe, l'âge et l'espèce, avec un degré de signification (p) inférieur à 0,05 (respectivement, p = 0,0001, p = 0,0001 et p = 0,004).


La peste de pequeños rumiantes (PPR) es una grave enfermedad viral no zoonótica que afecta a los pequeños rumiantes, causada por un morbilivirus estrechamente emparentado con el virus de la peste bovina. Esta patología, muy extendida en África, Oriente Medio y el sur de Asia, es una de las enfermedades animales prioritarias cuyo control se considera importante para paliar la pobreza en esas regiones, dado que engendra cuantiosas pérdidas económicas. Los autores describen un estudio seroepidemiológico de la PPR efectuado en los estados regionales de Oromia y Afar (Etiopía). Entre octubre de 2015 y marzo de 2016 se reunieron en total 800 muestras séricas de ovejas y cabras de Afar u Oromia, regiones donde no se tiene registrado antecedente alguno de vacunación y donde se sabe que hay una numerosa cabaña de pequeños rumiantes. En ambas regiones, con aplicación del ensayo inmunoenzimático de competición (ELISAc) ID Screen® PPR Competition de IDvet (Montpellier, Francia), se obtuvieron niveles similares de anticuerpos contra el virus de la PPR: del 12,7% en Afar y del 13,0% en Oromia. El cálculo arroja una seroprevalencia del 12,9% en ambas regiones. El estudio puso también de relieve la existencia de un vínculo entre seropositividad y tres factores de riesgo, el sexo, la edad y la especie, con valores de p inferiores a 0,05 (respectivamente, p = 0,0001, p = 0,0001 y p = 0,004).

3.
Rev Sci Tech ; 36(2): 569-578, 2017 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-30152462

ABSTRACT

Rinderpest, the most dreaded disease of cattle, originated as far back as the domestication of cattle, occurring in Asia more than 10,000 years ago. It has been the main preoccupation of Veterinary Service activities for many centuries and was the major motivation for establishing the first veterinary school in Lyon, France, in 1761. Gaining control of the disease was the impetus for the founding of many regional and international organisations (including the World Organisation for Animal Health). Outbreaks of rinderpest have led to food shortages and starvation, economic losses and poverty, social unrest, and disrupted transport networks in regions where agriculture was dependent on draught cattle. The rinderpest virus, causative agent of the disease, has also been used as a biological weapon in the past. Many regional rinderpest eradication campaigns have been implemented, including Joint Project 15; the Pan-African Rinderpest Campaign (PARC); the South Asia Rinderpest Eradication Campaign; the West Asia Rinderpest Eradication Campaign; and the Pan African Programme for the Control of Epizootics. All of these campaigns were supported by regional and international organisations, and the disease was finally eradicated in 2011. The benefit of PARC in terms of the value of avoided losses in cattle products due to the decrease in the disease's occurrence was estimated to be between 581,000 and 35,433,000 European currency units. Currently, the world is prepared to prevent the deliberate or accidental release of the remaining infectious rinderpest virus material which exists in research and diagnostic facilities across the world.


La peste bovine, la plus redoutable des maladies bovines, existe depuis l'époque reculée de la domestication des bovins, puisqu'elle est apparue en Asie il y a plus de dix mille ans. Au fil des siècles, cette maladie a été une préoccupation centrale des services en charge de la santé animale et a été le motif principal de la création de la première école vétérinaire, à Lyon (France) en 1761. L'ambition de maîtriser la peste bovine a participé de l'élan qui a vu naître nombre d'organisations régionales et internationales (dont l'Organisation mondiale de la santé animale). Les épidémies de peste bovine ont entraîné des pénuries alimentaires et des famines, des pertes économiques et une pauvreté accrue, une instabilité sociale et l'effondrement des réseaux de transport dans les régions où l'agriculture dépendait des bovidés de trait. Le virus responsable de la peste bovine a également été utilisé en tant qu'arme biologique dans le passé. De nombreuses campagnes d'éradication de la peste bovine ont été mises en œuvre à l'échelle régionale, parmi lesquelles le Projet conjoint 15, la Campagne panafricaine de lutte contre la peste bovine (PARC), la Campagne d'éradication de la peste bovine en Asie du Sud, la Campagne d'éradication de la peste bovine en Asie occidentale et le Programme panafricain de contrôle des épizooties. Ces campagnes ont toutes reçu le soutien d'organisations régionales et internationales et la maladie a finalement été éradiquée en 2011. Les bénéfices du programme PARC en termes de pertes de production évitées dans le secteur bovin grâce au déclin de l'incidence de la maladie ont été estimés entre 581 000 et 35 433 000 ECU (unité de compte européenne). Aujourd'hui, le monde est prêt à prévenir toute libération délibérée ou accidentelle des stocks restants de produits contenant le virus de la peste bovine détenus dans différents établissements de recherche et de diagnostic répartis dans le monde.


Los orígenes de la peste bovina, que es la más temida de las enfermedades del ganado vacuno, se remontan a la domesticación de los bovinos, que se dio en Asia hace más de 10 000 años. Durante muchos siglos ha sido una de las grandes preocupaciones que han guiado el trabajo de los Servicios Veterinarios, y fue uno de los principales factores que motivaron la fundación de la primera escuela de veterinaria en Lyon (Francia) en 1761. El objetivo de llegar a controlar la enfermedad fue el acicate que llevó a la creación de numerosas organizaciones de ámbito regional e internacional (entre ellas la Organización Mundial de Sanidad Animal). Los brotes de peste bovina han causado episodios de escasez de alimentos y hambruna, pérdidas económicas, pobreza y disturbios sociales, sin olvidar la desorganización de las redes de transporte en regiones donde la agricultura dependía del ganado de tiro. En el pasado el virus de la peste bovina, agente causal de la enfermedad, también ha sido utilizado como arma biológica. Numerosas campañas regionales de erradicación de la peste bovina han visto la luz, entre ellas el llamado Proyecto Conjunto 15, la Campaña panafricana contra la peste bovina (PARC), la Campaña de Erradicación de la Peste Bovina en Asia Meridional, la Campaña de Erradicación de la Peste Bovina en Asia Occidental y el Programa Panafricano de Control de Epizootias. Gracias a todas estas iniciativas, respaldadas por organizaciones regionales e internacionales, en 2011 la enfermedad quedó por fin erradicada. Según las estimaciones, basadas en el valor económico de las pérdidas de productos ganaderos evitadas gracias a la reducción de los casos de enfermedad, la PARC deparó entre 581 000 y 35 433 000 Ecus (unidades de cuenta europeas) de beneficios. En la actualidad el mundo está preparado para evitar toda liberación accidental o deliberada de las muestras infecciosas de virus de la peste bovina que aún se conservan en centros de investigación y diagnóstico de todo el planeta.


Subject(s)
Global Health/history , Rinderpest/epidemiology , Animals , Biological Warfare Agents , Cattle , Food Supply , Global Health/economics , History, 15th Century , History, 16th Century , History, 17th Century , History, 18th Century , History, 19th Century , History, 20th Century , History, 21st Century , History, Ancient , History, Medieval , Rinderpest/economics , Rinderpest/prevention & control , Social Conditions , Veterinary Medicine
4.
Vet Microbiol ; 146(3-4): 354-5, 2010 Dec 15.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-20580496

ABSTRACT

A Variable Number Tandem Repeat (VNTR) analysis was conducted on thirteen (13) M. mycoides mycoides Small Colony isolates from Nigeria using Tandem Repeat (TR) 34 which is a predicted lipoprotein located within the hypothetical protein MAG6170. The analysis revealed diversity within the M. mycoides mycoides Small Colony isolates with five different VNTR types indicated. Some correlation was determined between the VNTR types and their geographical origin. VNTR analysis may represent a useful, rapid first-line test for use in molecular epidemiological analysis of M. mycoides mycoides Small Colony for possible outbreak tracing and disease control.


Subject(s)
Genetic Variation , Minisatellite Repeats , Mycoplasma mycoides/genetics , Animals , Mycoplasma mycoides/isolation & purification , Nigeria
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