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1.
CJC Open ; 5(5): 357-363, 2023 May.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-37377517

ABSTRACT

Background: Cardiovascular (CV) risk management for high-risk patients is often provided by primary care physicians (PCPs). We surveyed Canadian PCPs regarding their awareness and implementation of the 2021 Canadian Cardiovascular Society (CCS) lipid guideline recommendations for patients following an acute coronary syndrome (ACS) and those with diabetes but without CV disease. Methods: A committee of PCPs and specialists with lipid expertise, including some 2021 CCS lipid guideline coauthors, designed a survey to probe PCP awareness and practice patterns regarding CV risk management. From a national database, a total of 250 PCPs completed the survey between January and April 2022. Results: Almost all PCPs (97.2%) concurred that a post-ACS patient should be seen by their PCP within 4 weeks of hospital discharge (81.2% said within 2 weeks). Almost half (44.4%) responded that discharge summaries provided inadequate information, and 41.6% felt that lipid management post-ACS was the responsibility primarily of specialists. A total of 58.4% articulated that they face challenges when seeing a post-ACS patient, related to inadequate discharge information, complexities of polypharmacy and duration of therapies, and managing statin intolerance. A total of 63.2% and 43.6% correctly identified low-density lipoprotein cholesterol (LDL-C) intensification thresholds of 1.8 mmol/L in post-ACS patients, and 2.0 mmol/L in diabetes patients, respectively, and 81.2% incorrectly thought that proprotein convertase subtilisin/kexin type 9 (PCSK9) inhibitors were indicated for patients with diabetes but without CV disease. Conclusions: One year following publication of the 2021 CCS lipid guidelines, our survey reveals knowledge gaps among responding PCPs regarding intensification thresholds and treatment options for patients post-ACS, or those with diabetes. Innovative and effective knowledge-translation programs to address these gaps are desirable.


Contexte: La prise en charge du risque cardiovasculaire (CV) chez les patients à risque élevé est souvent réalisée par les médecins en soins primaires (MSP). Nous avons donc sondé les MSP canadiens quant à leur connaissance des lignes directrices 2021 de la Société cardiovasculaire du Canada (SCC) sur les lipides et leur mise en œuvre auprès des patients ayant subi un syndrome coronarien aigu (SCA) et auprès des patients atteints de diabète qui ne présentent pas de maladie CV. Méthodologie: Un comité de MSP et de spécialistes ayant une expertise sur la question des lipides, y compris certains coauteurs des lignes directrices 2021 de la SCC sur les lipides, a conçu un sondage pour évaluer la connaissance des mesures de prise en charge du risque CV et les habitudes de pratique des MSP en la matière. Au total, 250 MSP provenant d'une banque de données nationale ont rempli le sondage entre janvier et avril 2022. Résultats: Presque tous les MSP (97,2 %) étaient d'accord pour dire que les patients ayant subi un SCA devraient avoir une consultation avec leur MSP dans les quatre semaines suivant leur congé de l'hôpital (81,2 % ont dit deux semaines). Près de la moitié des répondants (44,4 %) ont indiqué que le sommaire d'hospitalisation fournit une information inadéquate, et 41,6 % estimaient que la gestion des lipides après un SCA relevait des spécialistes. Au total, 58,4 % des répondants ont mentionné rencontrer des difficultés lors de la consultation avec un patient après une SCA, surtout quant à l'information inadéquate contenue dans le sommaire d'hospitalisation, aux complexités de la polypharmacie, à la durée des traitements et à l'intolérance aux statines. De plus, 63,2 % et 43,6 % des répondants ont correctement indiqué les seuils d'intensification du traitement pour le cholestérol à lipoprotéines de basse densité (LDL), soit 1,8 mmol/l chez les patients après un SCA et 2,0 mmol/l chez les patients diabétiques, respectivement. Par ailleurs, 81,2 % des répondants croyaient à tort que les inhibiteurs de la proprotéine convertase subtilisine/kexine de type 9 (PCSK9) étaient indiqués pour les patients diabétiques ne présentant pas de maladie CV. Conclusions: Un an après la publication des lignes directrices 2021 de la SCC sur les lipides, notre sondage montre des lacunes dans les connaissances des MSP quant aux seuils d'intensification du traitement et aux options de traitement pour les patients ayant subi un SCA ou atteints de diabète. Des programmes novateurs et efficaces de transmission du savoir sont souhaitables pour combler ces lacunes.

2.
CJC Open ; 3(3): 361-366, 2021 Mar.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33778453

ABSTRACT

BACKGROUND: Heart failure (HF) with preserved ejection fraction (HFpEF) carries high morbidity and mortality. Compared with HF with reduced ejection fraction (HFrEF), HFpEF is difficult to diagnose, and lacks evidence-based treatments. In this survey we assessed perceptions of cardiologists, internists, and primary care physicians (PCPs) regarding HFpEF diagnosis and management. METHODS: In total, 159 cardiologists, 89 internists, and 200 PCPs from across Canada completed an online survey, with response rates of 14%-17%. RESULTS: The perceived prevalence of HFpEF vs HFrEF was similar across physician types (58% HFrEF, 42% HFpEF). Thirty-seven percent of PCPs did not differentiate HF on the basis of ejection fraction. All physician types ranked symptom and mortality reduction as treatment priorities. Ninety-two percent of specialists believed that HFpEF is best comanaged by PCPs and specialists, whereas one-fifth of PCPs suggested PCP management alone. Compared with specialists, PCPs were more likely to underestimate HFpEF mortality and less aware of sex differences in the prevalence of HFpEF vs HFrEF (all P < 0.001). Fewer PCPs use natriuretic peptides for diagnosis (P < 0.001). All physician types listed cost and availability as barriers to natriuretic peptide use. Ninety-one percent of PCPs incorrectly identified various therapies as effective for improving HFpEF outcomes. Most of all physicians expressed a strong desire to increase knowledge of diagnostic and treatment algorithms for HFpEF. CONCLUSIONS: There are substantial knowledge gaps in the diagnosis and management of HFpEF, particularly among PCPs. Because of the prevalence of HFpEF in primary care, strategies are required to reduce these gaps.


INTRODUCTION: L'insuffisance cardiaque (IC) à fraction d'éjection préservée (ICFEP) entraîne des taux élevés de morbidité et de mortalité. Comparativement à l'IC à fraction d'éjection réduite (ICFER), il est difficile de poser le diagnostic de l'ICFEP et de trouver des traitements fondés sur des données probantes. Dans cette enquête, nous avons évalué la perception des cardiologues, des internistes et des médecins de premier recours (MPR) concernant le diagnostic et la prise en charge de l'ICFEP. MÉTHODES: Au total, 159 cardiologues, 89 internistes et 200 MPR du Canada ont rempli l'enquête en ligne. Le taux de réponse a été de 14 % à 17 %. RÉSULTATS: Tous les types de médecins percevaient une prévalence similaire entre l'ICFEP et l'ICFER (58 % ICFER, 42 % ICFEP). Trente-sept pour cent des MPR ne différenciaient pas l'IC en fonction de la fraction d'éjection. Tous les types de médecins donnaient la priorité de traitement à la réduction des symptômes et de la mortalité. Quatre-vingt-douze pour cent des spécialistes croyaient que la prise en charge commune de l'ICFEP par les MPR et les spécialistes était préférable, tandis qu'un cinquième des MPR suggéraient une prise en charge par le MPR seul. Comparativement aux spécialistes, il était plus probable que les MPR sous-estiment la mortalité liée à l'ICFEP et qu'ils soient moins au fait des différences entre les sexes dans la prévalence de l'ICFEP vs l'ICFER (toutes les valeurs p < 0,001). Un plus petit nombre de MPR utilisent les peptides natriurétiques pour le diagnostic (P < 0,001). Tous les types de médecins ont considéré les coûts et la disponibilité comme des obstacles à l'utilisation des peptides natriurétiques. Quatre-vingt-onze pour cent des MPR ont considéré à tort que les diverses thérapies étaient efficaces pour améliorer les résultats de l'ICFEP. La plupart des médecins ont fait part de leur profond désir de rehausser leurs connaissances sur les algorithmes diagnostiques et thérapeutiques de l'ICFEP. CONCLUSIONS: Il existe des lacunes substantielles dans les connaissances en matière de diagnostic et de prise en charge de l'ICFEP, particulièrement des lacunes dans les connaissances des MPR. En raison de la prévalence de l'ICFEP dans les soins primaires, des stratégies sont nécessaires pour combler ces lacunes.

3.
CJC Open ; 2(6): 625-631, 2020 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33305223

ABSTRACT

BACKGROUND: Following the occurrence of an acute coronary syndrome (ACS), patients are at high risk for subsequent cardiovascular events. Therapies to lower the level of low-density lipoprotein (LDL) cholesterol remain a pillar in secondary prevention approaches following ACS. Significant variability remains in the application of therapies to lower cholesterol level in clinical practice. METHODS: A cross-sectional, online survey was conducted of 200 cardiovascular and lipid specialists across Canada who routinely care for patients following the occurrence of ACSs. The survey consisted of 50 multiple-choice questions with opportunities for free-text entry exploring knowledge of lipid guidelines and recent clinical trials, and in-hospital and outpatient management of lipids and familial hypercholesterolemia. RESULTS: A total of 67.5% (n = 135) of participants stated that a lipid panel would routinely be obtained during the first 24 hours of an admission for an ACS, and 68.5% (n = 137) stated that their hospitals had standing orders for statin initiation at ACS presentation. In high-risk patients, the majority (75.5%; n = 151) of participants indicated that they target an LDL cholesterol level of <1.8 mmol/L. However, a subset (22%; n = 44) would target lower LDL cholesterol levels ranging from 0.5 to 1.7 mmol/L. Only 32.0% (n = 64) of participants stated that >70% of their ACS patients were at or below guideline-recommended LDL cholesterol levels. Respondents generally underappreciated the prevalence of familial hypercholesterolemia in both the general population and ACS patients. CONCLUSIONS: There is significant variation in practice patterns involving therapies to lower LDL cholesterol level in the post-ACS onset period. To improve management of lipids in this high-risk population, changes to institutional policies, shared responsibility of lipid management across multiple disciplines, and physician education are required.


CONTEXTE: Après un syndrome coronarien aigu (SCA), le risque qu'un autre événement cardiovasculaire survienne est élevé. Les traitements visant à réduire le taux de cholestérol des lipoprotéines de basse densité (C-LDL) demeurent l'un des piliers de la prévention secondaire après un SCA. Dans la pratique clinique, l'utilisation de ces traitements varie considérablement d'un praticien à l'autre. MÉTHODOLOGIE: Nous avons mené une enquête transversale en ligne auprès de 200 spécialistes de la santé cardiovasculaire et des lipides de partout au Canada, qui traitent régulièrement des patients ayant subi un SCA. L'enquête comprenait 50 questions à choix multiples; les participants pouvaient aussi donner des réponses détaillées permettant d'évaluer leurs connaissances des lignes directrices en matière de maîtrise des lipides et des essais cliniques récents, ainsi que de la prise en charge de la lipidémie et de l'hypercholestérolémie familiale en contexte hospitalier et ambulatoire. RÉSULTATS: Au total, 67,5 % (n = 135) des participants ont déclaré demander systématiquement un bilan lipidique complet dans les 24 heures suivant l'admission d'un patient en raison d'un SCA, et 68,5 % (n = 137) des participants ont dit que la norme dans leur hôpital était d'instaurer un traitement par statine chez tous les patients ayant subi un SCA. Dans le cas des patients présentant un risque élevé, la majorité des participants (75,5 %, n = 151) ont indiqué qu'ils ciblaient un taux de C-LDL de moins de 1,8 mmol/l. Une partie de ces répondants (22 %; n = 4) ont dit cibler un taux de C-LDL encore plus bas, soit de 0,5 à 1,7 mmol/l. Seulement 32,0 % (n = 64) des répondants ont déclaré que plus de 70 % de leurs patients ayant subi un SCA avaient un taux de C-LDL à la limite ou en deçà du taux recommandé dans les lignes directrices. Les répondants ont en général sous-estimé la prévalence de l'hypercholestérolémie familiale dans la population générale et chez les patients ayant subi un SCA. CONCLUSIONS: Les pratiques varient considérablement d'un praticien à l'autre en ce qui concerne les traitements visant à diminuer le taux de C-LDL après la survenue d'un SCA. Afin d'améliorer la prise en charge de la lipidémie dans cette population exposée à un risque élevé, il conviendrait de revoir les politiques des établissements, de répartir la responsabilité de la prise en charge de la lipidémie entre les intervenants de différentes disciplines et de mieux informer les médecins.

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