ABSTRACT
OBJECTIVE: This article discusses the implementation and preliminary outcomes of a Dialectical Behaviour Therapy (DBT) informed program integrated with Family Based Therapy (FBT) for adolescents with eating disorders within a day hospital program (DHP). METHOD: A retrospective analysis of hospital records between 2013-2015 provided descriptive characteristics of patients. Weight and percentage ideal body weight at admission and discharge, frequency of binge and purge episodes at discharge and readmissions were analysed. RESULTS: Analysis of patient characteristics indicated a broad range of eating disorder and comorbid psychiatric diagnoses among patients. Preliminary outcomes revealed increased weight and percentage of ideal body weight, decreased binge-purge status and few readmissions to the program over the two-year period studied. CONCLUSIONS: The implementation of a DBT informed DHP with integration of FBT is associated with improved patient outcomes. Ongoing challenges with respect to the implementation of DBT include modifying DBT to address varying developmental levels, ages and diagnoses and promoting adherence to the program by patients and families. Limitations include small sample size, uncontrolled chart review and the nature of DHP, which include a variety of components that may influence outcomes. This research will help to inform future implementation of treatment programs for adolescents with eating disorders.
OBJECTIF: Cet article discute de la mise en oeuvre et des résultats préliminaires d'un programme éclairé de thérapie comportementale dialectique (TCD) intégré à la thérapie familiale (TF) pour des adolescents souffrant de troubles alimentaires dans le cadre d'un programme d'hôpital de jour (PHJ). MÉTHODE: Une analyse rétrospective des dossiers de l'hôpital entre 2013 et 2015 a livré les caractéristiques descriptives des patients. Le poids et le pourcentage du poids corporel idéal à l'admission et au congé, la fréquence des épisodes d'hyperphagie et de purge lors du congé et les réadmissions ont été analysés. RÉSULTATS: L'analyse des caractéristiques des patients a indiqué une vaste gamme de troubles alimentaires et des diagnostics psychiatriques comorbides chez les patients. Les résultats préliminaires ont révélé un poids et un pourcentage accrus du poids corporel idéal, un état diminué de l'hyperphagie-purge, et peu de réadmissions dans le programme sur les deux ans de la période de l'étude. CONCLUSIONS: La mise en oeuvre d'un PHJ éclairé par la TCD intégrée dans la TF est associée à de meilleurs résultats chez les patients. Les difficultés actuelles à l'égard de la mise en oeuvre de la TCD consistent à modifier la TCD pour tenir compte des niveaux de développement variés, de l'âge et des diagnostics, et pour promouvoir l'adhésion au programme par les patients et les familles. Les limitations comprennent la petite taille de l'échantillon, un examen des dossiers incontrôlé et la nature du PHJ, qui englobe une variété de composantes susceptibles d'influer sur les résultats. Cette recherche aidera à éclairer la future mise en oeuvre des programmes de traitement pour les adolescents souffrant de troubles alimentaires.
ABSTRACT
There is a growing body of literature describing the development, clinical course, and treatment of avoidant/restrictive food intake disorder (ARFID), a diagnostic category introduced in the DSM-5. However, information surrounding complex cases of ARFID involving coexisting medical and/or psychiatric disorders remains scarce. Here we report on two cases of young patients diagnosed concurrently with ARFID and attention deficit hyperactivity disorder (ADHD) who both experienced significant growth restriction following initiation of stimulant medication. The appetite suppressant effect of stimulants exacerbated longstanding avoidant and restrictive eating behaviors resulting in growth restriction and admission to an inpatient eating disorders unit. The implications of ARFID exacerbated by stimulant-treated ADHD are explored, as well as the treatment delivered. These cases suggest that further research is needed to explore management options to counteract the appetite suppression effects of stimulants, while simultaneously addressing attention deficit symptoms and oppositional behavior. © 2016 Wiley Periodicals, Inc. (Int J Eat Disord 2016; 49:1036-1039).
