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1.
Health sci. dis ; 24(1): 97-100, 2023.
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1411350

ABSTRACT

Introduction. La maladie hémorroïdaire interne est la plus fréquente des affections proctologiques et constitue un motif extrêmement répandu de consultation en proctologie. L'objectif de ce travail était de décrire les aspects cliniques de la maladie hémorroïdaire interne à l'hôpital du district de la commune IV de Bamako. Patients et méthodes. Nous avons réalisé une étude transversale descriptive sur un groupe de malades vus en consultation à l'unité de Gastro-entérologie de l'hôpital du district de la commune IV de Bamako. Entre le 1er Novembre 2019 et le 31 Octobre 2020, le recrutement des patients a été réalisé. Les variables recueillies étaient les données sociodémographiques (âge, sexe, profession), les symptômes anaux (saignement anal, douleur anale, suintements muco-glaireux, prurit anal), les facteurs de risque (les troubles du transit intestinal, la période du troisième trimestre de la grossesse, l'accouchement, le post-partum immédiat), les stades de la maladie hémorroïdaire interne, les autres pathologies anales associées, les complications, l'hémogramme. Résultats. Durant la période d'étude, 128 patients ont été vus en consultation parmi lesquels 85 avaient une maladie hémorroïdaire interne, soit une fréquence de 66,40%. La procidence hémorroïdaire a été observée chez 18,8% de nos patients. En fonction de son degré, le grade I représentait 34,1%, le grade II 55,3%, le grade III 9,4% et le grade IV 1,2%. Conclusion. Cette première étude réalisée sur la maladie hémorroïdaire interne à l'hôpital du district de la commune IV de Bamako montre que la maladie hémorroïdaire interne est l'affection proctologique la plus fréquente.


Introduction. Internal haemorrhoidal disease is the most common proctological condition and is an extremely common reason of consultation in proctology. The objective of this work was to describe the clinical aspects of internal haemorrhoidal disease in the district hospital of the commune IV of Bamako. Patients and methods. We conducted a descriptive cross-sectional study on a cohort of patients seen in consultation at the Gastroenterology Unit of the District Hospital of Bamako's commune IV. The recruitment was carried out between November 1, 2019 and October 31, 2020. The variables of study were socio-demographic data (age, sex, profession), anal symptoms (anal bleeding, anal pain, muco-glue oozing, anal pruritus), risk factors (intestinal transit disorders, third trimester of pregnancy, childbirth, immediate postpartum), stages of internal haemorrhoidal disease, other associated anal pathologies, complications, blood count. Results. During the study period, 128 patients were seen in consultation, among whom 85 had internal haemorrhoidal disease (66.40%). Hemorrhoidal procidence was found in 18.8% of patients. Concerning the severity, grade I represented 34.1%, grade II 55.3%, grade III 9.4% and grade IV 1.2%. Conclusion. This pioneer study on internal haemorrhoidal disease in the district hospital of commune IV of Bamako (Mali) showed that internal hemorrhoidal disease is the most common proctological condition in Bamako.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Pain , Signs and Symptoms, Digestive , Diagnosis , Hemorrhoids , Referral and Consultation
2.
Mali Med ; 38(2): 46-49, 2022.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-38506177

ABSTRACT

the goal of this study was to investigate the internal hemorroid disease in our endoscopic center. METHOD: This transversal study went from December 2011 to December 2012. RESULTS: Sixty cases of internal hemorroid desease were enroled with36 men and 24 women and a middle age of 47 ±14.4 years. Clinical signs were frequently: bleeding (66.7%), constipation (58.4%), anal pain (58.3%) and hemorrhoid prolapsed (18.3%). The anal and rectum scopy found only internal hemorrhoid in 78.4% of cases and the grade I was about 81.7% of cases. All patients were beneficied of medical treatement. CONCLUSION: hemorrhoid disease is a frequent pathology in general population mainly around third decade.


le but de ce travail était d'étudier la maladie hémorroïdaire interne. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude transversale déroulée au centre d'endoscopie digestive du CHU Gabriel Touré de Décembre 2011 à décembre 2012. RÉSULTATS: Nous avons colligé 60 cas de maladie hémorroïdaire interne dont 36 hommes et 24 femmes avec un âge moyen de 47 ±14,4 ans. Le tableau clinique était dominé par le saignement (66,7 %), la constipation (58,4 %), la douleur anale (58,3%) et le prolapsus hémorroïdaire (18,3%). L'anorectoscopie réalisée objectivait des hémorroïdes internes isolées dans 78,4% des cas et le stade I de la maladie était observé dans 81,7% des cas. Tous les patients ont bénéficié d'un traitement médical. CONCLUSION: La maladie hémorroïdaire est une pathologie relativement fréquente dans la population générale surtout vers la troisième décade.

3.
Mali Med ; 37(2): 53-55, 2022.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-38506219

ABSTRACT

AIMS: The goal of our work was to clarify the epidemiologicals, clinicals, etiologicals and prognostics of upper gastrointestinal bleeding at Segou Regional Hospital. PATIENTS AND METHODS: This cross-sectional study, which took place from October 1, 2017 to September 31, 2018, involved patients hospitalized for digestive hemorrhage. RESULTS: Upper gastrointestinal bleeding represented 9.7% of all hospitalizations. The mean age of the patients was 50, 94 ± 21, 6 years with a sex ratio of 1.6 in favor of men. Housewives and farmers were represented in 37.7% and 34% of cases. The main modes of disclosure were hematemesis and melena. Evolution was favorable with a mortality of around 34%. CONCLUSION: upper gastrointestinal bleeding is relatively common in our context. High mortality is linked to delayed treatment.


BUT: Le but de notre travail était de préciser lesaspects épidémiologiques, cliniques, étiologiques et pronostiques de l'hémorragie digestive haute à l'Hôpital Régional de Ségou(HRS). PATIENTS ET MÉTHODES: Cette étude transversalequi s'était déroulée du 1eroctobre 2017 au 31 septembre 2018 a concernéles patients hospitalisés pour hémorragie digestive. RÉSULTATS: Les hémorragies digestives hautes ont représenté 9,7% de l'ensemble des hospitalisations. L'âge moyen des patients était de 50,94 ± 21,6 ans avec un sex ratio de 1,6 en faveur des hommes. Les femmes au foyer et les cultivateurs étaient représentés dans 37,7% et 34% des cas. Les principaux modes de révélation étaient l'hématémèse et le méléna. L'évolution était favorable avec une mortalité de l'ordre de 34%. CONCLUSION: Hémorragie digestive haute est relativement fréquente dans notre contexte. Cependant, la mortalité élevée est liée à un retard de prise en charge.

4.
Mali Med ; 36(1): 35-37, 2021.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-37973564

ABSTRACT

The goal of this work was to study helicobacter pylori (HP) infection and gastric mucosa in cirrhotic patient. METHOD: The study was comparative (case-indicator) and transversal from October 2015 to June 2016 in the gastroenterology and hepatology center of CHU Gabriel Touré of Bamako. Hp was identified in pathologic center of CHU du point "G" de Bamako. RESULTS: At the end of the study Hp infection frequency was 73.6% without significative differency with the comparative group (p= 0,200). The mean age was 46,3 ± 20,8 years. The sex ratio was 2,11. The home workers women were more represented (32.1%). Ascites and jaundice were the main signs respectively in 64.3% and 53.6% cases. The upper endoscopy found varices in 89.2% of cases. His worsen histological lesions were mucosal atrophy (17.8%) and intestinal metaplasy (14.2%). CONCLUSION: Helicobacter pylori infection is frequent in cirrhotic patient in our country with sometimes worsen histological lesions.


Le but de ce travail était de déterminer les lésions de la muqueuse gastrique associées à l'infection à Helicobacter pylori chez le cirrhotique. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude comparative (cas-témoins) transversale à recrutement consécutif de patients d'octobre 2015 à juin 2016 dans le service d'Hépato-Gastroentérogie du CHU Gabriel Touré de Bamako. La recherche de l'Helicobacter pylori (Hp) a été faite dans le service d'anatomie pathologique du CHU du Point G. RÉSULTAT: Au terme de cette étude la fréquence de l'infection à Hp chez le cirrhotique a été de 73,6% sans différence statistiquement significative avec la population témoin (p= 0,200). L'âge moyen des patients était de 46,3 ±20,8 ans. Le sex ratio était de 2,11. Les femmes au foyer étaient les plus représentées (32,1%). L'ascite et l'ictère ont dominé le tableau clinique avec respectivement 64,3% et 53,6%. La fibroscopie oeso-gastroduodénale réalisée objectivait les varices œsophagiennes et/ou cardio-tubérositaires dans 89,2%des cas. Les lésions histologiques graves étaient associées à la présence de Hp avec 17,8% d'atrophie de la muqueuse gastrique et 14,2% de métaplasie intestinale. CONCLUSION: L'infection à Hp est aussi fréquente dans notre contexte chez le cirrhotique avec parfois des lésions histologiques sévères.

5.
Mali Med ; 35(1): 11-14, 2020.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-37978763

ABSTRACT

AIM: To determine the frequency of the surgery wound infection, its favoring factors, causative germs and its antibiotic treatment of choice in the surgery "A" department of the University Hospital Point G. METHOD: In a retrospective descriptive study over a 6-month period in the surgery "A" department of the University Hospital Point G, we enrolled all patients who underwent surgery necessitating at least 48 hours of hospital admission during our study period and in conformity with the Atlanta CDC criteria. Surgery patients with less than 48 hours postoperative hospital stay and those admitted to the hospital without surgery were not included.After the surgery, the nature and location of the infection have been clarified. In this work, ethical considerations have been respected and there is no conflict of interest. RESULTS: Two hundred and sixty-five (n=265) patient files were collected including 24 cases of surgery wound infection (a hospital frequency of 9%. The average age was 41.41 years (y.o) old with extremes of 7 y.o and 102 y.o. The sex ratio was 0.9 in favor of women. The commonly studied pathologies were digestive surgery in 52.8%, gynecological surgery in 24.5%, etc… Patients were seen in regular outpatient surgery visits in 75.8% and surgical emergencies in 24.2%. Of the patients urgently admitted, 26.5% presented an ISO; for those received in ordinary consultation it was 3.48%. Fifteen (15) cases were classified ASA III and two (2) ASA II. Based on the Altemeier classification, surgery was clean in 66.8% of our patients, contaminated clean in 12.4%, contaminated in 12.1%, and dirty in 8.7% (including half resulting in surgery wound infection). In total, 79% of patients whose surgeries lasted more than two (2) hours presented a surgery wound infection. Postoperative infection of patients was superficial in 58.3% and deep in 33.3%. In 8.3% of cases, it was a space infection. At the cytobacteriological examination of the pus from the operative site, Escherichia coli (E. coli) was the most common germ with 58.3%. E. coli was sensitive to amoxicillin-clavulanic acid in 57.14%. Surgically, a re-intervention was performed in 20.8% of cases, a secondary suture in 12.5%, and a single dressing in 66.7%. The average postoperative stay was 6.5 days with extremes of 2 days and 69 days. In 3 months postoperatively we recorded 4 cases of death. CONCLUSION: The surgery wound infection constitutes a major complication in a surgical environment starting with surgical act itself.Particular emphasis should be placed on prevention, which will reduce the risks of ISO occurrence.


BUT: déterminer la fréquence des infections du site opératoire (ISO), les facteurs favorisants la survenue des ISO, les germes responsables et les antibiotiques actifssur les infections du site opératoire dans le service chirurgie « A ¼ du CHU du Point G. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive sur une période de 6 mois réalisée dans le service chirurgie « A ¼ du CHU du Point G. Ont été inclus tous les patients ayant subi une intervention chirurgicale pendant cette période et hospitalisés au moins 48 heures après, et qui ont répondu aux critères du CDC d'Atlanta. N'ont pas été inclus, les patients opérés dont le séjour post opératoire a été inférieur à 48 heures, les patients hospitalisés dans le service mais non opérés, et ceux opérés dans le service et non hospitalisés. En postopératoire la nature et le siège de l'infection ont été précisées. Dans ce travail les considérations éthiques ont été respectées et il n'y a pas de conflit d'intérêt. RÉSULTATS: deux cent soixante-cinq dossiers de patients ont été colligés dont 24 cas d'ISO soit 9% des cas. L'âge moyen a été de 41,41 ans avec des extrêmes de 7ans et 102 ans. Le sex ratio a été de 0,2 en faveur des femmes. Les principales pathologies étudiées ont été la chirurgie digestive dans 52,8%, la chirurgie gynécologique dans 24,5%. La majorité des patients ont été reçus en consultation ordinaire dans 75,8% des cas, et en urgences dans 24,2 %. Parmi les patients reçus en urgence 26,5% ont présenté une ISO ; pour ceux reçus en consultation ordinaire elle a été de 3,48%.Parmi les patients infectés 15 étaient classés ASA III et 2 ASA II. Selon la classification Altemeier, la chirurgie propre a occupé 66,8% des patients, la chirurgie propre contaminée 12,4%, la chirurgie contaminée 12,1%, et la chirurgie sale 8,7%. Parmi les patients opérés de chirurgie sales 50% ont présenté une ISO.L'ISO était présente chez 79% des patients ayant effectué plus de 2 heures d'intervention.En postopératoire l'infection était superficielle chez 58,3% des patients, et profonde chez 33,3% des patients. Dans 8,3% des cas, il s'agissait d'une infection d'espace. A l'examen cytobactériologique du pus Escherichia coli (E coli) avec 58,3% a été le germe le plus fréquent sur le site opératoire. E coli était sensible à l'association amoxicilline - acide clavulanique dans 57,14%. Sur le plan chirurgical une réintervention a été réalisée dans 20,8% des cas, une suture secondaire dans 12,5%, et un pansement seul dans 66,7%. La durée moyenne de séjour post opératoire était de 6,5 jours avec des extrêmes de 2 jours et 69 jours. En 3 mois postopératoire nous avons enregistré 4 cas de décès. CONCLUSION: L'ISO constitue une complication majeure en milieu chirurgical compromettant l'acte chirurgical. Un accent particulier doit être mis sur la prévention qui diminuerai les risques de survenue de l'ISO.

6.
Mali Med ; 33(2): 9-12, 2018.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-30484577

ABSTRACT

INTRODUCTION: Bladder and ureteral lesions are the most common urologic complications occurring during pelvic surgery with 1% and 0.5% to 3%, respectively. These lesions are rarely recognized intraoperatively and pose a major problem to urologists, gynecologists, and general surgeons. OBJECTIVE: To study the factors favoring urologic complications following pelvic surgery at the University Hospital Point-G. PATIENTS AND METHOD: We conducted a retrospective study at the University Hospital Point-G between 2006 and 2015. It involved 23 patients with a whole urological lesion following pelvic surgery. These patients underwent a clinical and para-clinical examination (intravenous urography, methylene blue test) to confirm the urological lesion and to determine its management. RESULTS: The average age of our patients was 32.00 years with extremes of 18 and 40 years old. The leakage of urine was found in 82.6% (19/23). Interventions that caused urologic injury were: caesarean section 52.2% (12/23), hysterectomy 30.4% (7/23), as well as a caesarean section and hysterectomy 17.4% (4/23). Methylene blue was performed in 19 patients, it was positive in 52.2% (12/23) and intravenous urography (IVU) in 7 patients. The lesions encountered were: retrotrigonal fistula vesico-vaginal 10 cases, vesico-vaginal fistula under trigonal 2 cases, uretero-vaginal fistula 7 cases, and bilateral ureteral ligation 4 cases. Fistulorraphy was performed in 52.2% followed by direct ureterovesical reimplantation. The postoperative outcome was satisfactory in 100% of cases with obtaining a good bladder tightness. The average duration of hospitalization was 12 days (+/- 4 days). CONCLUSION: Pelvic surgery results in urological injuries. Caesarean section and hysterectomy are contributing factors. Vesico-vaginal fistula or ureteral lesions are common.


INTRODUCTION: Les lésions vésicale et urétérale constituent les complications urologiques les plus fréquentes survenant au décours d'une chirurgie pelvienne soit respectivement 1 à 4% et 0,5 à 3% [6,7]. Ces lésions sont rarement reconnues en peropératoire et posent un problème important auquel sont confrontés les urologues, les gynécologues, les chirurgiens généralistes. OBJECTIF: Etudier les facteurs favorisants les complications urologiques consécutives à la chirurgie pelvienne au CHU du Point-G. PATIENTES ET MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective réalisée au CHU du Point-G entre 2006 et 2015. Elle a concerné 23 patientes présentant toute une lésion urologique au décours d'une chirurgie pelvienne. Ces patientes ont subi un examen clinique et para cliniques (Urographie intra veineuse; le test au bleu de méthylène) dans le but de confirmer la lésion urologique et d'en déterminer la prise en charge. RÉSULTATS: l'âge moyen de nos patientes était de 32,00 ans avec des extrêmes allant de 18 à 40 ans. La fuite d'urine était retrouvée chez 82,6% (19/23). Les interventions pourvoyeuses de lésions urologique étaient : la césarienne 52, 2% (12/23), l'hystérectomie 30, 4% (7/23), une association césarienne et hystérectomie 17,4 % (4/23). Le test au bleu de méthylène a été réalisé chez 19 patientes, il a été positif dans 12 cas soit 52,2 % et l'UIV chez 7 patientes. Les lésions rencontrées étaient : la fistule vésico-vaginale retro trigonale 10 cas, la fistule vésico-vaginale sous trigonale 2 cas, la fistule urétéro-vaginale 7 cas, et la ligature urétérale bilatérale 4 cas. La fistulorraphie a été effectuée dans 52,2 % suivie de la réimplantation urétéro-vésicale directe. Les suites opératoires étaient satisfaisantes dans 100% des cas avec l'obtention d'une bonne étanchéité vésicale. La durée moyenne d'hospitalisation était de 12 jours (+/− 4 jours). CONCLUSION: La chirurgie pelvienne est pourvoyeuse de lésions urologiques. La césarienne et l'hystérectomie sont des facteurs favorisants. Les fistules vésico-vaginales ou des lésions urétérales sont fréquentes.


Subject(s)
Gynecologic Surgical Procedures/adverse effects , Intraoperative Complications/epidemiology , Postoperative Complications/epidemiology , Urologic Diseases/epidemiology , Adolescent , Adult , Cesarean Section/adverse effects , Female , Hospitals, University , Humans , Hysterectomy/adverse effects , Intraoperative Complications/etiology , Mali/epidemiology , Postoperative Complications/etiology , Retrospective Studies , Ureter/injuries , Urinary Bladder/injuries , Urologic Diseases/etiology , Young Adult
7.
Mali Med ; 33(1): 1-5, 2018.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-30484582

ABSTRACT

AIM: Our aim was to evaluate the diagnosis and therapeutic aspects of the amoebic liver abscesses in the surgery «A¼ department of the University hospital Point "G". PATIENTS AND METHODS: Were included in this study, patients admitted to the surgery «A¼ department for amoebic liver abscess confirmed by a positive amoebic serology and the chocolate appearance of bacteria-free pus. Bacterial liver abscesses were not included into this study. RESULTS: Over a 10-year period, 52 cases of patients diagnosed with amoebic liver abscess were collected in the department. There were 41 men and 11 women, with a sex ratio of 3.7. The mean age was 37.8 years old with extremes of 15 and 66 years. The most represented professions were farmers (36.5%) followed by salesmen (26.7%) and students (11.5%). The average outpatient visit delay time was 18.5 days with the extremes of 5 and 34 days. The most frequent clinical signs were pain in the right hypochondrium (86.5%), fever (78.8%) and hepatomegaly (61.5%). Abdominal ultrasound showed a single located abscess in 44 patients (84.6%) and these abscesses were localized in the right hepatic lobe in 34 patients(65.4%). The average volume of the abscess was 366.5 cm3 with the extremes of 36 cm3 and 1580 cm3. Amoebic serology was positive in 38 patients (80.9%). Cytobacteriological analysis of pus in 37 patients (71%) was negative. Patients underwent an ultrasound assisted needle aspiration of pus in 65.4% he. Laparotomy and a laparoscopic approach were performed in 7.7% and in 5.8%, respectively. The clinical course was uneventfulin 94.2%. The mean hospital stay duration was 16.5 days with the extremes of 4 and 29 days. No death was recorded during hospitalization. CONCLUSION: Amoebic liver abscess is an uncommon pathology in a surgical setting. Abdominal ultrasound andechography guided liver puncture allowed the diagnosis. Laparoscopic approach minimizes the burden of the laparotomy.


BUT: Le but de cette étude était d'évaluer les aspects diagnostiques et thérapeutiques des abcès amibiens du foie dans le service de chirurgie " A " du CHU du Point G. PATIENTS ET MÉTHODES: Ont été inclus dans cette étude, les patients admis dans le service de chirurgie "A" pour abcès amibien du foie sur la base de la positivité de la sérologie amibienne, de l'aspect chocolat du pus et de l'absence de bactéries dans le pus. Les abcès bactériens ont été exclus de cette étude. RÉSULTATS: En 10 ans, 52 dossiers de patients diagnostiqués pour abcès amibiens du foie ont été colligés dans le service. Il s'est agi de 41 hommes et de 11 femmes soit un sex-ratio de 3,7. L'âge moyen des patients a été de 37,8 ans avec des extrêmes de 15ans et 66 ans. Les professions les plus représentées ont été les cultivateurs (36,5%), les commerçants (26,7%) et les élèves et étudiants (11,5%).Le délai moyen de consultation a été de 18,5 jours avec des extrêmes de 5 jours et 34 jours. Les signes cliniques les plus fréquents ont été la douleur de l'hypochondre droit (86,5%), la fièvre (78,8%) et l'hépatomégalie (61,5%). L'échographie abdominale a objectivé un abcès unique dans 44 cas (84,6%) et l'abcès a été localisé dans le lobe hépatique droit dans 34 cas (65,4%). Le volume moyen de l'abcès était de 366,5cm3 avec des extrêmes de 36 cm3 et 1580cm3. La sérologie amibienne a été positive dans 80,9% (n = 38). La culture a été stérile à l'analyse cytobactériologique du pus dans 37 cas (71%). Une ponction évacuatrice écho-guidée a été réalisée dans 65,4% des cas. La procédure chirurgicale a consisté à réaliser une laparotomie dans 7,7% des cas et un abord coelioscopique dans 5,8%. Les antibiotiques utilisés ont été le métronidazole par voie intraveineuse chez tous les patients, associés à la céftriaxone dans 78,8% (n=41). L'évolution clinique a été favorable dans 94,2%. La durée moyenne d'hospitalisation a été de 16,5 jours avec des extrêmes de 4 jours et 29 jours. Aucun décès n'a été constaté pendant l'hospitalisation. CONCLUSION: L'abcès amibien du foie est une pathologie peu fréquente en milieu chirurgical. L'échographie abdominale et la ponction écho-guidée ont permis de poser le diagnostic. Le traitement par abord coelioscopique minimise les inconvénients de la laparotomie.


Subject(s)
Liver Abscess, Amebic/diagnosis , Liver Abscess, Amebic/therapy , Adolescent , Adult , Aged , Female , Hospitals , Humans , Male , Middle Aged , Retrospective Studies , Surgery Department, Hospital , Young Adult
8.
Mali Med ; 33(1): 26-28, 2018.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-30484587

ABSTRACT

AIM: This study was aimed to evaluate patients' satisfaction with tranvesical prostatectomy in the Urology department of University Hospital Gabriel Touré according to the (International Prostate Symptoms Score (IPSS) and the quality of life scores. PATIENTS AND METHODS: We conducted a prospective descriptive study over a 12-month period including a consecutive cohort of patients who had transvesical prostatectomy. Each patient was evaluated before and six weeks after the surgery. We used the IPSS as an assessment tool, supplemented by the Quality of Life (SQ) questionnaire. RESULTS: One hundred and thirteen (113) patients aged 71 ± 8 years old on average were evaluated. The mean duration of symptoms associated with benign prostatic hyperplasia was 19 months and 17% of patients had a mechanical complication. All patients had either moderate or severe lower urinary tract symptoms preoperatively, while 99% of them had an IPSS score <8 postoperatively. CONCLUSION: Transvesical prostatectomy allows an important improvement of the IPSS score of the patients and their satisfaction about their quality of life.


BUT: Evaluer la satisfaction des patients après adénomectomie transvésicale de la prostate dans le service d'urologie du CHU Gabriel Touré selon l'International Prostate Symptoms Score (IPSS) et le score de qualité de vie. PATIENTS ET MÉTHODES: il s'agissait d'une étude prospective et descriptive d'une cohorte consécutive de patients opérés pour adénomectomie transvésicale de la prostate réalisée sur une période de 12 mois. Les patients étaient tous évalués avant l'intervention chirurgicale et 6 semaines après. Nous avons utilisé l'IPSS comme outil d'évaluation, complété par la question sur la qualité de vie. RÉSULTATS: Cent treize patients d'âge moyen de 71 ± 8ans ont été évalués. La durée moyenne d'évolution des symptômes liés à l'hypertrophie bénigne de la prostate était de 19 mois et 17 % des patients présentaient une complication mécanique. Tous les patients présentaient des symptômes modérés ou sévères du bas appareil urinaire en préopératoire tandis qu'en postopératoire 99% des patients avaient un score IPSS inférieur à 8. CONCLUSION: l'adénomectomie transvésicale de la prostate permet une amélioration du score IPSS et celui de la qualité de vie des patients avec une importante satisfaction des patients.


Subject(s)
Patient Satisfaction , Prostatectomy/methods , Prostatic Hyperplasia/surgery , Aged , Aged, 80 and over , Hospital Departments , Hospitals, University , Humans , Male , Middle Aged , Prospective Studies , Urinary Bladder , Urology
9.
Mali méd. (En ligne) ; 33(2): 9-12, 2018. ilus
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1265725

ABSTRACT

Introduction : Les lésions vésicale et urétérale constituent les complications urologiques les plus fréquentes survenant au décours d'une chirurgie pelvienne soit respectivement 1 à 4% et 0,5 à 3% [6,7]. Ces lésions sont rarement reconnues en peropératoire et posent un problème important auquel sont confrontés les urologues, les gynécologues, les chirurgiens généralistes. Objectif : Etudier les facteurs favorisants les complications urologiques consécutives à la chirurgie pelvienne au CHU du Point-G. Patientes et Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective réalisée au CHU du Point-G entre 2006 et 2015. Elle a concerné 23 patientes présentant toute une lésion urologique au décours d'une chirurgie pelvienne. Ces patientes ont subi un examen clinique et para cliniques (Urographie intra veineuse ; le test au bleu de méthylène) dans le but de confirmer la lésion urologique et d'en déterminer la prise en charge. Résultats : l'âge moyen de nos patientes était de 32,00 ans avec des extrêmes allant de 18 à 40 ans. La fuite d'urine était retrouvée chez 82,6% (19/23). Les interventions pourvoyeuses de lésions urologique étaient : la césarienne 52, 2% (12/23), l'hystérectomie 30, 4% (7/23), une association césarienne et hystérectomie 17,4 % (4/23). Le test au bleu de méthylène a été réalisé chez 19 patientes, il a été positif dans 12 cas soit 52,2 % et l'UIV chez 7 patientes. Les lésions rencontrées étaient : la fistule vésico-vaginale retro trigonale 10 cas, la fistule vésico-vaginale sous trigonale 2 cas, la fistule urétéro-vaginale 7 cas, et la ligature urétérale bilatérale 4 cas. La fistulorraphie a été effectuée dans 52,2 % suivie de la réimplantation urétéro-vésicale directe. Les suites opératoires étaient satisfaisantes dans 100% des cas avec l'obtention d'une bonne étanchéité vésicale. La durée moyenne d'hospitalisation était de 12 jours (+/- 4 jours). Conclusion : La chirurgie pelvienne est pourvoyeuse de lésions urologiques. La césarienne et l'hystérectomie sont des facteurs favorisants. Les fistules vésico-vaginales ou des lésions urétérales sont fréquentes


Subject(s)
Mali , Pelvis , Urogenital Surgical Procedures , Vesicovaginal Fistula/surgery
10.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(07): 381-387, 2018.
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1266306

ABSTRACT

Introduction : La recherche d'agents infectieux transmissibles notamment des virus des hépatites virales B et C chez les donneurs de sang permet de prévenir ces infections chez les receveurs de sang. Le but de cette étude était de déterminer la séroprévalence des virus des hépatites virales B et C chez les donneurs de sang à l'hôpital régional de Kayes et contribuer à la sécurité transfusionnelle.Matériels et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective et transversale portant sur les donneurs de sang à l'hôpital régional Fousseyni Daou de Kayes, menée du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2015. Les données ont été recueillies à partir des registres de don de sang comportant les renseignements pour chaque donneur à savoir l'âge, le sexe, la catégorie du donneur, le résultat de la sérologie des virus des hépatites virales B et C. Les donneurs chez qui ces renseignements n'étaient pas disponibles ont été exclus de l'étude. La recherche d'agents infectieux et le groupage sanguin dans les systèmes ABO et RH (Rhésus) était toujours réalisée au préalable avant le don de sang chez les donneurs familiaux ou occasionnels. Les données ont été traitées au moyen du logiciel Epi info version 6.Résultats : La grande majorité des donneurs étaient des hommes (84%) avec un sex-ratio de 5,2. La tranche d'âge la plus représentée était de 26-35 ans (36%). Il s'agissait d'un don de sang familial ou compensatoire dans 95,6% des cas et d'un don volontaire par des donneurs réguliers ou nouveaux dans 4,4% des cas. La séroprévalence de l'Ag HBs était de 13,1% et celle de l'Ac anti VHC était de 1,4%. Par ailleurs, la séroprévalence de l'Ag HBs et de l'Ac anti VHC était respectivement de 0,13% et de 0,02% chez les donneurs de sang ayant un antécédent transfusionnel.Conclusion : La séroprévalence de l'Ag HBs reste élevée chez les donneurs de sang à Kayes d'une manière générale selon notre étude. Les campagnes de sensibilisation pour la promotion du don volontaire de sang s'imposent pour constituer un stock de sang conséquent pour couvrir les besoins transfusionnels de l'hôpital régional de Kayes


Subject(s)
Blood Safety , Mali , Urban Population
11.
Mali Med ; 31(1): 13-17, 2016.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-30079658

ABSTRACT

The aim of this study was to evaluate the surgical treatment of goiter in the «A¼ surgical department of the Point G University Hospital in Bamako. PATIENTS AND METHODS: This was a retrospective and descriptive study in the «A¼ surgical department of the Point G University Hospital from January 2007 to August 2014. Included in the study were all the patients operated for goiter. The patients who underwent surgery for other thyroid diseases were not selected. Postoperatively patients were followed for one year. The sociodemographic, clinical, para-clinical, therapeutic aspects and the postoperative course were the study parameters. Data analysis was performed on SPSS 21. The Chi square test was used for statistical analysis. A p-value inferior to 0.05 was considered statistically significant. RESULTS: A total of 378 patients' records were collected. Thyroidectomy represented 6.2% (378 cases) over 6027 operations. The mean age was 41.29 years with a standard deviation of 13.58. Extremes were 3 and 85 years. The sex ratio was 7.22 in favor of women. The frequent reason for consultation was due to antero-cervical tumor with 97.07% of cases (n = 367). We identified 118 cases (31.22%) of goiter in cooled hyperthyroidism patients, 211 cases (55.82%) of euthyroid goiter, 7 cases (1.85%) of the thyroid neoplasia and one case (0.3%) of hypothyroidism goiter. Pathological histology helped to highlight a micro-vesicular macro adenoma in 16.1% of cases (61 patients); adenocarcinoma in 0.7% of cases (3 patients) and papillary carcinoma in 1.1% of patients (4 patients). The patients classified as ASA I and ASA II represented the majority with respectively 248 cases (65.60%) and 120 cases (31.74%). The most performed surgical techniques were subtotal thyroidectomy (n=181; 49.7%), the isthmo-lobectomy (126; 33.3%), total thyroidectomy (n=11; 2.9%) and sternotomy in one case of endothoracic goiter. Intraoperative complications were marked by hemorrhage in 12.7% of cases (45 patients). The postoperative one month follow up was uneventful in 91.79% (n = 347) and transient recurrent nerve injury was found in 2% of cases (1 patient). In one year follow up the postoperative outcome was good in 94.17% (n = 356) of patients. The mean hospital stay was 4.18 days. Six deaths were recorded (1.7%). CONCLUSION: Goiter surgery is relatively common in the surgery 'A' department of the Point G University hospital. Good patient preparation and a better postoperative monitoring could help to minimize postoperative complications.


Le but de ce travail était d'évaluer la prise en charge chirurgicale des goitres dans le service de chirurgie «A¼ du CHU du Point G, à Bamako. PATIENTS ET MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive menée dans le service de chirurgie «A¼ du CHU du POINT G, de Janvier 2007 à Août 2014. Ont été inclus dans l'étude tous les patients reçus et opérés pour goitre. N'ont pas été retenus les patients opérés pour un kyste du tractus thyréoglosse, les abcès cervicaux, les traumatismes du cou, et les dossiers incomplets. Les patients ont été suivis pendant un an en postopératoire. Les aspects sociodémographiques, cliniques, para cliniques, thérapeutiques, ainsi que les suites opératoires ont été les paramètres d'étude. L'analyse des données a été effectuée sur le logiciel SPSS version 21. Le test statistique utilisé a été le Khi 2. Une valeur de p< 0,05 a été considérée comme statistiquement significative. RÉSULTATS: Un total de 378 dossiers de patients ont été colligés. La thyroïdectomie a représenté 6,2% (378 cas) sur 6027 interventions. L'âge moyen était de 41,99 ans avec un écart type de 13,58. Les extrêmes étaient de 3 ans et 85 ans. Le sex ratio était de 7,22 en faveur du sexe féminin. La tuméfaction antero-cervicale était le motif de consultation le plus fréquent avec 97,07% des cas (n= 367). Nous avons recensé 118 cas (31,22%) de goitre en hyperthyroïdie refroidie, 211 cas (55,82%) de goitre euthyroïdien, 7 cas (1,85%) de néoplasie de la thyroïde, un cas (0,3%) d'hypothyroïdie. L'histologie a permis de mettre en évidence un adénome micro-macro vésiculaire dans 16,1% des cas (61 patients); un adénocarcinome dans 0,7% des cas (3 patients); un carcinome papillaire dans 1,1% des cas (4 patients). Les patients de classe ASA I et ASA II étaient majoritaires avec respectivement (248 cas; 65,60%, et 120 cas; 31,74%). Les techniques chirurgicales les plus réalisées étaient la thyroïdectomie subtotale (181; 49,7%), l'isthmo-lobectomie (126; 33,3%), une thyroïdectomie totale (11; 2,9%); une sternotomie dans un cas de goitre endothoracique. Une hémorragie était notée dans 12,7% des cas (45 patients) en peropératoire. Les suites opératoires à un mois étaient simples dans 91,79% (n=347) et une lésion transitoire du nerf récurrent dans 2% des cas (1 patient). Les suites opératoires à un an étaient simples chez 94,17% (n=356) des patients. La durée moyenne d'hospitalisation était de 4,18 jours. Six décès ont été enregistrés (1,7%). CONCLUSION: La chirurgie des goitres est relativement fréquente dans le service de chirurgie «A¼ du CHU du POINT G. Une bonne préparation et une meilleure surveillance post opératoire pourraient aider à minimiser les complications post opératoires.

12.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-25679736

ABSTRACT

The mechanical and transport properties of a Bentheim sandstone are studied both experimentally and numerically. Three classical classes of loads are applied to a sample whose permeability is measured. The elasticity and the Stokes equations are discretized on unstructured tetrahedral meshes which precisely follow the deformations of the sample. Numerical results are presented, discussed, and compared to the available experimental data.

13.
Mali Med ; 30(1): 11-13, 2015.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-29927151

ABSTRACT

AIM: to evaluate the contribution of laparoscopic surgery in the management of chronic abdominal pains of unspecified etiology. METHODS: A retrospective descriptive study was conducted over a period of 49 months (March 2008 to March 2012), in the surgery A service of the Point G university hospital. RESULTS: 52 patients suffering from chronic abdominal pain for 3 months have been listed. There were 36 women and 16 men, with a sex-ratio of 2.25. The pathologies found in laparoscopy were: 16 cases of adherences, 16 cases of gynaecological diseases, 6 cases of chronic appendicitis, 5 cases of chronic cholecystitis, 6 cases of abdominal tumors and 3 cases of intrauterine contraceptives in abdomen. Conversion to laparotomy was not made and mortality was null. No lesion was found in 11.54% of cases. The mean duration of hospitalization was 2 days. The duration of follow-up of the patients was 18 months with a minimum of 6 months and a maximum of 24 months. No painful symptomatology was found in 6 months in 88.46% of the cases. Persistent stomach pains were found in 3% of the cases. 8.54% of the patients had an improvement of symptomatology. CONCLUSION: Chronic abdominal pains put a diagnosis problem in surgery. Laparoscopy is a reference technique to diagnose this pain and to discuss them.


BUT: évaluer l'apport de la chirurgie laparoscopique dans la prise en charge des douleurs abdominales chroniques d'étiologie indéterminée. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive sur une période de 49 mois (mars 2008 à mars 2012), dans le service de chirurgie A du CHU du point G. RÉSULTATS: 52 patients souffrant de douleur abdominale depuis 3 mois ont été recensés. Il s'agissait de 36 femmes et 16 hommes soit un sex-ratio de 2,25. Les pathologies retrouvées à la laparoscopie étaient : 16 cas d'adhérences, 16 cas d'affections gynécologiques (hydrosalpinx, kystes dermoïdes, salpingites, endométriose externe), 6 cas d'appendicites chroniques, 5 cas cholécystites chroniques, 6 cas de tumeurs abdominales et 3 cas de stérilet intra-abdominal. Aucune conversion n'a été effectuée. La mortalité était nulle. Aucune lésion n'a été retrouvée dans 11,54% des cas (N=6cas). La durée moyenne d'hospitalisation était de 2 jours. La durée moyenne de suivi des patients était de 18 mois avec des extrêmes de 6 mois et 24 mois. 6 mois après l'intervention aucune symptomatologie douloureuse n'a été retrouvée dans 46 cas (88,46%), des douleurs abdominales persistantes ont été retrouvées dans 3% (N=2cas) et 5 patients (8,54%) avaient une nette amélioration de la symptomatologie douloureuse. CONCLUSION: Les douleurs abdominales chroniques posent un problème de diagnostic en chirurgie. La laparoscopie est une des techniques de référence indiquée pour diagnostiquer et traiter ces douleurs.

14.
Mali Med ; 30(3): 38-41, 2015.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-29927166

ABSTRACT

The goal of this study was to investigate internal hemorrhoid disease. This cross-sectional study was conducted at the digestive endoscopy center of the Gabriel Toure University Hospital from December 2011 to December 2012. Sixty cases of internal hemorrhoid disease were found - 36 men and 24 women and an average age of 47 ±14.4 years. Clinical signs were frequently: bleeding (66.7%), constipation (58.4%), anal pains (58.3%) and prolapsed hemorrhoids (18.3%). The rectoscopy found isolated internal hemorrhoids in 78.4% of cases and stage I of the illness in 81.7% of cases. All patients were given medical treatment. CONCLUSION: Hemorrhoid disease is a frequent pathology in the general population mainly around the third decade of life.


Le but de ce travail était d'étudier la maladie hémorroïdaire interne. Il s'agissait d'une étude transversale déroulée au centre d'endoscopie digestive du CHU Gabriel Touré de Décembre 2011 à décembre 2012.Nous avons colligé 60 cas de maladie hémorroïdaire interne dont 36 hommes et 24 femmes avec un âge moyen de 47 ±14,4 ans. Le tableau clinique était dominé par le saignement (66,7 %),la constipation (58,4 %), la douleur anale (58,3%) et le prolapsus hémorroïdaire (18,3%). L'anorectoscopie réalisée objectivait des hémorroïdes internes isolées dans 78,4% des cas et le stade I de la maladie était observé dans 81,7% des cas. Tous les patients ont bénéficié d'un traitement médical. CONCLUSION: La maladie hémorroï-daire est une pathologie relativement fréquente dans la population générale surtout vers la troisième décade.

15.
Mali Med ; 30(3): 42-45, 2015.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-29927167

ABSTRACT

The aim of this study was to identify factors influencing the clinical outcomes of surgery of obstetric urogenital genital fistula. This was a cross sectional study, which focused on factors influencing results in the treatment of urogenital fistula, from January 2011 to January 2012 at the urology department of the Point-G University Hospital. This study involved 115 patients suffering from urogenital fistula. Cure of urogenital fistula accounted for 17% of the bloc's activities. Closure of the fistula was achieved in 68.7% of cases. This result was influenced by certain factors. Including factors related to condition of the tissue peri-fistula (good trophic tissue, or fibrosis peri-fistula). Fistulas operated primarily peri-sinus tissue remodeling were closed in 71.42% of cases. Factors related to the patient and care: those carried out for the first time have a success rate of 68.42%, only 47.62% of success in patients who presented after five years. Factors related to clinicopathological seat: fistula vesicovaginal septum and cervical-vaginal urethrovaginal reported a success rate of 76.92%. Care-related factors include: the experience of the surgeon, surgeons of the urology service have a 76.19% success rate against 25% from other surgeons. The incision fistula was related to the clinicopathological seat, so the trigonal-vaginal fistulas and uretero addressed by the upper route have been successful in 85%. In addition to these factors the postoperative follow-up, the instruments, the suture thread, the operating table, and the lighting in the room have also improved the results.


Le but de cette étude était d'identifier les facteurs influençant les résultats cliniques de la chirurgie de la fistule uro- génitale obstétricale. Il s'agissait d'une étude transversale, qui a porté sur les facteurs influençant les résultats dans la prise en charge de fistule uro-génitale, allant du janvier 2011 au janvier 2012 au service d'urologie du CHU du Point-G. Cette étude a concerné 115 patientes souffrantes de fistule uro-génitale. La cure de la fistule uro-génitale a représenté 17 % des activités du bloc. La fermeture de la fistule a été obtenue dans 68,7% des cas. Ce résultat a été influencé par certains facteurs, dont les facteurs liés à l'état du tissu péri-fistuleux (bonne trophicité du tissu, ou fibrose péri-fistuleux). Les fistules opérées avant tout remaniement tissulaire péri-fistuleux ont été fermées dans 71,42 % des cas. Les facteurs liés à la patiente et aux soins : celles opérées pour la première fois ont un taux de réussite de 68,42 %, seulement 47,62 % de succès chez les patientes qui se sont présentées après cinq ans. Les facteurs liés au siège anatomo-clinique : les fistules de la cloison vésico-vaginale et cervico-urétro-vaginale ont occupé un taux de succès de 76,92 %. Les facteurs liés aux soins regroupent : l'expérience du chirurgien, les chirurgiens du service d'urologie contrairement aux autres chirurgiens ont 76,19 % de réussite contre 25%. La voie d'abord de la fistule était en rapport avec le siège anatomo-clinique, ainsi les fistules trigonales et urétéro-vaginales abordées par la voie haute ont été réussies dans 85 %. En plus de ces facteurs le suivi post-opératoire, les instruments, les fils de suture, la table opératoire, l'éclairage de la salle ont améliorée aussi les résultats.

16.
Environ Technol ; 36(9-12): 1291-8, 2015.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-25371046

ABSTRACT

Toilet compost (TC) and human urine are among natural fertilizers, which raise interest due to their double advantages to combine sanitation and nutrient recovery. However, combination of urine and TC is not so spread probably because the best ratio (urine/TC) is still an issue and urine effect on soil chemical properties remains poorly documented. This study aims to determine the best ratio of urine and TC in okra cultivation, by targeting higher fertilization effect combined with lower impact on soil chemical properties. Based on Nitrogen requirement of okra, seven treatments were compared: (T0) no fertilizer, (T1) chemical fertilizer (NPK: 14-23-14), (T2) 100% urine, (T3) 100% TC, (T4) ratio of 75% urine+25% TC, (T5) 50% urine+50% TC and (T6) 25% urine+75% TC. Results indicated that T4 (75% urine+25% TC) gave the highest plant height and yield. In contrast, T2 (100% urine) gave the lowest results among all treatments, indicating toxicity effects on plant growth and associated final yield. Such toxicity is confirmed by soil chemical properties at T2 with soil acidification and significant increase in soil salinity. In contrast, application of urine together with TC mitigates soil acidification and salinity, highlighting the efficiency of urine and TC combination on soil chemical properties. However, further investigation is necessary to refine better urine/TC ratio for okra production.


Subject(s)
Agriculture , Fertilizers/analysis , Sewage , Soil/chemistry , Urine , Abelmoschus , Biomass , Humans , Sodium/analysis , Toilet Facilities
17.
Mali méd. (En ligne) ; 30(1): 11-13, 2015.
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1265684

ABSTRACT

But : evaluer l'apport de la chirurgie laparoscopique dans la prise en charge des douleurs abdominales chroniques d'etiologie indeterminee. Methodes : Il s'agissait d'une etude retrospective et descriptive sur une periode de 49 mois (mars 2008 a mars 2012);dans le service de chirurgie A du CHU du point G. Resultats :52 patients souffrant de douleur abdominale depuis 3 mois ont ete recenses. Il s'agissait de 36 femmes et 16 hommes soit un sex ratio de 2;25. Les pathologies retrouvees a la laparoscopie etaient : 16 cas d'adherences; 16 cas d'affections gynecologiques (hydrosalpinx; kystes dermoides; salpingites; endometriose externe); 6 cas d'appendicites chroniques; 5 cas cholecystites chroniques; 6 cas de tumeurs abdominales et 3 cas de sterilet intra abdominal. Aucune conversion n'a ete effectuee. La mortalite etait nulle. Aucune lesion n'a ete retrouvee dans 11;54 des cas (N=6cas).La duree moyenne d'hospitalisation etait de 2 jours. La duree moyenne de suivi des patients etait de 18 mois avec des extremes de 6 mois et 24 mois. 6 mois apres l'intervention aucune symptomatologie douloureuse n'a ete retrouvee dans 46 cas (88;46); des douleurs abdominales persistantes ont ete retrouvees dans 3(N=2cas) et 5 patients (8;54) avaient une nette amelioration de la symptomatologie douloureuse. Conclusion : Les douleurs abdominales chroniques posent un probleme de diagnostic en chirurgie. La laparoscopie est une des techniques de reference indiquee pour diagnostiquer et traiter ces douleurs


Subject(s)
Abdominal Pain/etiology , Digestive System Diseases , Genital Diseases, Female
18.
Mali méd. (En ligne) ; 30(3): 42-45, 2015.
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1265694

ABSTRACT

Le but de cette etude etait d'identifier les facteurs influencant les resultats cliniques de la chirurgie de la fistule uro- genitale obstetricale. Il s'agissait d'une etude transversale; qui a porte sur les facteurs influencant les resultats dans la prise en charge de fistule uro-genitale; allant du janvier 2011 au janvier 2012 au service d'urologie du CHU du Point-G. Cette etude a concerne 115 patientes souffrantes de fistule uro-genitale. La cure de la fistule uro-genitale a represente 17 % des activites du bloc. La fermeture de la fistule a ete obtenue dans 68;7% des cas. Ce resultat a ete influence par certains facteurs; dont les facteurs lies a l'etat du tissu peri-fistuleux (bonne trophicite du tissu; ou fibrose peri-fistuleux). Les fistules operees avant tout remaniement tissulaire peri-fistuleux ont ete fermees dans 71;42 % des cas. Les facteurs lies a la patiente et aux soins : celles operees pour la premiere fois ont un taux de reussite de 68;42 %; seulement 47;62 % de succes chez les patientes qui se sont presentees apres cinq ans. Les facteurs lies au siege anatomo-clinique : les fistules de la cloison vesico-vaginale et cervico-uretro-vaginale ont occupe un taux de succes de 76;92 %. Les facteurs lies aux soins regroupent : l'experience du chirurgien; les chirurgiens du service d'urologie contrairement aux autres chirurgiens ont 76;19 % de reussite contre 25%. La voie d'abord de la fistule etait en rapport avec le siege anatomo-clinique; ainsi les fistules trigonales et uretero-vaginales abordees par la voie haute ont ete reussies dans 85 %. En plus de ces facteurs le suivi post-operatoire; les instruments; les fils de suture; la table operatoire; l'eclairage de la salle ont amelioree aussi les resultats


Subject(s)
Academic Medical Centers , Postoperative Period , Treatment Outcome , Vesicovaginal Fistula
20.
J Visc Surg ; 151(2): 97-101, 2014 Apr.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-24618365

ABSTRACT

OBJECTIVE: The aim was to evaluate the results of surgical treatment of occlusion of the sigmoid colon due to volvulus. PATIENTS AND METHODS: This was a retrospective study from 1996 to 2010 of all patients undergoing surgery for sigmoid volvulus in surgical wards of the University Hospital of Bamako. RESULTS: A total of 417 patients were identified including 379 men and 38 women. The mean patient age was 45.7 ± 18.3 years. The general condition of the patients was good in 70.5% and altered in 29.5% of cases. Colonic necrosis was present in 80 patients (19.2%). Single-stage resection with immediate anastomosis was performed in 149 patients (35.73%). Two-stage surgery was performed in 268 cases (64.27%). The initial stage of the two-stage procedure was colostomy in 167 cases and simple detorsion in 101 cases. The surgical approach had an impact on mortality in patients who were in poor general condition. Single-stage surgery resulted in higher mortality (12/149; 8.05%) than two-stage surgery (5/268; 1.87%), and the difference was statistically significant (P=0.0005). CONCLUSION: Single-stage surgery for sigmoid volvulus carries a high risk of death when it is performed in patients with poor general condition. Indications for surgery must take into account the patient's general condition and the viability of the torsed sigmoid colon.


Subject(s)
Intestinal Volvulus/surgery , Sigmoid Diseases/surgery , Acute Disease , Adolescent , Adult , Aged , Aged, 80 and over , Colostomy , Comorbidity , Female , Hospitals, Teaching , Humans , Intestinal Volvulus/mortality , Male , Mali , Middle Aged , Retrospective Studies , Sigmoid Diseases/mortality , Treatment Outcome
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