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1.
Rev Med Liege ; 78(1): 4-6, 2023 Jan.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-36634058

ABSTRACT

Priapism is a prolonged erection lasting more than four hours. In most cases, it is a surgical emergency. Trazodone is one of the molecules that can cause priapism. This constitutes a real challenge in the management of these patients, who are often young, to avoid too bad impact on erectile function. We report the case of a 34-year-old man.


Le priapisme est une érection prolongée de plus de quatre heures. Il constitue, dans la majorité des cas, une urgence chirurgicale. La trazodone fait partie des molécules pouvant entraîner un priapisme. Ceci constitue un vrai challenge dans la prise en charge de ces patients, souvent jeunes, pour éviter un impact trop important sur la fonction érectile. Nous rapportons le cas d'un homme de 34 ans.


Subject(s)
Priapism , Trazodone , Male , Humans , Adult , Priapism/chemically induced , Priapism/drug therapy , Penis/surgery , Trazodone/adverse effects , Penile Erection
2.
Rev Med Liege ; 77(7-8): 416-420, 2022 Jul.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-35924494

ABSTRACT

Primary hyperoxaluria type 1 is a rare autosomal recessive disorder leading to oxalate overproduction by deficiency in the liver-specific enzyme alanine-glyoxylate transaminase (AGT). Oxalate is a poorly soluble molecule that binds calcium and deposits in the entire organism leading to oxalosis. Its elimination is mainly carried out by kidneys. Hence the first manifestations are frequently of urinary concern and whitout any early care, progression of the disease to end-stage renal failure cannot be avoided. The only etiological treatment has long been combined liver-kidney transplantation because it restaures enzymatic function and replaces pathological kidneys. However, for a few years now, numerous studies are carried out on this subject and promising results have already been published with a new drug, lumasiran. From a clinical case, we describe the different options for the therapeutic management of primary hyperoxaluria type 1.


L'hyperoxalurie primitive de type 1 (HP1) est une maladie autosomale récessive rare entraînant une hyperproduction d'oxalate par déficit d'une enzyme hépatique : l'alanine-glyoxylate aminotransférase. L'oxalate est une petite molécule peu soluble qui se lie au calcium et forme des dépôts d'oxalate calcique dans l'ensemble de l'organisme : c'est l'oxalose. Son élimination est principalement rénale. Dès lors, les premières manifestations sont souvent d'ordre urinaire et, en l'absence de traitement précoce, la maladie évolue inévitablement vers l'insuffisance rénale terminale. Le seul traitement étiologique a longtemps été la transplantation combinée hépatique et rénale qui restaure une activité enzymatique et remplace les reins défaillants. Cependant, depuis quelques années, de nombreuses recherches sont réalisées à ce sujet et des résultats prometteurs ont déjà vu le jour avec le lumasiran. à partir d'un cas clinique, nous décrivons les différentes options de la prise en charge thérapeutique de l'HP1.


Subject(s)
Hyperoxaluria, Primary , Nephrocalcinosis , Humans , Hyperoxaluria, Primary/complications , Hyperoxaluria, Primary/diagnosis , Hyperoxaluria, Primary/therapy , Nephrocalcinosis/etiology , Oxalates/metabolism , RNA, Small Interfering
3.
Rev Med Liege ; 77(7-8): 426-429, 2022 Jul.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-35924496

ABSTRACT

With the development of modern imaging, incidental findings of renal neoplasia are increasingly frequent. However, renal cell carcinoma can also rarely present as an atypical form and can be confused with benign pathologies such as renal abscess or pyelonephritis. We present the case of a renal neoplasia largely mimicking a renal abscess.


Avec le développement de l'imagerie moderne, la découverte fortuite des néoplasies rénales est de plus en plus fréquente. Néanmoins, le carcinome rénal peut également rarement se présenter sous une forme atypique et peut alors être confondu avec des pathologies bénignes comme un abcès rénal ou une pyélonéphrite. Nous présentons le cas d'une néoplasie rénale se manifestant trompeusement sous la forme d'un abcès rénal.


Subject(s)
Carcinoma, Renal Cell , Kidney Neoplasms , Pyelonephritis , Urinary Tract Infections , Abscess/diagnosis , Carcinoma, Renal Cell/diagnosis , Diagnosis, Differential , Humans , Kidney Neoplasms/diagnosis , Pyelonephritis/diagnosis
4.
Rev Med Liege ; 76(12): 850-854, 2021 Dec.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-34881827

ABSTRACT

Autosomal dominant polycystic kidney disease (ADPKD) is responsible for 10 % of end-stage renal failure cases in Europe and the majority of these patients will have their renal failure treated with kidney transplantation. In this context, native kidneys will have a negligible function but maybe the source of a series of complications, whether due to polycystosis or immunosuppression. These complications include urinary tract infections, renal neoplasms, high blood pressure and abdominal pain and must be managed specifically for this particular context. Native nephrectomy may also be considered to prevent these complications, but it is a serious procedure and the risk-benefit ratio must be carefully assessed. There are still no clear and consensual guidelines on the indications for this nephrectomy or on the ideal timing of it in relation to the transplant procedure. Nevertheless, a review of the various data in the literature allows us to suggest an algorithm to help the therapeutic decision.


La polykystose rénale autosomique dominante (ADPKD) est responsable de 10 % des insuffisances rénales terminales en Europe et la majorité de ces patients verront leur insuffisance rénale traitée par transplantation rénale. Dans ce contexte, les reins natifs auront une fonction négligeable, mais pourront, en revanche, être à l'origine d'une série de complications, que ce soit à la faveur de la polykystose ou de l'immunosuppression. Ces complications comprennent notamment les infections urinaires, les néoplasies rénales, l'hypertension artérielle et les douleurs abdominales. Elles doivent être prises en charge de façon spécifique à ce contexte particulier. Une néphrectomie native peut également être envisagée afin de prévenir ces complications, mais il s'agit d'une intervention lourde dont le rapport risque-bénéfice doit être soigneusement évalué. Il n'existe pas encore de directives claires et consensuelles sur les indications de cette néphrectomie ni sur le «timing¼ idéal de celle-ci par rapport à l'opération de transplantation. Cependant, une revue des différentes données de la littérature permet de proposer un algorithme aidant à la décision thérapeutique.


Subject(s)
Kidney Failure, Chronic , Kidney Transplantation , Polycystic Kidney, Autosomal Dominant , Humans , Kidney , Nephrectomy , Polycystic Kidney, Autosomal Dominant/complications , Polycystic Kidney, Autosomal Dominant/therapy , Retrospective Studies
5.
Rev Med Liege ; 75(12): 822-824, 2020 Dec.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-33331708

ABSTRACT

Male urethral stricture is a well-known pathology responsible for symptomatology of an infravesical obstacle. Its management is essentially surgical. The different treatment options range from simple ambulatory dilation to urethroplasty, sometimes involving an enlargement graft.


ose de l'urètre masculin est une pathologie urologique bien connue, responsable d'une symptomatologie d'obstacle infravésical. Sa prise en charge est essentiellement chirurgicale. Les différentes options thérapeutiques vont de la simple dilatation ambulatoire, à l'urétroplastie, faisant parfois intervenir un greffon d'agrandissement.


Subject(s)
Urethra , Urethral Stricture , Constriction, Pathologic , Humans , Male , Treatment Outcome , Urethra/surgery , Urethral Stricture/surgery , Urologic Surgical Procedures, Male
6.
Rev Med Liege ; 75(11): 748-753, 2020 Nov.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-33155450

ABSTRACT

Stricture of the male urethra is a frequent and regularly iatrogenic pathology in industrialized countries. The urologist's surgical arsenal is wide and the choice of an operative technique is made at the end of an assessment where urethrocystography is the main radiological examination. The conditions to achieve the examination, its different stages, the normal aspects and anatomical variants as well as the limitations to its interpretation, should therefore be known by the urologist and the radiologist, in order to assess correctly this pathology.


La sténose de l'urètre masculin est une pathologie fréquente, régulièrement iatrogène dans les pays industrialisés. L'arsenal chirurgical de l'urologue face à celle-ci est large et le choix d'une technique opératoire est posé au terme d'un bilan dont l'urétrocystographie occupe une place centrale. Les conditions de réalisation de l'examen, ses étapes, les aspects normaux et les quelques variantes anatomiques ainsi que ses limites d'interprétation, doivent donc être connus de l'urologue et du radiologue, de manière à ne pas méconnaître ou, au contraire, surestimer une sténose urétrale.


Subject(s)
Abdominal Cavity , Urethral Stricture , Constriction, Pathologic , Humans , Male , Treatment Outcome , Urethra/diagnostic imaging , Urethra/surgery , Urethral Stricture/diagnostic imaging , Urethral Stricture/surgery , Urologic Surgical Procedures, Male
7.
Rev Med Liege ; 74(3): 152-158, 2019 03.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-30897315

ABSTRACT

Candidates for a kidney transplantation must undergo a complete evaluation, including a urological evaluation. This urological assessment should first of all exclude any pathology of the urinary tract likely to contraindicate a transplantation or to evolve under immunosuppression. Moreover, this assessment should evaluate the lower urinary tract that is to receive a kidney graft. It is therefore necessary to detect and possibly treat uro-genital cancers, benign uropathies of the native kidneys or abnormalities of the lower urinary tract. The basic evaluation is rather simple and non-invasive and includes a complete history, general and urogenital physical examination, urinalysis, total serum PSA measurement, urinary tract ultrasound, and uroflowmetry. If necessary, other explorations and testings will be carried out, such as CT scan, MRI, retrograde uretero-pyelography, uretero-renoscopy, cystoscopy, urethro-cystography or urodynamic examination. This article reviews the various pathologies involved, and sets out practical recommendations for explorations to be performed.


Les candidats à une transplantation rénale doivent faire l'objet d'une évaluation complète, y compris urologique. Ce bilan urologique permet, tout d'abord, d'exclure toute pathologie de l'arbre urinaire susceptible de contre-indiquer une greffe rénale ou susceptible de s'aggraver sous immunosuppression. Par ailleurs, ce bilan permet d'évaluer l'aptitude du bas appareil urinaire à recevoir un greffon. Il convient donc de dépister et, éventuellement, de traiter les cancers uro-génitaux, les uropathies bénignes des reins natifs ou les anomalies du bas appareil urinaire. L'évaluation de base est simple et non invasive et comprend une anamnèse complète, un examen clinique général et uro-génital, une analyse d'urine, un dosage de PSA sérique total, une échographie des voies urinaires, et une débitmétrie. Elle sera complétée par d'autres explorations si nécessaire, telles que le scanner, l'IRM, l'urétéro-pyélographie rétrograde, l'urétéro-rénoscopie, la cystoscopie, l'urétro-cystographie rétograde et permictionnelle, ou l'examen urodynamique. Cet article revoit les différentes pathologies urologiques concernées, et définit des recommandations pratiques concernant les explorations à envisager.


Subject(s)
Kidney Transplantation , Humans , Kidney/physiology
8.
Rev Med Liege ; 72(12): 529-533, 2017 Dec.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-29271132

ABSTRACT

The syndrome of "post-obstructive diuresis" corresponds to a massive polyuria and natriuresis occurring after the drainage of an obstructive acute kidney injury. Such a complication needs to be readily detected and managed because of the significant risk for haemodynamic disorders. On the basis of a clinical observation, we describe the pathophysiology of post-obstructive diuresis, as well as its diagnostic and therapeutic management.


Le syndrome de levée d'obstacle urinaire correspond à une polyurie et une natriurèse massives survenant lors du drainage des voies urinaires dans le cadre d'une insuffisance rénale obstructive. Cette complication doit être rapidement détectée vu les risques de répercussions hémodynamiques sévères. A partir d'une observation clinique, nous décrivons la physiopathologie et la prise en charge diagnostique et thérapeutique du syndrome de levée d'obstacle.


Subject(s)
Acute Kidney Injury/surgery , Diuresis/physiology , Postoperative Complications/diagnosis , Postoperative Complications/therapy , Ureteral Obstruction/surgery , Aged , Drainage , Humans , Male , Natriuresis/physiology , Postoperative Complications/urine , Syndrome , Ureteral Obstruction/complications , Ureteral Obstruction/diagnosis , Ureteral Obstruction/urine
9.
Rev Med Liege ; 72(10): 454-456, 2017 Oct.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-29058838

ABSTRACT

Low flow priapism is a urologic emergency because it leads to erectile dysfunction due to cavernosal fibrosis. Several treatments exist, including cavernosal aspiration, washing with or without alpha-mimetic agent or shunting surgery. In case of failure of these methods or prolonged priapism (superior to 36 hours), the option of early penile prostheses implantation should be discussed with a motivated patient in order to improve sexual satisfaction.


Le priapisme à bas débit est une urgence urologique car il conduit inévitablement à la fibrose des corps caverneux et donc à une dysfonction érectile totale. Différentes méthodes de détumescence existent allant de la ponction évacuatrice, le lavage avec ou sans agent vasoconstricteur à la chirurgie de «shunting¼. En cas d'échec de ces manoeuvres ou en cas de priapisme de plus de 36 heures, les recommandations actuelles sont de proposer au patient motivé l'implantation précoce d'une prothèse pénienne pour optimiser la satisfaction sexuelle ultérieure.


Subject(s)
Penile Implantation , Penile Prosthesis , Priapism/drug therapy , Humans , Male , Middle Aged , Time-to-Treatment
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