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1.
CJEM ; 26(6): 431-435, 2024 Jun.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-38796808

ABSTRACT

PURPOSE: We evaluated impact on length of stay and possible complications of replacing the Clinical Institute Withdrawal Assessment-Alcohol Revised (CIWA-Ar) scale with a slightly modified Richmond Agitation and Sedation Scale (mRASS-AW) to support managing patients admitted with alcohol withdrawal symptoms in a community hospital. Since mRASS-AW is viewed as easier and quicker to use than CIWA-Ar, provided use of mRASS-AW does not worsen outcomes, it could be a safe alternative in a busy ED environment and offer an opportunity to release nursing time to care. METHODS: Retrospective time-series analysis of mean quarterly length of stay. All analyses exclusively used our hospital's administrative discharge diagnoses database. During April 1st 2012 to December 14th 2014, the CIWA-Ar was used in the ED and in-patient units to guide benzodiazepine dosing decisions for alcohol withdrawal symptoms. After this point, CIWA-Ar was replaced with mRASS-AW. Data was evaluated until December 31st 2020. PRIMARY OUTCOME: mean quarterly length of stay. SECONDARY OUTCOMES: delirium, intensive care unit (ICU) admission, other post-admission complications, mortality. RESULTS: N = 1073 patients. No association between length of stay and scale switch (slope change 0.3 (95% CI - 0.03 to 0.6), intercept change, 0.06 (- 0.03 to 0.2). CIWA-Ar (n = 317) mean quarterly length of stay, 5.7 days (95% 4.2-7.1), mRASS-AW (n = 756) 5.0 days (95% CI 4.3-5.6). Incidence of delirium, ICU admission or mortality was not different. However, incidence of other post-admission complications was higher with CIWA-Ar (6.6%) than mRASS-AW (3.4%) (p = 0.020). CONCLUSIONS: This was the first study to compare patient outcomes associated with using mRASS-AW for alcohol withdrawal symptoms outside the ICU. Replacing CIWA-Ar with mRASS-AW did not worsen length of stay or complications. These findings provide some evidence that mRASS-AW could be considered an alternative to CIWA-Ar and potentially may provide an opportunity to release nursing time to care.


ABSTRAIT: BUT: Nous avons évalué l'impact sur la durée du séjour et les complications possibles du remplacement de l'échelle Clinical Institute Withdrawal Assessment- Alcohol Revised (CIWA-Ar) par une échelle d'agitation et de sédation de Richmond légèrement modifiée (mRASS-AW) soutenir la prise en charge des patients admis avec des symptômes de sevrage d'alcool dans un hôpital communautaire. Étant donné que le mRASS-AW est considéré comme plus facile et plus rapide à utiliser que le CIWA-Ar, à condition que l'utilisation du mRASS-AW n'aggrave pas les résultats, il pourrait s'agir d'une solution de rechange sécuritaire dans un environnement de SU occupé et offrir une occasion de libérer du temps pour les soins infirmiers. MéTHODES: Analyse rétrospective de séries chronologiques de la durée moyenne trimestrielle du séjour. Toutes les analyses utilisaient exclusivement la base de données des diagnostics de sortie administrative de notre hôpital. Entre le 1er avril 2012 et le 14 décembre 2014, le CIWA-Ar a été utilisé dans les unités de soins intensifs et de soins aux patients hospitalisés pour guider les décisions de dosage des benzodiazépines pour les symptômes de sevrage de l'alcool. Après ce point, CIWA-Ar a été remplacé par mRASS-AW. Les données ont été évaluées jusqu'au 31 décembre 2020. Résultat principal : durée moyenne trimestrielle du séjour. Résultats secondaires : délire, admission en unité de soins intensifs (USI), autres complications post-admission, mortalité. RéSULTATS: N = 1073 patients. Aucune association entre la durée de séjour et le changement d'échelle (changement de pente 0,3 (IC à 95 % -0,03 à 0,6), changement d'interception, 0,06 (-0,03 à 0,2). CIWA-Ar (n = 317) durée moyenne trimestrielle du séjour, 5,7 jours (95 % 4,2 à 7,1), mRASS-AW (n = 756) 5,0 jours (95 % IC 4,3 à 5,6). L'incidence du délire, de l'admission aux soins intensifs ou de la mortalité n'était pas différente. Cependant, l'incidence d'autres complications post-admission était plus élevée avec CIWA-Ar (6,6%) que mRASS-AW (3,4%) (p = 0,020). CONCLUSIONS: Il s'agissait de la première étude à comparer les résultats des patients associés à l'utilisation du mRASS-AW pour les symptômes de sevrage alcoolique en dehors des soins intensifs. Le remplacement de CIWA-Ar par mRASS-AW n'a pas aggravé la durée du séjour ou les complications. Ces résultats fournissent certaines preuves que le mRASS-AW pourrait être considéré comme une alternative au CIWA-Ar et pourrait potentiellement fournir une occasion de libérer du temps de soins infirmiers.


Subject(s)
Length of Stay , Substance Withdrawal Syndrome , Humans , Length of Stay/statistics & numerical data , Retrospective Studies , Male , Female , Middle Aged , Alcohol Withdrawal Delirium , Psychomotor Agitation , Aged , Adult
3.
Can J Hosp Pharm ; 74(3): 219-226, 2021.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34248162

ABSTRACT

BACKGROUND: Chronic kidney disease (CKD) is a risk factor for cardiovascular disease. The Kidney Disease Improving Global Outcomes 2013 guidelines and the Canadian Cardiovascular Society 2016 guidelines recommend statins for primary prevention of cardiovascular disease in CKD patients aged 50 years or older who are not receiving treatment with kidney transplant or dialysis. OBJECTIVES: To evaluate statin use for patients in the Vancouver General Hospital Kidney Care Clinic (VGH KCC) and to gain insight into the KCC nephrologists' practices and perspectives regarding the prescribing of statins for patients with CKD. METHODS: The study comprised 2 parts. Part 1 consisted of a cross-sectional study of all statin-eligible patients in the VGH KCC followed by a retrospective chart review. In the chart review, data were collected for 250 statin users and 250 non-users. Logistic regression analyses were performed to determine associations between demographic variables and statin use or non-use. Part 2 was an electronic survey of VGH KCC nephrologists. RESULTS: Of the 813 statin-eligible patients, 512 (63%) were taking a statin. Patients were approximately 5 times more likely to be receiving statin therapy when it was indicated for secondary versus primary prevention (adjusted odds ratio 4.64, 95% confidence interval 2.95-7.47). Eight of the 9 KCC nephrologists completed the survey, and 7 (87.5%) of these respondents indicated that they never or rarely prescribed statins themselves to KCC patients for primary prevention. However, the same number reported that they sometimes or often suggested statin initiation to family physicians. Three of the respondents indicated agreement with guideline recommendations, but many stated that the decision for statin initiation should be individualized to the patient. Strategies to improve statin prescribing rates that were endorsed by respondents included educating family physicians, creating preprinted orders and laboratory requisitions for statin initiation, providing educational materials about statins to patients, and implementing a protocol for KCC pharmacists to counsel patients about statins. CONCLUSIONS: Many statin-eligible VGH KCC patients were not receiving statin therapy, and most of the KCC nephrologists considered statin prescribing as a role for family physicians. Within the KCC, future directions will be to develop a standardized approach to identify patients who would benefit from statin therapy, and to implement strategies to improve statin prescribing rates in appropriate patients.


CONTEXTE: L'insuffisance rénale chronique (IRC) est un facteur de risque de maladie cardiovasculaire. Les directives du Kidney Disease Improving Global Outcomes de 2013 et celles de la Société canadienne de cardiologie de 2016 recommandent l'utilisation de statines comme mode de prévention principal des maladies cardiovasculaires par les patients âgés d'au moins 50 ans et souffrant d'IRC, qui ne reçoivent pas de traitement par greffe rénale ou dialyse. OBJECTIFS: Évaluer l'utilisation des statines pour les patients résidant au Vancouver General Hospital Kidney Care Clinic (VGH KCC) et améliorer la compréhension des pratiques et points de vue des néphrologues de la KCC concernant la prescription de statines aux patients souffrant d'une IRC. MÉTHODES: L'étude comportait deux parties. La première consistait en une étude transversale de tous les patients admis à recevoir des statines au VGH KCC, suivie d'un examen rétrospectif des dossiers. Les données destinées à cet examen ont été recueillies auprès de 250 utilisateurs de statines et de 250 non-utilisateurs. Les analyses de régression logistique ont permis de déterminer les associations entre les variables démographiques et l'utilisation (ou non) de statines. La deuxième partie consistait en une enquête menée électroniquement auprès des néphrologues du VGH KCC. RÉSULTATS: Des 813 patients admissibles à l'utilisation de statines, 512 (63 %) en prenaient déjà. Les patients avaient environ cinq fois plus de chances de recevoir un traitement par statines, lorsque celles-ci étaient indiquées pour la prévention secondaire ou primaire (rapport de cote révisé 4,64, 95 % intervalle de confiance 2,95 ­ 7,47). Huit des neuf néphrologues de la KCC ont participé à l'enquête et sept (87,5 %) d'entre eux ont indiqué qu'ils n'avaient jamais, ou rarement, prescrit de statines aux patients du KCC dans le cadre d'une intervention primaire. Cependant, le même nombre de répondants a indiqué avoir parfois ou souvent proposé aux médecins de famille de commencer un traitement aux statines. Trois répondants ont indiqué être d'accord avec les recommandations préconisées dans les directives, mais bon nombre des néphrologues interrogés ont signalé que la décision d'entreprendre un tel traitement devait être individualisée. Les stratégies visant à améliorer les taux de prescription de statines approuvées par les répondants comprenaient la sensibilisation des médecins de famille, la création d'ordonnances et de demandes d'analyse en laboratoire préimprimées pour entreprendre un traitement aux statines, l'offre aux patients de matériel de formation sur le sujet et la mise en place d'un protocole pour les pharmaciens de la KCC leur permettant de conseiller les patients. CONCLUSIONS: Beaucoup de patients admissibles à un traitement aux statines du VGH KCC ne le recevaient pas, et la plupart des néphrologues de la KCC considéraient que la prescription de ce type de traitement relevait des médecins de famille. Au sein de la KCC, les orientations futures consisteront à élaborer une approche standardisée pour identifier les patients qui tireraient profit d'une thérapie aux statines et à mettre en place des stratégies visant à améliorer les taux de prescription de statines aux patients concernés.

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