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J Obstet Gynaecol Can ; 35(8): 704-709, 2013 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-24007705

ABSTRACT

OBJECTIVE: Maternal obesity is a strong risk factor for gestational diabetes mellitus and fetal macrosomia. We assessed the association between maternal visceral adiposity tissue (VAT) depth in the first half of pregnancy and both glucose tolerance in late pregnancy and newborn weight in pregnant adolescents. METHODS: We completed a prospective cohort study of 73 pregnant adolescents aged 10 to 19 years, without pre-pregnancy diabetes. VAT depth was measured by ultrasound at 12 to 20 weeks' gestation, followed by a two-hour 75-g oral glucose tolerance test at 36 to 39 weeks' gestation, to determine the glucose area under the curve (AUC glucose0-120). The association between VAT depth and newborn weight was evaluated by multiple linear regression analysis, controlling for maternal age, parity, smoking, gestational age at delivery, infant sex, pre-pregnancy BMI, weight gain in pregnancy, and fasting serum glucose at 36 to 39 weeks' gestation. The relation between VAT depth and AUC glucose0-120 was assessed by linear regression analysis, adjusting for maternal age, parity, smoking, pre-pregnancy BMI, and weight gain in pregnancy. RESULTS: A 1 cm increase in VAT depth was associated with a 206 g (95% CI 101 to 311) adjusted increase in mean birth weight. VAT depth and the other model covariates together explained more of the variance in birth weight (r(2) = 0.282; P < 0.001) than pre-pregnancy BMI with the other covariates in the same model (r(2) = 0.081; P = 0.076). All three glucose tolerance test measures were performed at 36 to 39 weeks' gestation in 51 of the 73 participants. The relationship between VAT depth and AUC glucose0-120 was not significant (P = 0.43). CONCLUSION: VAT depth in the first half of pregnancy predicts newborn weight better than BMI, but is not associated with glucose tolerance in late pregnancy.


Objectif : L'obésité maternelle constitue un solide facteur de risque en ce qui concerne le diabète sucré gestationnel et la macrosomie fœtale. Nous avons évalué, chez des adolescentes enceintes, l'association entre, d'une part, la profondeur du tissu adipeux viscéral (TAV) maternel au cours de la première moitié de la grossesse et, d'autre part, la tolérance au glucose aux derniers moments de la grossesse et le poids du nouveau-né. Méthodes : Nous avons mené une étude de cohorte prospective auprès de 73 adolescentes enceintes âgées de 10 à 19 ans qui ne présentaient pas un diabète prégrossesse. La profondeur du TAV a été mesurée par échographie à 12 - 20 semaines de gestation; par la suite, nous avons mené une épreuve d'hyperglycémie provoquée par voie orale (deux heures, 75 g) à 36 - 39 semaines de gestation, en vue de déterminer la surface sous la courbe du glucose (SSC glucose0­120). L'association entre la profondeur du TAV et le poids du nouveau-né a été évaluée au moyen d'une analyse de régression linéaire multiple, en neutralisant l'effet de l'âge maternel, de la parité, du tabagisme, de l'âge gestationnel au moment de l'accouchement, du sexe du nouveau-né, de l'IMC prégrossesse, du gain pondéral pendant la grossesse et de la glycémie à jeun à 36 - 39 semaines de gestation. La relation entre la profondeur du TAV et la SSC glucose0­120 a été évaluée au moyen d'une analyse de régression linéaire, en neutralisant l'effet de l'âge maternel, de la parité, du tabagisme, de l'IMC prégrossesse et du gain pondéral pendant la grossesse. Résultats : L'augmentation de la profondeur du TAV d'un centimètre a été associée à une hausse corrigée du poids moyen de naissance de 206 g (IC à 95 %, 101 - 311). La profondeur du TAV (prise en considération conjointement avec les autres covariables du modèle) a mieux permis d'expliquer la variance du poids de naissance (r2 = 0,282; P < 0,001) que l'IMC prégrossesse (prise en considération conjointement avec les autres covariables du même modèle) (r2 = 0,081; P = 0,076). Les trois épreuves d'hyperglycémie ont été menées à 36 - 39 semaines de gestation chez 51 des 73 participantes. La relation entre la profondeur du TAV et la SSC glucose0­120 ne s'est pas révélée être significative (P = 0,43). Conclusion : Bien que la profondeur du TAV au cours de la première moitié de la grossesse permette de mieux prédire le poids du nouveau-né que l'IMC, elle n'est pas associée à la tolérance au glucose aux derniers moments de la grossesse.


Subject(s)
Birth Weight , Body Mass Index , Fetal Weight , Glucose Tolerance Test/methods , Intra-Abdominal Fat/diagnostic imaging , Obesity , Pregnancy Complications , Adolescent , Brazil/epidemiology , Cohort Studies , Comparative Effectiveness Research , Female , Gestational Age , Humans , Infant, Newborn , Obesity/complications , Obesity/diagnosis , Obesity/epidemiology , Predictive Value of Tests , Pregnancy , Pregnancy Complications/diagnosis , Pregnancy Complications/epidemiology , Pregnancy Trimesters , Pregnant Women , Risk Factors , Statistics as Topic , Ultrasonography , Young Adult
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