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1.
Can J Surg ; 64(1): E69-E75, 2021 02 09.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33560737

ABSTRACT

Background: There has been an increase in opioid usage and opioid-related deaths. Opioids prescribed to surgical patients have similarly increased. The aim of this study was to assess opioid consumption in patients undergoing laparoscopic appendectomy (LA) and laparoscopic cholecystectomy (LC) and to determine whether a standardized prescription could affect opioid consumption without affecting patient satisfaction. Methods: Patients undergoing LA or LC were recruited prospectively during 2 time periods (April to June 2017 and November 2017 to January 2018). In the first phase, surgeons continued their usual postoperative analgesia prescribing patterns. In the second phase, a standardized prescription was implemented. Patients were contacted by telephone and a questionnaire was completed for both phases of the study. The primary outcome was the quantity of opioids prescribed and consumed. Results: In the first phase, 166 patients who underwent LC or LA were recruited. The median number of prescribed opioid tablets was 20 and the median number consumed was 2. Ninety-five percent of patients reported satisfaction with their analgesia. Based on these results, a standardized prescription for multimodal analgesia was implemented for the second phase, consisting of 10 opioid tablets. In the second phase, 129 patients who underwent LA or LC were recruited. There was a significant decrease in the median number of opioid pills filled (10) and consumed (0), with no difference in reported satisfaction with analgesia. Conclusion: Patients are prescribed an excess of opioids after LA or LC. Implementation of a standardized prescription based on a quality improvement intervention was effective at decreasing the number of opioids prescribed and consumed.


Contexte: On a observé une augmentation de la consommation d'opioïdes, ainsi qu'une hausse des décès associés à ces substances. On a aussi constaté une augmentation semblable dans la prescription d'opioïdes aux patients ayant subi une chirurgie. La présente étude visait à évaluer la consommation d'opioïdes chez les personnes ayant subi une appendicectomie par laparoscopie (AL) ou une cholécystectomie par laparoscopie (CL), de même qu'à déterminer si une ordonnance normalisée pouvait modifier la consommation d'opioïdes sans nuire à la satisfaction des patients. Méthodes: Des patients devant subir une AL ou une CL ont été recrutés de façon prospective entre avril et juin 2017 et entre novembre 2017 et janvier 2018. Durant la première phase de l'étude, les chirurgiens ont maintenu leurs habitudes de prescription d'analgésie postopératoire. Durant la deuxième phase, toutefois, ils devaient avoir recours à une ordonnance normalisée. Dans les 2 phases de l'étude, les patients ont été joints par téléphone et un questionnaire a été rempli. Le principal résultat à l'étude était la quantité d'opioïdes prescrits et consommés. Résultats: Pour la première phase de l'étude, 166 patients ont été recrutés. Les nombres médians de comprimés prescrits et consommés étaient de 20 et de 2, respectivement. De tous les patients, 95 % se sont dits satisfaits de leur analgésie. Pour la deuxième phase, une ordonnance normalisée d'analgésie multimodale, qui comptait 10 comprimés, a été mise en place, et 129 patients ont été recrutés. On a alors observé une diminution significative du nombre médian de comprimés remis (10) et consommés (0), et aucune différence quant au degré de satisfaction déclaré. Conclusion: Les patients se voient prescrire trop d'opioïdes après une AL ou une CL. La création d'une ordonnance normalisée dans le cadre d'une intervention d'amélioration de la qualité a réduit efficacement le nombre de comprimés d'opioïdes prescrits et consommés.


Subject(s)
Analgesics, Opioid/therapeutic use , Appendectomy/methods , Cholecystectomy, Laparoscopic , Drug Prescriptions/statistics & numerical data , Drug Prescriptions/standards , Drug Utilization/statistics & numerical data , Laparoscopy , Pain, Postoperative/drug therapy , Adult , Aged , Female , Humans , Male , Middle Aged , Prospective Studies
2.
Can J Surg ; 63(1): E1-E8, 2020 01 09.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-31916430

ABSTRACT

Background: Overprescribing of opioids to patients following surgery is a public health concern, as unused pills may be diverted and contribute to opioid misuse and dependence. The objectives of this study were to determine current opioid-prescribing patterns for common surgical procedures, factors that affect surgeons' prescribing behaviour and their perceived ability to manage patients with opioid use disorder. Methods: Survey participants included all consultant and trainee surgeons at the University of Toronto. The survey, which was administered electronically, included 52 multiple-choice, rank-order and open-text questions eliciting information on current prescribing patterns, prescribing of adjunct pain medications, and education and other factors related to opioid prescribing. Staff surgeons were also asked about how they manage patients with a suspected opioid issue. Results: Eighty surgical trainees and 40 staff surgeons responded to the survey (response rate 32%). Five staff surgeons (12%) felt adequately educated to prescribe pain medications (including opioids) at discharge. Staff surgeons prescribed Tylenol 3 more frequently than other opioids. Twenty (51%) of 39 staff surgeons reported that they sought further help for their patients when an opioid use disorder was suspected. Conclusion: Our results support existing studies showing a large degree of variability in postoperative opioid prescribing. Institutional guidelines have been shown to be effective in curbing excessive opioid prescribing without increasing unnecessary emergency department visits for uncontrolled pain. Thus, there is an opportunity to develop institutional guidelines to educate surgical teams in the prescribing of opioids and about services available for patients with a substance use disorder.


Contexte: La surprescription d'opioïdes aux patients après une chirurgie représente un problème de santé publique car il y a un risque que les comprimés inutilisés soient détournés et utilisés à mauvais escient, voire qu'ils causent la dépendance. Cette étude avait pour objectif d'identifier les modes actuels de prescription des opioïdes pour les chirurgies courantes, les facteurs qui influent sur les habitudes de prescription des chirurgiens et leur capacité perçue à prendre en charge les cas de mésusage des opioïdes. Méthodes: Les participants au sondage étaient tous les chirurgiens en poste et en formation à l'Université de Toronto. Ce sondage administré par voie électronique comprenait 52 questions (choix multiples, échelles ordinales et ouvertes) qui visaient à recueillir des renseignements sur les modes actuels de prescription, la prescription d'analgésiques d'appoint, l'enseignement au patient et autres éléments relatifs à la prescription des opioïdes. Les chirurgiens en poste ont aussi été interrogés sur leur gestion des cas présumés de mésusage des opioïdes. Résultats: Quatre-vingt chirurgiens en formation et 40 chirurgiens en poste ont répondu au sondage (taux de réponse, 32 %). Cinq chirurgiens en poste (12 %) se sont estimés adéquatement renseignés sur la façon de prescrire les analgésiques, (y compris les opioïdes) au moment du congé. Les chirurgiens en poste prescrivaient Tylenol 3 fois plus souvent que d'autres opioïdes. Vingt (51 %) chirurgiens en poste sur 39 ont dit consulter s'ils avaient besoin d'aide pour la prise en charge de patients soupçonnés de présenter un problème de mésusage des opioïdes. Conclusion: Nos résultats viennent étayer les conclusions d'études existantes selon lesquelles les modes de prescription des opioïdes en postopératoire varient grandement. Il a été démontré que l'adoption de lignes directrices institutionnelles permet de limiter efficacement la surprescription des opioïdes sans accroître indument le nombre de consultations aux urgences pour douleur non maîtrisée. Il y a donc là une possibilité d'adopter à plus grande échelle les lignes directrices institutionnelles pour sensibiliser les équipes chirurgicales à l'utilisation judicieuse des opioïdes et à l'existence des services à l'intention des patients qui présentent un problème de mésusage.


Subject(s)
Analgesics, Opioid/therapeutic use , Hospitals, University/statistics & numerical data , Medical Staff, Hospital/statistics & numerical data , Opioid-Related Disorders/therapy , Pain, Postoperative/drug therapy , Practice Patterns, Physicians'/statistics & numerical data , Surgeons/statistics & numerical data , Academic Medical Centers , Health Care Surveys , Humans , Internship and Residency/statistics & numerical data , Ontario , Surgeons/education
3.
Can J Pain ; 4(1): 67-85, 2020 Mar 08.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33987487

ABSTRACT

This Consensus Statement provides recommendations on the prescription of pain medication at discharge from hospital for opioid-naïve adult patients who undergo elective surgery. It encourages health care providers (surgeons, anesthesiologists, nurses/nurse practitioners, pain teams, pharmacists, allied health professionals, and trainees) to (1) use nonopioid therapies and reduce the prescription of opioids so that fewer opioid pills are available for diversion and (2) educate patients and their families/caregivers about pain management options after surgery to optimize quality of care for postoperative pain. These recommendations apply to opioid-naïve adult patients who undergo elective surgery. This consensus statement is intended for use by health care providers involved in the management and care of surgical patients. A modified Delphi process was used to reach consensus on the recommendations. First, the authors conducted a scoping review of the literature to determine current best practices and existing guidelines. From the available literature and expertise of the authors, a draft list of recommendations was created. Second, the authors asked key stakeholders to review and provide feedback on several drafts of the document and attend an in-person consensus meeting. The modified Delphi stakeholder group included surgeons, anesthesiologists, residents, fellows, nurses, pharmacists, and patients. After multiple iterations, the document was deemed complete. The recommendations are not graded because they are mostly based on consensus rather than evidence.


Cette déclaration de consensus fait des recommandations pour la prescription d'analgésiques à la sortie de l'hôpital pour les patients adultes n'ayant jamais pris d'opiacés et qui subissent une intervention chirurgicale non urgente. Elle encourage les prestataires de soins de santé (chirurgiens, anesthésiologistes, infirmières et infirmiers, infirmières et infirmiers praticiens, équipes antidouleur, pharmaciens, professionnels de la santé et stagiaires) à (1) utiliser des traitements non opiacés et à réduire la prescription d'opiacés afin de réduire le nombre de pilules opiacées pouvant être détournées; et (2) à éduquer les patients, ainsi que leurs familles et soignants, sur les options de prise en charge de la douleur après l'opération afin d'optimiser la qualité des soins pour la douleur postopératoire.Ces recommandations s'appliquent aux patients adultes n'ayant jamais pris d'opioïdes et qui subissent une intervention chirurgicale non urgente. Cette déclaration de consensus est destinée à être utilisée par les prestataires de soins de santé impliqués dans la prise en charge des patients opérés et les soins qui leur sont apportés.Un processus Delphi modifié a été utilisé pour parvenir à un consensus sur les recommandations. Tout d'abord, les auteurs ont procédé à une de la portée de la littérature afin de déterminer les pratiques exemplaires actuelles et les lignes directrices existantes. À partir de la littérature disponible et de l'expertise des auteurs, une liste provisoire de recommandations a été créée. Ensuite, les auteurs ont demandé aux principales parties prenantes d'examiner et de commenter plusieurs versions préliminaires du document et d'assister à une réunion de consensus en personne. Le groupe des parties prenantes du processus Delphi modifié comprenait des chirurgiens, des anesthésiologistes, des résidents, des fellows, des infirmières et infirmiers, des pharmaciens et des patients. Après de multiples itérations, le document a été jugé complet. Les recommandations n'ont pas été notées car elles étaient fondées sur un consensus plutôt que sur des données probantes.

4.
Can J Anaesth ; 66(2): 201-217, 2019 02.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-30484167

ABSTRACT

BACKGROUND: An increasing number of patients with opioid use disorder (OUD) are treated with opioid agonist-antagonists such as buprenorphine/naloxone. Perioperative management of patients on buprenorphine/naloxone is inconsistent and remains a controversial topic with mismanagement posing a significant risk to the long-term health of these patients. METHODS: We performed a systematic literature search involving Medline, Medline In-Process, Embase, Cochrane Central, Cochrane Database of Systematic Reviews, PsycINFO, Web of Science (Clarivate), Scopus (Elsevier), CINAHL (EbscoHosst), and PubMed (NLM). RESULTS: Eighteen studies were included in the final sample, including one controlled study and four observational studies . Neither the controlled study nor the observational studies assessed addiction treatment retention, harm reduction, or long-term mortality rates as primary or secondary outcomes. Of the observational studies, authors showed equivalent peri- and postoperative pain control among buprenorphine continued patients. All but one authors described adequate analgesia among the case reports in which buprenorphine ≤ 16 mg sublingually (SL) daily was continued during the perioperative period. Long-term harm reduction was not reported with only three case reports including any long-term abstinence or relapse rates. CONCLUSIONS: The current understanding of the risks and benefits of continuing or stopping buprenorphine perioperatively is limited by a lack of high-quality evidence. Observational studies and case reports indicate no evidence against continuing buprenorphine perioperatively, especially when the dose is < 16 mg SL daily. In patients with significant potential for relapse, such as those with a recent history of OUD, the discontinuation of buprenorphine should have a strong rationale supported by patient and surgical preferences. Future studies require standardized reporting of median doses, details on the route of delivery, dosing schedules and any dosing changes, and rates of addiction relapse, including long-term morbidity and mortality where possible.


RéSUMé: CONTEXTE: Un nombre croissant de patients présentant un trouble d'utilisation des opioïdes (TUO) sont traités avec des agonistes/antagonistes des opioïdes, tels que la buprénorphine et la naloxone. La gestion périopératoire des patients sous buprénorphine/naloxone n'est pas constante et reste un sujet de controverses; de plus une mauvaise gestion pose un risque significatif pour la santé à long terme de ces patients. MéTHODES: Nous avons effectué une recherche systématique de la littérature dans les bases de données suivantes : Medline, Medline In-Process, Embase, Cochrane Central, Cochrane Database of Systematic Reviews, PsycINFO, Web of Science (Clarivate), Scopus (Elsevier), CINAHL (EbscoHosst) et PubMed (NLM). RéSULTATS: Dix-huit études ont été incluses dans l'échantillon final, y compris une étude contrôlée et quatre études observationnelles. Ni l'étude contrôlée ni les études observationnelles n'ont évalué la continuation du traitement de l'addiction, la réduction des préjudices infligés ou les taux de mortalité à long terme parmi les critères d'évaluation principaux ou secondaires. Dans les études observationnelles, les auteurs ont montré qu'il y avait un contrôle équivalent de la douleur en péri- et postopératoire chez les patients continuant à recevoir de la buprénorphine. Tous les auteurs sauf un ont décrit une analgésie satisfaisante dans les rapports de cas où la buprénorphine sublinguale avec une dose ≤ 16 mg par jour était maintenue pendant la période périopératoire. La réduction des préjudices à long terme n'était pas décrite; seulement trois rapports de cas indiquaient le taux d'abstinence à long terme ou les taux de rechute. CONCLUSIONS: Les connaissances actuelles des risques et avantages de la poursuite ou de l'arrêt de la buprénorphine en période périopératoire sont limitées par le manque de données probantes de grande qualité. Les études observationnelles et les rapports de cas ne fournissent pas de données probantes à l'encontre de la poursuite de la buprénorphine dans la période périopératoire, en particulier quand la dose journalière par voie sublinguale est < 16 mg. Chez les patients présentant un risque significatif de rechute, comme ceux ayant des antécédents récents de TUO, l'arrêt de la buprénorphine devrait être solidement justifié avec le soutien des préférences des patients et des équipes chirurgicales. Les futures études nécessitent une normalisation du rapport des doses médianes, des détails sur les voies d'administration, de la posologie et de sa modification et des taux de rechute, en incluant aussi, chaque fois que possible, les taux de morbidité et mortalité à long terme.


Subject(s)
Analgesics, Opioid/adverse effects , Analgesics, Opioid/therapeutic use , Buprenorphine/adverse effects , Buprenorphine/therapeutic use , Perioperative Care/methods , Buprenorphine, Naloxone Drug Combination , Humans , Substance Withdrawal Syndrome/epidemiology , Substance Withdrawal Syndrome/etiology , Treatment Outcome
5.
Ann Surg ; 267(6): 1056-1062, 2018 06.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-29215370

ABSTRACT

BACKGROUND: Over the past 2 decades, there has been an increase in opioid use and subsequently, opioid deaths. The amount of opioid prescribed to surgical patients has also increased. The aim of this systematic review was to determine postdischarge opioid consumption in surgical patients compared with the amount of opioid prescribed. Secondary outcomes included adequacy of pain control and disposal methods for unused opioids. OBJECTIVE: The objective of this study is to characterize postdischarge opioid consumption and prescription patterns in surgical patients. METHODS: A systematic search in MEDLINE and EMBASE identified 11 patient survey studies reporting on postdischarge opioid use in 3525 surgical patients. RESULTS: The studies reported on a variety of surgical operations, including abdominal surgery, orthopedic procedures, tooth extraction, and dermatologic procedures. The majority of patients consumed 15 pills or less postdischarge. The proportion of used opioids ranged from 5.6% to 59.1%, with an outlier of 90.1% in pediatric spinal fusion patients. Measured pain scores of those taking opioids ranged between 2 and 5 out of 10 and the majority of patients were satisfied with their pain control. Seventy percent of patients kept the excess opioids. Where planned disposal methods were reported, between 4% and 59% of patients planned proper disposal. CONCLUSION: This study suggests that surgical patients are using substantially less opioid than prescribed. There is a lack of awareness regarding proper disposal of leftover medication, leaving excess opioid that may be used inappropriately by the patient or others. Education for providers and clinical practice guidelines that provide guidance on prescription of outpatient of opioids are required.


Subject(s)
Analgesics, Opioid/therapeutic use , Drug Prescriptions/statistics & numerical data , Pain, Postoperative/drug therapy , Patient Discharge , Practice Patterns, Physicians' , Drug Storage/methods , Humans , Pain Management
6.
Pain ; 152(8): 1734-1739, 2011 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-21402445

ABSTRACT

To estimate frequency of movement-evoked pain (MEP) measurement in human postsurgical investigations, we reviewed thoracotomy, knee arthroplasty, and hysterectomy clinical trials and meta-analyses. Only 39% of trials measured MEP and 52% failed to identify pain outcome as pain at rest (PAR) or MEP. Temporal trending did not suggest that MEP measurement is becoming more frequent. Trials measuring both MEP and PAR suggest that MEP is 95-226% more intense than PAR in the first 3 postoperative days. Among trials measuring MEP, 38% did not specify the physical maneuver used to assess MEP. Five of 7 meta-analyses reviewed (71%) did not distinguish between PAR and MEP, and none of the 7 meta-analyses declared the 20-59% of reviewed trials that had failed to identify their pain outcome as PAR or MEP. These results suggest an unchanging neglect of MEP in postsurgical pain trials and frequent failure to identify pain outcome as PAR or MEP. This is an important problem because MEP is usually more severe than PAR; MEP exerts a more direct adverse impact on postsurgical functional recovery and several current and novel pain treatments differentially affect MEP vs PAR. Failure to distinguish between PAR and MEP and standardize their measurement threatens trial precision and ability to identify interventions with the most clinically relevant effects on pain. We therefore recommend developing consistent terminology regarding PAR and MEP, considering inclusion of MEP as a pain outcome in every postsurgical trial, and standardizing measurement of PAR and MEP on a procedure-specific basis.


Subject(s)
Movement , Pain Measurement , Pain/diagnosis , Pain/etiology , Rest/psychology , Clinical Trials as Topic , Humans , Pain Measurement/methods , Pain Measurement/standards , Postoperative Complications/physiopathology
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