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Can J Infect Dis Med Microbiol ; 25(3): e76-82, 2014 May.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-25285117

ABSTRACT

BACKGROUND: USA300 community-associated (CA) methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA) strains causing necrotizing pneumonia have been reported in association with antecedent viral upper respiratory tract infections (URI). METHODS: A case series of necrotizing pneumonia presenting as a primary or coprimary infection, secondary to CA-MRSA without evidence of antecedent viral URI, is presented. Cases were identified through the infectious diseases consultation service records. Clinical and radiographic data were collected by chart review and electronic records. MRSA strains were isolated from sputum, bronchoalveolar lavage, pleural fluid or blood cultures and confirmed using standard laboratory procedures. MRSA strains were characterized by susceptibility testing, pulsed-field gel electrophoresis, spa typing, agr typing and multilocus sequence typing. Testing for respiratory viruses was performed by appropriate serological testing of banked sera, or nucleic acid testing of nasopharyngeal or bronchoalveloar lavage specimens. RESULTS: Ten patients who presented or copresented with CA necrotizing pneumonia secondary to CA-MRSA from April 2004 to October 2011 were identified. The median length of stay was 22.5 days. Mortality was 20.0%. Classical risk factors for CA-MRSA were identified in seven of 10 (70.0%) cases. Chest tube placement occurred in seven of 10 patients with empyema. None of the patients had historical evidence of antecedent URI. In eight of 10 patients, serological or nucleic acid testing testing revealed no evidence of acute viral coinfection. Eight strains were CMRSA-10 (USA300). The remaining two strains were a USA300 genetically related strain and a USA1100 strain. CONCLUSION: Pneumonia secondary to CA-MRSA can occur in the absence of an antecedent URI. Infections due to CA-MRSA are associated with significant morbidity and mortality. Clinicians need to have an awareness of this clinical entity, particularly in patients who are in risk groups that predispose to exposure to this bacterium.


HISTORIQUE: Des souches USA300 de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) d'origine non nosocomiale (ONN) responsables d'une pneumonie nécrosante ont été signalées après des infections des voies respiratoires supérieures. MÉTHODOLOGIE: Les chercheurs présentent une série de cas de pneumonie nécrosante se manifestant sous forme d'infection ou de co-infection primaire découlant du SARM-ONN, sans manifestation d'IVRS virale antérieure. Ils ont dépisté les cas en dépouillant les dossiers des services de consultation en infectiologie. Ils ont colligé les données cliniques et radiographiques en analysant les dossiers papier et électroniques. Les souches de SARM avaient été isolées dans les expectorations, le lavage broncho-alvéolaire, le liquide pleural ou les hémo-cultures et confirmées au moyen d'analyses de laboratoire standards. Les souches de SARM étaient caractérisées par les tests de susceptibilité, l'électrophorèse sur gel en champ pulsé, le typage du gène spa ou du gène agr ou le typage génomique multilocus. Les tests de dépistage des virus respiratoires ont été faits au moyen du test sérologique pertinent du sérum en réserve ou du test d'amplification des acides nucléiques des échantillons de lavage nasopharyngé ou broncho-alvéolaire. RÉSULTATS: Entre avril 2004 et octobre 2011, les chercheurs ont dépisté dix patients qui présentaient, seule ou conjointement, une pneumonie nécrosante d'ONN secondaire à une infection par le SARM-ONN. Ils ont été hospitalisés pendant une période médiane de 22,5 jours. Le taux de mortalité s'élevait à 20,0 %. Les chercheurs ont constaté des facteurs de risque classiques de SARM-ONN dans sept des dix cas (70,0 %). Sept des dix patients faisant de l'empyème avaient eu un drain thoracique. Aucun des patients n'avait d'antécédents démontrés d'IVRS. Chez huit des dix patients, le test sérologique et le test d'amplification des acides nucléiques n'ont révélé aucune manifestation de co-infection virale aiguë. Huit souches étaient des SARMC-10 (USA300). Les deux autres étaient une souche liée génétiquement au USA300 et une souche USA1100. CONCLUSION: La pneumonie secondaire au SARM-ONN peut se manifester en l'absence d'IVRS antérieure. Les infections causées par le SARM-ONN s'associent à une morbidité et une mortalité importantes. Les cliniciens doivent connaître cette entité clinique, notamment chez les patients qui font partie de groupes vulnérables qui les prédisposent à être exposés à cette bactérie.

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