RESUMO
BACKGROUND: The COVID-19 pandemic drastically reduced opportunities for surgical skill sharing between high-income and low to middle-income countries. Augmented reality (AR) technology allows mentors in one country to virtually train a mentee in another country during surgical cases without international travel. We hypothesize that AR technology is an effective live surgical training and mentorship modality. METHODS: Three senior urologic surgeons in the US and UK worked with four urologic surgeon trainees across the continent of Africa using AR systems. Trainers and trainees individually completed post-operative questionnaires evaluating their experience. RESULTS: Trainees rated the quality of virtual training as equivalent to in-person training in 83% of cases (N = 5 of 6 responses). Trainers reported the technology's visual quality as "acceptable" in 67% of cases (N = 12 of 18 responses). The audiovisual capabilities of the technology had a "high" impact in the majority of the cases. CONCLUSION: AR technology can effectively facilitate surgical training when in-person training is limited or unavailable.
Assuntos
Realidade Aumentada , COVID-19 , Humanos , Pandemias , COVID-19/epidemiologia , Mentores , Procedimentos Cirúrgicos UrológicosRESUMO
Contexte et objectifs. La sonde double J est très utilisée de nos jours dans le drainage des urines du haut appareil. L'objectif de la présente étude était de décrire le devenir de la pose de la sonde double J. Méthodes. Il s'est agi d'une étude documentaire d'une série des cas ayant bénéficié d'un drainage urinaire du haut appareil par une sonde double J au Centre National Hospitalo-Universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou, Bénin ; entre les 1er avril 2018 et 31 mars 2021. Résultats. Les dossiers de cent trois patients (âge moyen 48,4 ans, sexe masculin, 58,3 %) ont été colligés. La pose de la sonde double J représentait 84,74 %. La pose de la sonde double J était unilatérale dans 76,7 % des cas avec une prédominance à droite (56,0 %). L'abord par voie endoscopique pour la pose de la sonde double J était la plus pratiquée (89,3 %). La pose de la sonde double J a été effectuée sans guidage fluoroscopique (à l'aveugle) dans 73,7 % et la durée moyenne du port de cette sonde était 118,37 jours. La fonction rénale était perturbée avec un débit de filtration glomérulaire < 60 ml/minute/1,75 m2 chez 33,0 % des patients. Les étiologies à la base d'une obstruction étaient dominées par la pathologie lithiasique (63,1 %). Le taux de réussite de la sonde double J était de 77,6 %. Les échecs de la sonde double J étaient dus aux pathologies tumorales dans 15,53 %. La durée moyenne d'hospitalisation après la pose de la sonde double J par voie endoscopique était de 7,72 jours. Conclusion. Le syndrome obstructif surtout d'origine lithiasique reste la plus importante indication de l'usage de la sonde double J. Sa réalisation sans guidage fluoroscopique (à l'aveugle) est possible dans le milieu ne disposant pas d'amplificateur de brillance.
Assuntos
Humanos , Urologia , Andrologia , Endoscopia , Enfermagem em Nefrologia , Anti-Infecciosos UrináriosRESUMO
We report a case of Conn's adenoma in a 35-year-old female successfully managed in a poor hospital technology environment.
RESUMO
Bladder duplication is an unusual and congenital abnormality that is usually associated with other abnormalities. We reported the first case in a 16-year-old child who has complete bladder duplication by a tranversal septum. No duplication of the urethra was noted. The pelvic ectopic right kidney was associated with this duplication. The treatment was a right nephroureterectomy with upper bladder bag resection.
