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1.
Public Health Action ; 12(4): 191-194, 2022 Dec 21.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36561907

RESUMO

COVID-19, the novel coronavirus, has posed a major threat to low- and middle-income countries (LMICs) due to inadequate health infrastructure and human resources. Ethiopia, a low-income country with the second largest population in Africa, has coordinated a strategic response, leveraging existing infrastructure and health systems and mobilizing public health professionals and specialist expert physicians for a multifaceted, unified government approach and adaptive response. Resource limitations, particularly in critical care, have still posed challenges, but the public health and clinical interventions thus far have prevented the catastrophic toll that many predicted. As the pandemic continues, Ethiopia expects to use a triple care model integrated at all levels, consisting of COVID-19 care, isolation care for suspected cases, and essential health services, and urges intensified non-pharmaceutical interventions alongside equitable global vaccine distribution as the ultimate answers to pandemic control. This paper draws on existing data, national planning and guidelines, and expertise from health leadership to describe this response in hopes of providing an example of how future large-scale health challenges might be faced in LMICs, using Ethiopia's successes and challenges in facing the pandemic.


COVID-19, le nouveau coronavirus, a représenté une menace majeure pour les pays à revenu faible et intermédiaire (LMIC) en raison de l'insuffisance des infrastructures de santé et des ressources humaines. L'Éthiopie, un pays à faible revenu dont la population est la deuxième plus importante d'Afrique, a coordonné une réponse stratégique, en tirant parti des infrastructures et des systèmes de santé existants et en mobilisant des professionnels de la santé publique et des médecins experts spécialisés pour une approche gouvernementale unifiée à multiples facettes et une réponse adaptative. Les ressources limitées, notamment en matière de soins intensifs, ont encore posé des problèmes, mais les interventions cliniques et de santé publique menées jusqu'à présent ont permis d'éviter le bilan catastrophique que beaucoup prédisaient. Alors que la pandémie se poursuit, l'Éthiopie prévoit d'utiliser un modèle de soins triple intégré à tous les niveaux, composé de soins COVID-19, de soins d'isolement pour les cas suspects et de services de santé essentiels, et préconise l'intensification des interventions non pharmaceutiques parallèlement à une distribution équitable des vaccins à l'échelle mondiale comme réponses ultimes au contrôle de la pandémie. Cet article s'appuie sur les données existantes, la planification et les directives nationales, et l'expertise des responsables de la santé pour décrire cette réponse dans l'espoir de fournir un exemple de la manière dont les futurs défis sanitaires à grande échelle pourraient être relevés dans les LMIC, en utilisant les succès et les défis de l'Éthiopie face à la pandémie.

2.
Rev Sci Tech ; 39(3): 1017-1021, 2020 Jan.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-35275121

RESUMO

Peste des petits ruminants (PPR) is endemic to Sudan. It is considered as a priority disease in the list of transboundary animal diseases (TADs). The aim of this study was to assess the reliability of the detection of PPR antibodies by a competitive enzyme-linked immunosorbent assay (cELISA) in naturally infected or vaccinated sheep. Sera were collected from 3,186 sheep from flocks located in six states of Sudan and additionally 100 sheep were vaccinated with a PPR homologous vaccine (produced locally) in a quarantine station. The percentages of PPR antibody-positive sera from the field varied between 72% and 100%, according to state. All sheep vaccinated in the quarantine station were PPR-seropositive. This study shows, first, that the percentages of PPR-seropositive animals were all very high, whether naturally infected or vaccinated. It also shows the reliability of the cELISA test used in this study.


La peste des petits ruminants (PPR) est présente au Soudan à l'état endémique. Elle est considérée comme une maladie prioritaire parmi celles de la liste des maladies animales transfrontalières (TAD). Les auteurs présentent une étude visant à évaluer la fiabilité d'une épreuve immuno-enzymatique de compétition (cELISA) pour la détection d'anticorps dirigés contre le virus de la PPR chez des ovins infectés naturellement ou vaccinés. Des échantillons sériques ont été prélevés sur 3 186 ovins provenant de troupeaux de six provinces du Soudan ; en outre, 100 ovins ont été vaccinés contre le virus de la PPR dans une station de quarantaine en utilisant un vaccin homologue (produit localement). Le pourcentage de sérums de terrain dans lesquels des anticorps dirigés contre le virus de la PPR ont été détectés variait de 72 % à 100 % suivant les provinces. Tous les ovins vaccinés dans la station de quarantaine ont donné un résultat positif au test sérologique. Cette étude a révélé un pourcentage très élevé d'animaux possédant des anticorps contre la PPR, tant chez les animaux infectés naturellement que chez les animaux vaccinés. Elle a également démontré la fiabilité de l'épreuve cELISA utilisée dans l'étude.


La peste de los pequeños rumiantes (PPR), endémica en el Sudán, tiene consideración de enfermedad prioritaria en la lista de enfermedades animales transfronterizas. Los autores describen un estudio encaminado a evaluar la fiabilidad del ensayo enzimoinmunoanálisis de competición (ELISAc) como método de detección de anticuerpos contra el virus de la PPR en ovejas vacunadas o infectadas por vía natural. En primer lugar, se obtuvieron muestras de suero de 3.186 ejemplares de rebaños ovinos situados en seis estados sudaneses y se administró a otras 100 ovejas una vacuna anti-PPR homóloga (de producción local) en un centro de cuarentena. Después se determinó el porcentaje de sueros positivos (con anticuerpos) de entre las muestras obtenidas sobre el terreno, que oscilaba entre un 72% y un 100%, según el estado. Todas las ovejas vacunadas en el centro de cuarentena fueron seropositivas. El estudio mostró, en primer lugar, que los porcentajes de animales seropositivos eran siempre muy altos, ya se tratara de ovejas vacunadas o de animales infectados por vía natural. Asimismo, puso de manifiesto la fiabilidad de la técnica de ELISAc empleada en el estudio.

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