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1.
Can J Neurol Sci ; 46(4): 389-393, 2019 07.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-31111800

RESUMO

BACKGROUND: Advances in multiple sclerosis (MS) disease modifying therapy (DMT) have increased laboratory monitoring requirements. Our goal was to survey existing practices and perceptions of risk in laboratory monitoring throughout Canada and assess whether opportunities to improve patient care and safety exist. METHODS: A web-based survey assessing prescriber demographics, current infrastructure, and concerns for lab monitoring was sent to the Canadian Network of MS Clinics (CNMSC) listserv, inviting MS clinicians across the country to participate. RESULTS: Respondents included 32/65 CNMSC-affiliated neurologists (49%), 6 registered nurses (RN), 2 nurse practitioners (NP), and 2 non-neurologist physicians from 8/10 provinces. For some questions, analysis was limited to 34 DMT-prescribing clinicians only. Despite broad implementation of electronic medical records (25/34, 74%), many prescribers (15/34, 44%) still receive laboratory results in paper form. In terms of lab monitoring infrastructure, we noted regional variability in the employment of nursing to monitor patient compliance with required laboratory monitoring. There is also a gap in laboratory surveillance, as less than 5% of respondents reported regularly reviewing results on weekends. Providers' length of practice and volume of MS patients were not associated with different perception of DMT laboratory monitoring risk. CONCLUSIONS: This nation-wide survey showed variability in infrastructure used in laboratory monitoring and regional variation in nursing involvement. Providers' level of concern for laboratory monitoring for DMTs did not vary by years of experience or volume of MS patients followed, suggesting that improved systems, rather than education, could ameliorate perceptions of risk.


Les pratiques de monitorage en laboratoire parmi les professionnels cliniciens canadiens traitant la sclérose en plaques. Contexte: Dans le cas de la sclérose en plaques (SP), les avancées offertes par les médicaments modificateurs de l'évolution de cette maladie ont augmenté les exigences de monitorage des pratiques en laboratoire. Dans cet article, notre objectif a été d'examiner ces pratiques ainsi que les perceptions du risque entourant leur monitorage partout au Canada. Nous avons aussi voulu évaluer dans quelle mesure des possibilités d'améliorer les soins offerts aux patients et leur sécurité existent. Méthodes: Nous avons invité des professionnels cliniciens spécialisés dans le domaine de la SP et issus de tout le pays à participer à un sondage en ligne cherchant à déterminer leur profil et à évaluer l'état actuel des infrastructures et leurs préoccupations en ce qui regarde le monitorage de leur travail effectué en laboratoire. Pour ce faire, nous avons fait appel à la liste de diffusion du Réseau canadien des cliniques de SP. Résultats: Au total, 65 professionnels cliniciens ont répondu à notre sondage. De ce nombre, 32, soit 49 %, étaient des neurologues affiliés au réseau cité précédemment ; 6 étaient des infirmières autorisées ; 2 étaient des infirmières praticiennes ; et 2 des médecins non spécialisés en neurologie. Ces répondants étaient issus de 8 provinces canadiennes sur 10. Dans le cas de certaines questions, nous avons limité notre analyse à seulement 34 professionnels cliniciens ayant prescrit des médicaments modificateurs de l'évolution de la SP. En dépit d'une vaste implantation des dossiers médicaux électroniques (25 cliniciens sur 34, soit 74 %), nombre d'entre eux (15 sur 34, soit 44 %) continuent à recevoir des résultats de laboratoire en format papier. En ce qui regarde les infrastructures de monitorage en laboratoire, nous avons aussi noté une grande variété régionale dans l'utilisation de personnel infirmier pour veiller à ce que les patients suivent leur traitement. Il existe de surcroît des lacunes en matière de contrôle en laboratoire, moins de 5 % des répondants ayant affirmé réviser de façon régulière les résultats de leurs patients au cours des fins de semaine. Les années d'expérience de ces professionnels cliniciens, de même que le nombre de patients atteints de SP qu'ils traitent, n'ont pas été associés à des perceptions du risque différentes en ce qui regarde le monitorage en laboratoire des médicaments modificateurs de l'évolution de la SP. Conclusions: Ce sondage mené à l'échelle pancanadienne a montré une variabilité dans les infrastructures de monitorage utilisées en laboratoire ainsi que des variations régionales par rapport à l'implication du personnel infirmier. Le niveau de préoccupation des professionnels cliniciens quant au monitorage en laboratoire des médicaments modificateurs de l'évolution de la SP n'a pas varié en fonction de leurs années d'expérience ou du nombre de patients traités, ce qui suggère que des systèmes de fonctionnement améliorés, plutôt que l'enseignement, pourraient améliorer les perceptions du risque.


Assuntos
Monitoramento de Medicamentos , Conhecimentos, Atitudes e Prática em Saúde , Fatores Imunológicos/uso terapêutico , Esclerose Múltipla/tratamento farmacológico , Padrões de Prática Médica , Canadá , Registros Eletrônicos de Saúde , Humanos , Fatores Imunológicos/sangue , Inquéritos e Questionários
2.
Front Neurol ; 10: 253, 2019.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-30967831

RESUMO

Multiple sclerosis (MS) is a chronic autoimmune neurological disease that typically affects young adults, causing irreversible physical disability and cognitive impairment. Alemtuzumab, administered intravenously as 2 initial courses of 12 mg/day (5 consecutive days at baseline, and 3 consecutive days 12 months later), resulted in significantly greater improvements in clinical and MRI outcomes vs. subcutaneous interferon beta-1a over 2 years in patients with active relapsing-remitting MS (RRMS) who were either treatment-naive (CARE-MS I; NCT00530348) or had an inadequate response to prior therapy (CARE-MS II; NCT00548405). Efficacy with alemtuzumab was maintained over 7 years in subsequent extension studies (NCT00930553; NCT02255656), in the absence of continuous treatment and with a consistent safety profile. There is an increased incidence of autoimmune events in patients treated with alemtuzumab (mainly thyroid events, but also immune thrombocytopenia and nephropathy), which imparts a need for mandatory safety monitoring for 4 years following the last treatment. The risk management strategy for alemtuzumab-treated patients includes laboratory monitoring and a comprehensive patient education and support program that enables early detection and effective management of autoimmune events, yielding optimal outcomes for MS patients. Here we provide an overview of tools and techniques that have been implemented in real-world clinical settings to reduce the burden of monitoring for both patients and healthcare providers, including customized educational materials, the use of social media, and interactive online databases for managing healthcare data. Many practices are also enhancing patient outreach efforts through coordination with specialized nursing services and ancillary caregivers. The best practice recommendations for safety monitoring described in this article, based on experiences in real-world clinical settings, may enable early detection and management of autoimmune events, and help with implementation of monitoring requirements while maximizing the benefits of alemtuzumab treatment for MS patients.

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