RESUMO
It seems clear to many analysts that there are several existential and many 'normalized' threats to wellbeing of individuals, societies and environments-such as disruption from climate change, diseases from manufactured foods and species losses linked to habitat destruction-that have been associated with fields of science, mathematics and technology (and, likely, engineering). Culpability for such threats, while perhaps engaging much of humanity, seems most likely attributable to pro-capitalist individuals (e.g., financiers) and groups (e.g., corporations and transnational trade organizations)-which appear to have relatively successfully influenced most living and nonliving entities to form assemblages (dispositifs) that serve their self-interested ideologies. Given harms associated with such assemblages, it seems clear to many analysts that they need to be severely disrupted or, perhaps, replaced with alliances of entities that are based on ideological perspectives that may contribute to comprehensive wellbeing. Although pro-capitalist assemblages have been extremely resilient, it seems that current sociopolitical instability and, moreover, considerable disruption from the CoViD-19 pandemic may provide unprecedented opportunities for dramatic changes. In this article, after consideration of characteristics and extents of harms linked to fields of science, mathematics and technology/engineering, possibilities are described and critically defended for uses of a particular curriculum and pedagogical framework for helping students to imagine and, perhaps, realize new assemblages of entities that are held together by ideologies that they consider appropriate.
Il semble clair pour de nombreux analystes qu'il existe plusieurs menaces existentielles et de nombreuses menaces « normalisées ¼ au bien-être des individus, des sociétés et des environnements, telles que les perturbations dues au changement climatique, les maladies provenant des aliments manufacturés et la perte d'espèces liée à la destruction de l'habitat, qui ont été associées à des domaines des sciences, des mathématiques et de la technologie (et, probablement, de l'ingénierie). La culpabilité de telles menaces, même si elle engage peut-être une grande partie de l'humanité, semble très probablement attribuable aux individus procapitalistes (par exemple, les financiers) et aux groupes (par exemple, les sociétés et les organisations commerciales transnationales) - qui semblent avoir influencé avec un succès relatif la plupart des entités vivantes, non vivantes et symboliques pour former des assemblages (dispositifs) au service de leurs idéologies intéressées. Compte tenu des préjudices associés à de tels assemblages, il semble clair pour de nombreux analystes qu'ils doivent être gravement perturbés ou, peut-être, remplacés par des alliances d'entités fondées sur des perspectives idéologiques susceptibles de contribuer au bien-être global. Bien que les assemblages pro-capitalistes aient été extrêmement résilients, il semble que l'instabilité sociopolitique actuelle, à laquelle s'ajoutent les perturbations considérables dues à la pandémie de COVID-19, peut offrir des occasions de changements profonds sans précédent. Dans cet article, après avoir examiné les caractéristiques et l'étendue des préjudices liés aux domaines des sciences, des mathématiques et de la technologie / ingénierie, les possibilités sont décrites et défendues de manière critique pour l'utilisation d'un programme et d'un cadre pédagogique particuliers pour aider les élèves à imaginer et, peut-être, à réaliser de nouveaux assemblages d'entités maintenues ensemble par des idéologies qu'ils jugent appropriées.
