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1.
Rev Sci Tech ; 39(2): 435-443, 2020 Aug.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-33046932

RESUMO

Complex emergencies, also known as major humanitarian emergencies, differ from emergencies related to natural disasters or major disease outbreaks, in that they are essentially political in nature and will, in most cases, erode the cultural, civil, political and economic stability of societies. They can be exacerbated by natural disasters and eventually require external interventions. National Veterinary Services are usually weakened or partially or totally disrupted. Interventions to support livestock-dependent communities should build on local capacity. Multisector, integrated disaster management plans should be in place and should include not only preparedness and response, but also mitigation, prevention and recovery strategies. National Veterinary Services and their partners should work in close collaboration and are encouraged to look beyond animal-health-related interventions, also addressing access to feed and water, and keeping marketing chains for livestock open. This paper also touches on the specific needs of displaced people, host communities, and pastoralists, as well as addressing disease eradication programmes in the context of complex emergencies.


Les situations d'urgence complexes (également appelées «urgences humanitaires majeures ¼) se distinguent des situations d'urgence dues à des catastrophes naturelles ou à des foyers majeurs de maladie par leur nature essentiellement politique et par le fait qu'elles nuisent généralement à la stabilité culturelle, civile, politique et économique des sociétés affectées. Elles sont parfois exacerbées par des catastrophes naturelles et peuvent nécessiter à terme une intervention extérieure. Les Services vétérinaires nationaux sont généralement affaiblis, voire partiellement ou totalement suspendus. Les interventions visant à soutenir les communautés qui vivent de l'élevage doivent s'appuyer sur les capacités locales. Il convient d'avoir établi des plans de gestion des catastrophes multisectoriels et intégrés comportant des stratégies non seulement de préparation et d'intervention mais aussi d'atténuation, de prévention et de rétablissement. Il est recommandé aux Services vétérinaires nationaux et à leurs partenaires de travailler en étroite collaboration et d'avoir une vision allant au-delà des interventions strictement liées à la santé animale afin de traiter également le problème de l'accès des animaux aux aliments et à l'eau et de faire en sorte que les filières de commercialisation du bétail demeurent ouvertes. Outre la problématique des programmes d'éradication des maladies dans le contexte des situations d'urgence complexes, les auteurs abordent également les besoins spécifiques des personnes déplacées, des communautés d'accueil et des populations pastorales.


Las emergencias complejas, también denominadas «grandes emergencias humanitarias¼, difieren de las emergencias causadas por desastres naturales o grandes brotes infecciosos en que son de carácter eminentemente político y en que casi siempre acaban erosionando la estabilidad cultural, civil, política y económica de la sociedad afectada. A veces se ven agravadas por desastres naturales y a la postre requieren intervenciones externas. Los Servicios Veterinarios nacionales suelen verse fragilizados o parcial o completamente desarticulados. Toda intervención de apoyo a poblaciones dependientes del ganado debería partir de los medios de acción existentes a escala local. Es preciso tener instituidos planes integrados y multisectoriales de gestión de desastres, que incluyan no solo mecanismos de preparación y respuesta, sino también dispositivos de mitigación, prevención y recuperación. Los Servicios Veterinarios nacionales y sus asociados deben trabajar en estrecha colaboración. A todos ellos se los alienta a que, lejos de limitarse a las intervenciones de salud animal, se ocupen también del acceso a los piensos y el agua y de mantener abiertos los circuitos de comercialización de ganado. Los autores abordan también aquí las necesidades específicas de las personas desplazadas, las comunidades de acogida y las poblaciones pastorales, así como los programas de erradicación de enfermedades en el contexto de emergencias complejas.


Assuntos
Planejamento em Desastres , Desastres , Animais , Surtos de Doenças/prevenção & controle , Surtos de Doenças/veterinária , Emergências/veterinária
2.
Rev Sci Tech ; 37(2): 497-510, 2018 Aug.
Artigo em Inglês, Francês | MEDLINE | ID: mdl-30747131

RESUMO

In the Middle East and North Africa (MENA) region, dogs are the main reservoir for rabies. In this region, rabies affects more domestic carnivores (50% of cases) than farm animals (40% of cases). Rabies in large livestock animals, which are infected mainly by dogs, results in economic losses, undermines food safety and poses a risk for humans. In the MENA region, rabies is largely an urban problem, the virus being transmitted to humans by free-roaming dogs, 30% of which are less than one year old. In cities, the density of the free-roaming dog population varies between 0.6 and 1.5 dogs per km2, and almost double this figure in suburban and rural areas, where 80% of canine rabies cases occur. In the Maghreb, the annual average number of confirmed human deaths from rabies is around 47, showing a strong correlation with the number of animal cases declared (approximately 1,442 cases a year). In the Middle East, only a few rabies cases in humans are officially reported, suggesting that rabies cases in humans are grossly underreported. National strategies to control rabies include vaccination, controlling the freeroaming dog population and raising awareness among the human population at risk. Owing to limited resources and poor coordination between the different stakeholders, these strategies are only partially implemented. The Food and Agriculture Organization of the United Nations, in close collaboration with the World Organisation for Animal Health and the World Health Organization, supports countries in formulating and implementing coordinated strategies between the ministries concerned, local authorities and non-governmental organisations.


Dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, le chien est le principal réservoir de la rage. En effet, dans cette région, la rage affecte plus de carnivores domestiques (50 % des cas) que d'animaux de ferme (40 % des cas). L'infection des animaux d'élevage est essentiellement transmise par les chiens et entraîne des pertes économiques, un impact négatif sur la sécurité alimentaire et un risque pour les humains. Dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, la rage est un problème principalement urbain, le virus étant transmis aux humains par des chiens errants dont 30 % sont âgés de moins d'un an. La densité de la population de chiens errants varie de 0,6 à 1,5 chien par km² dans les villes et à peu près le double dans les zones périurbaines et rurales où sont enregistrés 80 % des cas de rage canine. Au Maghreb, le nombre annuel moyen de cas confirmés de décès humains par la rage est d'environ 47, avec une forte corrélation avec le nombre de cas chez les animaux qui avoisine 1 442 cas confirmés par an. Au Moyen-Orient, seuls quelques cas de rage chez l'homme sont officiellement déclarés ce qui suggère que les cas de rage chez les humains sont largement sous-déclarés. Les stratégies nationales de lutte contre la rage comprennent la vaccination, le contrôle des populations de chiens errants et la sensibilisation des populations humaines au risque d'infection. Ces stratégies sont partiellement mises en oeuvre en raison des ressources limitées et du manque de coordination entre les différents intervenants. L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), en étroite collaboration avec l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), soutient les pays dans l'élaboration et la mise en oeuvre de stratégies coordonnées entre les ministères concernés, les autorités locales et les organisations non gouvernementales.


En la región del Oriente Medio y África del Norte, el perro es el principal reservorio de la rabia. En estas zonas, en efecto, la rabia afecta a un mayor número de carnívoros domésticos (un 50% de los casos) que de animales de granja (un 40% de los casos). El perro es la vía fundamental por la que los animales de producción pecuaria contraen la infección, que provoca pérdidas económicas, hace mella en la seguridad alimentaria y entraña un riesgo sanitario para todas las personas. En esta región la rabia es un problema esencialmente urbano, por cuanto la vía de transmisión del virus a las personas son perros vagabundos, de los que el 30% tiene menos de un año de edad. La densidad de población de estos perros varía: de 0,6 a 1,5 individuos por km² en las ciudades hasta aproximadamente el doble en las zonas periurbanas y rurales, donde se producen el 80 % de los casos de rabia canina. En el Magreb se registra un promedio anual de unos 47 casos confirmados de muerte humana por rabia, cifra que presenta una estrecha correlación con el número de casos confirmados que se dan anualmente en los animales, próximo a los 1.442 casos. En el Oriente Medio se declaran oficialmente contados casos humanos de rabia, lo que lleva a pensar que el número real de casos en el ser humano supera con creces el de casos declarados. Las estrategias nacionales de lucha contra la rabia prevén medidas de vacunación, control de las poblaciones de perros vagabundos y sensibilización de la población humana expuesta al riesgo de infección. Esas estrategias se aplican solo parcialmente debido a la escasez de recursos y a la falta de coordinación entre las distintas instancias encargadas de ello. La Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura (FAO), en estrecha colaboración con la Organización Mundial de Sanidad Animal (OIE) y la Organización Mundial de la Salud (OMS), respalda a los países en la elaboración y aplicación de estrategias coordinadas entre los ministerios competentes, las autoridades locales y las organizaciones no gubernamentales.


Assuntos
Doenças do Cão/prevenção & controle , Vacina Antirrábica/imunologia , Raiva/epidemiologia , África do Norte/epidemiologia , Animais , Reservatórios de Doenças/virologia , Doenças do Cão/epidemiologia , Cães , Humanos , Oriente Médio/epidemiologia , Raiva/prevenção & controle , Vacinação , Zoonoses
5.
Vet Res ; 29(6): 557-65, 1998.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-9851012

RESUMO

On an experimental farm, five camels and five cows were fed with a similar basal diet over a 6-month period. They received an oral trace element supplement for 3 months (days 22-112). This supplement contained zinc and copper sulphate, and corresponded to twice the daily requirement generally recommended for cows. Plasma zinc and copper concentrations were significantly lower in camels (44 micrograms/100 mL for copper and 38 micrograms/100 mL for zinc) than in cows (106 and 83 micrograms/100 mL, respectively). The supplementation had no effect on the plasma zinc concentration in the camels in spite of the low observed values. The mean erythrocyte SOD activity was also significantly higher in the cows (2,404 +/- 211 IU/100 gHb) than in the camels (1,720 +/- 312 IU/100 gHb). In both species, no correlation was found between copper plasma concentration and erythrocyte SOD activity. In cows, a positive relationship was observed between plasma zinc concentration and SOD activity (r = 0.396). In contrast, a negative relationship was found in camels (r = -0.369). These results are discussed in relation to the physiological peculiarities of the camel.


Assuntos
Camelus/sangue , Bovinos/sangue , Cobre/sangue , Superóxido Dismutase/sangue , Oligoelementos/sangue , Zinco/sangue , Ração Animal , Animais , Cobre/administração & dosagem , Suplementos Nutricionais , Eritrócitos/enzimologia , Fatores de Tempo , Zinco/administração & dosagem
6.
Biol Trace Elem Res ; 63(2): 81-94, 1998 Aug.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-9823434

RESUMO

At an experimental farm, five camels and five cows were fed a similar basal diet for 6 mo. They received oral trace element supplementation for 3 mo (day 22-112). This supplementation included zinc, copper, selenium, manganese, iodine, and cobalt, and corresponded to twice the requirements generally recommended for cows. Plasma copper and zinc concentrations were significantly lower in the camels (61 micrograms/100 mL for copper and 38 micrograms/100 mL for zinc) than in the cows (111 and 83, respectively). The supplementation had no effect on plasma zinc concentration in the camels in spite of the low observed values in this species. Liver copper concentration at the beginning of the trial was lower in the camels (9 ppm) than in the cows (35 ppm), and stayed at lower levels during the entire supplementation period. There was no clear difference in fecal excretion of copper and zinc between the camels and the cows. The results suggested that trace element requirements are lower in camels than in cows and that camels regulate their plasma zinc concentration at a very low level (< 40 micrograms/100 mL).


Assuntos
Camelus/metabolismo , Bovinos/metabolismo , Cobre/metabolismo , Zinco/metabolismo , Animais , Disponibilidade Biológica , Camelus/sangue , Bovinos/sangue , Cobre/sangue , Dieta , Fezes , Feminino , Fígado/metabolismo , Zinco/sangue
7.
Biol Trace Elem Res ; 41(1-2): 1-11, 1994.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-7946897

RESUMO

Data relating to trace-elements status in camels is scarce, from both a clinical and biochemical point of view. Clinical deficiency or toxicity has rarely been described in this species. However, there is a some evidence that camels are sensitive to trace element disorders in the same way as other ruminants. For example, copper deficiency in camels has been reported in East Africa. Normal plasma level is comparable to cattle (70-120 mg/100 mL). Camels appear to maintain zinc levels at a lower value than other domestic ruminants (< 60 micrograms/100 mL). Iron metabolism is more active in the liver than in the spleen. Data concerning manganese levels are possibly unreliable. Some cases of selenium deficiency (white muscle disease) have been reported. No data are available for cobalt status in camels. Finally, camels appear to be more sensitive to iodine deficiency than the other domestic ruminants.


Assuntos
Camelus/sangue , Oligoelementos/sangue , Animais , Cobalto/sangue , Cobre/sangue , Iodo/sangue , Ferro/sangue , Manganês/sangue , Selênio/sangue , Zinco/sangue
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