Your browser doesn't support javascript.
loading
Mostrar: 20 | 50 | 100
Resultados 1 - 4 de 4
Filtrar
Mais filtros










Base de dados
Intervalo de ano de publicação
1.
Can J Vet Res ; 88(3): 69-76, 2024 Jul.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38988334

RESUMO

Winter mortality of honey bee colonies represents a major source of economic loss for the beekeeping industry. The objectives of this prospective study were to estimate the incidence risk of winter colony mortality in southwestern Quebec, Canada and to evaluate and quantify the impact of the associated risk factors. A total of 242 colonies from 31 apiaries was selected for sampling in August 2017. The presence of Varroa destructor, Vairimorpha (Nosema) spp., Melissococcus plutonius, deformed wing virus (DWV), and viruses of the acute-Kashmir-Israeli complex (AKI complex) was investigated in each colony. Management practices of the various colonies were obtained from a questionnaire. The incidence risk of colony mortality during the winter of 2017-2018 was estimated to be 26.5% [95% confidence interval (CI): 15.4 to 40.3]. In logistic regression modeling of winter mortality in colonies, an interaction was discovered between V. destructor and DWV; the detection of ≥ 1 V. destructor mites per 100 bees was associated with higher odds of mortality (3.46, 95% CI: 1.35 to 8.90) compared to colonies with < 1 mite per 100 bees, but only in DWV-positive colonies. There were more colony losses in apiaries from beekeepers owning 1 to 5 colonies than in apiaries from beekeepers owning over 100 colonies, which suggests that beekeeper experience and/or type of management are important contributors to winter colony mortality. Assuming a causal relationship, the results of this study suggest that up to 9% of all colony mortalities in the population could have been prevented by reducing the level of V. destructor to < 1 mite per 100 bees in all colonies.


La mortalité hivernale des colonies d'abeilles est une cause importante de pertes économiques en apiculture. Cette étude prospective visait à estimer le risque d'incidence de mortalité hivernale des colonies d'abeilles et les facteurs de risque associés dans le sud-ouest du Québec (Canada). Au total, 242 colonies provenant de 31 ruches ont été sélectionnées en août 2017. La présence de Varroa destructor, de Vairimorpha (Nosema) spp., de Melissococcus plutonius, du virus des ailes déformées (DWV) et des virus du complexe AKI ont été évalués. Les pratiques de régie ont été obtenues selon un questionnaire. Le risque de mortalité des colonies à l'hiver 2017­2018 a été estimé à 26,5 % (95 % CI : 15,4 à 40,3). Dans un modèle de régression logistique, la détection de ≥ 1 mite de V. destructor par 100 abeilles était associée à des cotes plus élevées de mortalité (3,46, 95 % CI : 1,35 à 8,90) comparativement aux colonies avec < 1 mite par 100 abeilles, mais seulement pour les colonies positives au DWV. Les ruchers d'apiculteurs possédant entre 1 et 5 colonies présentaient une mortalité plus élevée comparativement à ceux d'apiculteurs possédant plus de 100 colonies, suggérant une influence de l'expérience ou du type de régie. En assumant une relation causale, les résultats de cette étude suggèrent que jusqu'à 9 % de toutes les mortalités hivernales observées dans la population auraient pu être prévenues en réduisant le niveau d'infestation par V. destructor à moins d'une mite per 100 abeilles dans toutes les colonies.(Traduit par les auteurs).


Assuntos
Estações do Ano , Varroidae , Animais , Abelhas/virologia , Abelhas/parasitologia , Varroidae/virologia , Vírus de RNA/isolamento & purificação , Quebeque/epidemiologia , Criação de Abelhas
2.
Can J Vet Res ; 88(2): 45-54, 2024 Apr.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38595951

RESUMO

Honey bees can be affected by a variety of pathogens, which impacts their vital role as pollinators in agriculture. A cross-sectional study was conducted in southwestern Quebec to: i) estimate the prevalence of 11 bee pathogens; ii) assess the agreement between beekeeper suspicion of a disease and laboratory detection of the causative pathogen; and iii) explore the association between observed clinical signs and pathogen detection in a colony. A total of 242 colonies in 31 apiaries owned by 15 beekeepers was sampled in August 2017. The prevalence of Varroa destructor detection was estimated as 48% for colonies and 93% for apiaries. The apparent prevalence of colonies infected by Nosema spp. and Melissococcus plutonius was estimated as 40% and 21%, respectively. At least 180 colonies were tested by polymerase chain reaction (PCR) for deformed wing virus (DWV), acute-Kashmir-Israeli complex (AKI complex), and black queen cell virus (BQCV), which were detected in 33%, 9%, and 95% of colonies, respectively. Acarapis woodi, Paenibacillus larvae, and Aethina tumida were not detected. Varroasis was suspected by beekeepers in 14 of the 15 beekeeping operations in which the mite was detected. However, no correlation was found between suspected European foulbrood and detection of M. plutonius or between suspected nosemosis and detection of Nosema spp. Colony weakness was associated with Nosema spore counts of at least 0.5 × 106 per bee. Melissococcus plutonius was more frequently detected in colonies showing scattered brood.


Les abeilles mellifères peuvent être affectées par plusieurs agents pathogènes, impactant leur rôle vital de pollinisateur en agriculture. Une étude transversale a été réalisée dans le sud-ouest du Québec afin 1) d'estimer la prévalence de onze agents pathogènes de l'abeille, 2) d'évaluer l'accord entre la suspicion d'une maladie par l'apiculteur et la détection de l'agent causal, 3) d'explorer les associations entre les signes cliniques et la détection d'un agent pathogène dans une colonie. Au total, 242 colonies de 31 ruchers appartenant à 15 apiculteurs ont été échantillonnées en août 2017. La prévalence de Varroa destructor a été estimée à 48 % pour les colonies et à 93 % pour les ruchers. La prévalence apparente de colonies infectées par Nosema spp. ou Melissococcus plutonius a été estimée à respectivement 40 % et 21 %. Le virus des ailes déformées, le complexe viral AKI et le virus de la reine noire ont été détectés dans respectivement 33 %, 9 % et 95 % dans des 180 colonies testées par PCR. Acarapis woodi, Paenibacillus larvae et Aethina tumida n'ont pas été détectés. La varroase était suspectée par les apiculteurs de 14 des 15 entreprises où la mite a été détectée. Aucune corrélation n'a été trouvée entre la suspicion de loque européenne et la détection de M. plutonius ou entre la suspicion de nosémose et la détection de Nosema spp. La faiblesse des colonies a été associée à des comptes de Nosema d'au moins 0,5 × 106 spores par abeille. Melissococcus plutonius était plus fréquemment détecté parmi les colonies présentant du couvain en mosaïque.(Traduit pas les auteurs).


Assuntos
Estudos Transversais , Enterococcaceae , Vírus de RNA , Abelhas , Animais , Quebeque/epidemiologia , Prevalência
3.
Can J Vet Res ; 85(3): 229-235, 2021 Jul.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34248269

RESUMO

The growing number of honey bee colonies and beekeepers in Canada has led to a great diversity of beekeeping practices. All beekeeping operations, however, need to implement consistent management measures for the control of diseases. The objective of this study was to document the actual disease management practices of beekeeping productions in southwestern Quebec, Canada. A survey was conducted to describe management practices used by 15 beekeepers who own 1824 colonies in that area. Data were obtained by telephone interviews. When infectious diseases were suspected, beekeepers generally avoided using potentially toxic acaricides and chemical treatments associated with antimicrobial resistance and instead used preventive, physical or management methods, although laboratory diagnosis was rarely used. This study highlights the wide variety of operation sizes, activities, and disease management strategies among beekeepers in southwestern Quebec. It identifies the need to encourage the use of services available to them and to propose a standardized preventive medical approach for field veterinarians to avoid the spread of infectious diseases.


Le nombre croissant de colonies d'abeilles mellifères et d'apiculteurs au Canada a conduit à une grande diversité de pratiques apicoles. Cependant, toutes les opérations apicoles doivent mettre en oeuvre des mesures de gestion cohérentes pour lutter contre les maladies. L'objectif de cette étude était de documenter les pratiques actuelles de gestion des maladies dans les exploitations apicoles situées au sud-ouest du Québec, Canada. Une enquête a été menée pour décrire les pratiques de régie utilisées par 15 apiculteurs possédant 1824 colonies dans cette région. Les données ont été obtenues par des entretiens téléphoniques. Lorsque des maladies infectieuses étaient suspectées, les apiculteurs évitaient généralement d'utiliser des acaricides potentiellement toxiques et des traitements chimiques associés à la résistance aux antimicrobiens et utilisaient à la place des méthodes préventives, physiques ou de gestion, bien que les diagnostics en laboratoire étaient rarement utilisés. Cette étude met en évidence la grande variété de tailles d'entreprises, d'activités et de stratégies de gestion des maladies de l'abeille par les apiculteurs du sud-ouest du Québec. Il identifie la nécessité d'encourager l'utilisation des services offerts aux apiculteurs et de proposer une approche médicale préventive standardisée aux vétérinaires pour éviter la propagation de maladies infectieuses.(Traduit par Gabrielle Claing).


Assuntos
Criação de Abelhas/métodos , Abelhas/fisiologia , Animais , Quebeque , Estações do Ano
4.
Soins Gerontol ; 24(135): 29-31, 2019.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-30765084

RESUMO

Anticancer medicines evolve in terms of their mode of action as well as their galenics. The advent of oral therapies has multiple benefits such as the possibility of taking the treatments at home. However, what are the implications with regard to compliance, the management of side effects and the community-hospital relationship? Elderly patients, often isolated, taking several medicines and frail, are disorientated faced with all these medications and their side effects. A study was undertaken to evaluate the benefit of visits by private practice nurses to support patients taking oral cancer drugs.


Assuntos
Antineoplásicos/administração & dosagem , Visita Domiciliar , Neoplasias/tratamento farmacológico , Administração Oral , Idoso , Humanos , Pesquisa em Avaliação de Enfermagem , Prática Privada de Enfermagem
SELEÇÃO DE REFERÊNCIAS
DETALHE DA PESQUISA
...