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1.
Can Vet J ; 65(5): 496-503, 2024 May.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38694735

RESUMO

Objective: To evaluate the signalment and clinical, laboratory, treatment, and outcome features of dogs diagnosed with anticoagulant rodenticide (AR) intoxication in Saskatchewan. Animals: We studied 349 dogs. Procedure: Medical records from the Veterinary Medical Centre (Saskatoon, Saskatchewan) between 1999 and 2022 were reviewed. Cases were included if they met at least 1 of the following criteria: owner witnessed the dog ingesting an AR; AR was seen in the vomitus when emesis was induced; the dog had clinical signs of coagulopathy, with elevation of PT ± aPTT that normalized after vitamin K1 therapy, in the presence of appropriate clinical and paraclinical data and the absence of other causes of hypocoagulable state determined by the primary clinician. Results: Fifty-three percent of cases were seen between July and October. Most dogs (61%) came from an urban setting. Ninety-two percent of dogs ingested a 2nd-generation AR and the most frequent toxin was bromadiolone. Clinical signs were reported in 30% of AR intoxications and included lethargy (86%), dyspnea (55%), and evidence of external hemorrhage (44%). The most common site of hemorrhage was the pleural space, accounting for 43% of hemorrhage sites. Consumptive thrombocytopenia was reported in 24% of dogs with evidence of AR-induced hemorrhage, with moderate (platelet count < 60 K/µL) and marked (< 30 K/µL) thrombocytopenia in 7/12 and 2/12 dogs, respectively. Blood products were administered to 84% of dogs with AR-induced hemorrhage; the most common product administered was fresh frozen plasma (56% of cases). Among dogs with AR-induced hemorrhage, those that received blood products were more likely to survive to discharge (81%) compared to those that did not (19%) (P = 0.017). Eighty-six percent of dogs with AR-induced hemorrhage survived to discharge. Conclusion and clinical relevance: The pleural space was the most common site of hemorrhage. Moderate thrombocytopenia was a common finding. Eighty-six percent of dogs with AR-induced hemorrhage survived to discharge.


Toxicité des rodenticides anticoagulants chez les chiens : étude rétrospective de 349 cas confirmés en Saskatchewan. Objectif: Évaluer le signalement et les caractéristiques cliniques, de laboratoire, de traitement et de résultats des chiens diagnostiqués avec une intoxication par un rodenticide anticoagulant (AR) en Saskatchewan. Animaux: Nous avons étudié 349 chiens. Procédure: Les dossiers médicaux du Veterinary Medical Centre (Saskatoon, Saskatchewan) entre 1999 et 2022 ont été examinés. Les cas ont été inclus s'ils répondaient à au moins 1 des critères suivants : le propriétaire a vu le chien ingérer un AR; de l'AR a été observée dans les vomissures lorsque des vomissements ont été provoqués; le chien présentait des signes cliniques de coagulopathie, avec une élévation du PT ± aPTT qui s'est normalisée après un traitement par la vitamine K1, en présence de données cliniques et paracliniques appropriées et en l'absence d'autres causes d'état hypocoagulable déterminées par le clinicien initial. Résultats: Cinquante-trois pour cent des cas ont été observés entre juillet et octobre. La plupart des chiens (61 %) venaient d'un milieu urbain. Quatre-vingt-douze pour cent des chiens ont ingéré un AR de 2e génération et la toxine la plus fréquente était la bromadiolone. Des signes cliniques ont été rapportés dans 30 % des intoxications par AR et incluaient de la léthargie (86 %), de la dyspnée (55 %) et des signes d'hémorragie externe (44 %). Le site d'hémorragie le plus fréquent était l'espace pleural, représentant 43 % des sites d'hémorragie. Une thrombocytopénie de consommation a été rapportée chez 24 % des chiens présentant des signes d'hémorragie induite par l'AR, avec une thrombocytopénie modérée (nombre de plaquettes < 60 K/µL) et marquée (< 30 K/µL) chez 7 chiens sur 12 et 2 chiens sur 12, respectivement. Des produits sanguins ont été administrés à 84 % des chiens présentant une hémorragie induite par l'AR; le produit le plus fréquemment administré était le plasma frais congelé (56 % des cas). Parmi les chiens présentant une hémorragie induite par l'AR, ceux qui ont reçu des produits sanguins étaient plus susceptibles de survivre jusqu'à leur congé (81 %) que ceux qui n'en ont pas reçu (19 %) (P = 0,017). Quatre-vingt-six pour cent des chiens présentant une hémorragie induite par l'AR ont survécu jusqu'à leur sortie. Conclusion et pertinence clinique: L'espace pleural était le site d'hémorragie le plus fréquent. Une thrombocytopénie modérée était fréquente. Quatre-vingt-six pour cent des chiens présentant une hémorragie induite par l'AR ont survécu jusqu'à leur sortie.(Traduit par Dr Serge Messier).


Assuntos
Anticoagulantes , Doenças do Cão , Rodenticidas , Animais , Cães , Rodenticidas/intoxicação , Estudos Retrospectivos , Doenças do Cão/induzido quimicamente , Saskatchewan/epidemiologia , Masculino , Feminino , Anticoagulantes/intoxicação , Anticoagulantes/efeitos adversos , 4-Hidroxicumarinas/intoxicação
2.
Front Microbiol ; 7: 1941, 2016.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-27990140

RESUMO

Retroviruses create permanently integrated proviruses that exist in the host genome. Retroviral genomes encode for functionally conserved gag, pro, pol, and env regions, as well as integrase (IN), which is required for retroviral integration. IN mediates viral genome insertion through 3' end processing of the viral DNA and the strand transfer reaction. This process requires the formation of a pre-integration complex, comprised of IN, viral DNA, and cellular proteins. Viral insertion causes DNA damage, leading to the requirement of host DNA repair mechanisms. Therefore, a failure of DNA repair pathways may result in genomic instability and potentially cause host cell death. Considering the numerous human diseases associated with genomic instability, the endogenous retrovirus-K (ERVK) IN should be considered as a putative contributor to DNA damage in human cells. Future research and drug discovery should focus on ERVK IN activity and its role in human conditions, such as neurological disease and cancers.

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