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Physiother Can ; 70(2): 102-112, 2018.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-29755166

RESUMO

Purpose: This article describes the knowledge, attitudes, and practice of in-patient physiotherapists in Ontario regarding the treatment of patients who are super-morbidly obese (SMO; i.e., those whose BMI is >50). Method: A 62-item questionnaire was developed to assess demographics, sources of knowledge, current practice, and attitudes such as confidence, willingness, and the perceived effectiveness of treatment. It was distributed electronically using FluidSurveys. All physiotherapists working in a clinical role with adults in an in-patient setting in Ontario were eligible to participate. Results: A total of 276 physiotherapists completed the survey. Most of them had learned about the treatment from non-structured sources such as clinical experience. More than half (52%) of the participants disagreed that their place of employment was well prepared to facilitate the treatment of patients who are SMO. The majority of respondents were confident in treating these patients, were willing to treat them (82%), and believed that physiotherapy would improve at least one health outcome (96%) for them; however, 46% were reluctant to treat for fear of personal injury. Participants most commonly felt limited by lack of equipment and lack of staff to assist. Conclusions: Physiotherapists have positive attitudes toward treating patients who are SMO, and increased equipment and staff to assist, as well as appropriate education, may decrease the fear of injury for physiotherapists while treating these patients and improve health outcomes for them.


Objectif : décrire les connaissances, les attitudes et les pratiques de physiothérapeutes de l'Ontario à l'égard du traitement de patients hospitalisés présentant une superobésité morbide (SOM; dont l'indice de masse corporelle est supérieur à 50). Méthodologie : les chercheurs ont créé un questionnaire en 62 points pour évaluer les caractéristiques démographiques, les sources de connaissances, les pratiques actuelles et les attitudes, telles que la confiance, la volonté et l'efficacité perçue du traitement. Ils l'ont distribué en ligne à l'aide de FluidSurveys. Tous les physiothérapeutes exerçant un rôle clinique auprès d'adultes hospitalisés en Ontario pouvaient y participer. Résultats : au total, 276 physiothérapeutes ont rempli le sondage. La plupart avaient découvert le traitement auprès de sources non structurées, telles que l'expérience clinique. Plus de la moitié des participants (52 %) ne trouvaient pas que leur milieu de travail était bien préparé pour faciliter le traitement des patients présentant une SOM. La majorité se sentait à l'aise de traiter ces patients, était prête à le faire (82 %) et croyait que la physiothérapie améliorerait au moins un résultat clinique (96 %). Cependant, 46 % hésitaient à offrir le traitement, par crainte de se blesser. Les participants se sentaient généralement limités par le manque d'équipement et de personnel pour les assister. Conclusions : les physiothérapeutes ont des attitudes positives à l'égard du traitement des patients qui présentent une SOM, mais une formation pertinente et la présence d'équipement et de personnel pour les assister pourraient réduire leurs craintes de blessures lorsqu'ils traitent et améliorent le pronostic des patients.

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