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1.
J West Afr Coll Surg ; 11(4): 33-37, 2021.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36188055

RESUMO

Background: Surgical treatment of haemorrhoidal disease by laser haemorrhoidoplasty is a minimally invasive procedure that facilitates the postoperative course. Due to less aggression on the anoderm and the anal canal mucosa, it causes less significant postoperative pain and low morbidity compared with conventional excision according to the Milligan-Morgan or Fergusson procedure. We report, through a preliminary study, our data on laser haemorrhoidoplasty and discuss the indications and results. Materials and Methods: This is a descriptive prospective study carried out on 21 patients operated on for haemorrhoidal disease by laser haemorrhoidoplasty with or without mucopexy. Results: The series was composed of 17 men and 4 women with a male/female ratio of 4.25:1. The average age was 39.6 years with a range of 27-62 years. The symptomatology was rectal bleeding in 16 cases (76%) and anal swelling in 18 cases (85.7%). These include grade 2 haemorrhoids in 2 cases (9.5%), grade 3 in 12 cases (57%), and grade 4 in 7 cases (33%). It was associated with an anal fissure in four cases (19%) and an anal fistula in three cases (14.2%). Mucopexy and laser coagulation were performed therapeutically in 13 cases (61.9%) and laser coagulation without mucopexy was performed in 8 cases (38%). The energy delivered was on average 1488 or 496 J per pile. It was associated with skin tag excision in 18 cases (85.7%), fissurectomy, sphincterotomy, anoplasty in 4 cases (19.2%), and fistulectomy for low anal fistula in 2 cases (9.5%). Piles retraction was judged sufficient in 17 patients (81%). The postoperative course was simple with no notable complaints in 16 patients (76%). Complications consisted of minimal bleeding in six cases (28%), significant bleeding in two cases with readmission, residual skin tag in six cases (28.5%), and subcutaneous fistula in two cases (9.5%). No recurrence of the symptoms of the haemorrhoidal disease was noted. Conclusion: Laser haemorrhoidoplasty is a minimally invasive alternative for the treatment of haemorrhoidal disease, especially for grade 2 and 3 haemorrhoids without major prolapse. Postoperative pain is minimal, and the risk of stenosis or incontinence is almost non-existent.

2.
Health sci. dis ; 18(1): 78-91, 2017. ilus
Artigo em Francês | AIM (África) | ID: biblio-1262777

RESUMO

Buts. Évaluer de façon rétrospective les résultats de la prise en charge des pelvipéritonites dans un service de chirurgie générale et définir la place du traitement médical.Patients et méthodes. Durant une période de 5 ans, 62 dossiers de patientes suivies pour pelvipéritonite ont été colligés et analysés. Les collections des organes génitaux internes (abcès tubo-ovariens, endométrite, pyoovaire etc.…) et celles d'origine digestive (appendicite pelvienne, sigmoïdite etc.…) ont été exclus de l'étude. Le diagnostic de pelvipéritonite reposait sur l'existence de douleurs pelviennes, de leucorrhées purulentes, d'un syndrome infectieux et d'une défense strictement pelvienne, et l'absence de suppuration des organes génitaux internes à l'échographie. Résultats. L'âge moyen des patientes était de 27,5 ans [16-55 ans]. 72% d'entre elles avaient moins de 35 ans. Deux patientes étaient porteuses d'un dispositif intra-utérin et chez une, la pelvipéritonite compliquait une hystérosalpingographie. Le délai moyen de consultation était de 11 jours [1-30 jours]. Des leucorrhées purulentes étaient présentes chez 77% des patientes. La défense abdominale localisée sous ombilicale était présente dans 58 cas (93%). Une collection du Douglas était présente à l'échographie chez une patiente. Un traitement médical a été appliqué avec succès chez 58 patientes. Quatre patientes avaient un tableau clinique suffisamment sévère pour justifier une laparotomie exploratrice pour suspicion de péritonite. Des adhérences multiviscérales sous forme de magma adhérentiel cloisonnant le pelvis ont été notées chez trois d'entre elles et un abcès du Douglas chez une patiente. une récidive de pelvipéritonite à 3 et 5 mois a été notée chez et l'évolution sous traitement médical a été favorable pour les deux. Conclusion. Les signes cliniques (fièvre, leucorrhées purulentes et défense strictement pelvienne) sont suffisants pour poser un diagnostic de pelvipéritonite à Dakar. Le traitement médical doit être la règle en l'absence de collection abcédée


Assuntos
Procedimentos Cirúrgicos em Ginecologia , Infecção Pélvica , Peritonite , Senegal
3.
Springerplus ; 5(1): 1614, 2016.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-27652187

RESUMO

INTRODUCTION: Diaphragmatic injuries include wounds and diaphragm ruptures, due to a thoracoabdominal blunt or penetrating traumas. Their incidence ranges between 0.8 and 15 %. The diagnosis is often delayed, despite several medical imaging techniques. The surgical management remains controversal, particularly for the choice of the surgical approach and technique. The mortality is mainly related to associated injuries. The aim of our study was to evaluate the incidence of diaphragmatic injuries occuring in thoraco-abdominal traumas, and to discuss their epidemiology, diagnosis and treatment. PATIENTS AND METHODS: We performed a retrospective study over a period of 21 years, between January 1994 and June 2015 at the Department of General Surgery of the Aristide Le Dantec hospital in Dakar, Senegal. All patients diagnosed with diaphragmatic injuries were included in the study. RESULTS: Over the study period, 1535 patients had a thoraco-abdominal trauma. There were 859 cases of blunt trauma, and 676 penetrating chest or abdominal trauma. Our study involved 20 cases of diaphragmatic injuries (1.3 %). The sex-ratio was 4. The mean age was 33 years. Brawls represented 83.3 % (17 cases). Stab attacks represented 60 % (12 cases). The incidence of diaphragmatic injury was 2.6 %. The wound was in the thorax in 60 % (seven cases). Chest radiography was contributory in 45 % (nine cases). The diagnosis of wounds or ruptures of the diaphragm was done preoperatively in 45 % (nine cases). The diaphragmatic wound was on the left side in 90 % (18 cases) and its mean size was 4.3 cm. The surgical procedure involved a reduction of herniated viscera and a suture of the diaphragm by "X" non absorbable points in 85 % (17 cases). A thoracic aspiration was performed in all patients. Morbidity rate was 10 % and mortality rate 5 %. CONCLUSION: The diagnosis of diaphragmatic rupture and wounds remains difficult and often delayed. They should be kept in mind in any blunt or penetrating thoraco-abdominal trauma. Diaphragmatic lesions are usually located on the left side. Surgery is an efficient treatment.


INTRODUCTION: Les traumatismes du diaphragme comprennent les ruptures et les plaies du diaphragme. Leur incidence varie entre 0,8 % et 15 %. Elles sont très souvent méconnues malgré les techniques performantes d'imagerie médicale. Leur prise en charge chirurgicale reste controversée. La mortalité de cette pathologie est liée aux lésions associées. Le but de notre étude était d'apprécier l'incidence des lésions diaphragmatique dans les traumatismes thoraco-abdominaux, et de discuter les aspects épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques. PATIENTS ET MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective sur 21 ans allant du 1er janvier 1994 au 30 juin 2015. Cette étude a été réalisée au Service de Chirurgie Générale de l'Hôpital Aristide Le Dantec de Dakar. Etaient inclus dans cette étude tous les patients qui présentaient une lésion diaphragmatique consécutive à un traumatisme abdominal et/ou thoracique ouvert ou fermé. RÉSULTATS: Durant cette période d'étude, nous avons reçu 1535 patients victimes de traumatisme thoracique et/ou abdominal. Il s'agissait de 859 cas de contusions et 676 cas de plaies thoraciques et/ou abdominaux. Notre étude portait sur 20 cas de lésions diaphragmatiques (1,3 %). Le sex-ratio était de 4. L'âge moyen était de 33 ans. Les agressions par arme blanche représentaient 60 % (12 cas). L'incidence des lésions diaphragmatiques était de 2,6 %. La plaie cutanée était de siège thoracique dans 60 % (7 cas). La radiographie du thorax était contributive dans 45 % (9 cas). Le diagnostic de lésion diaphragmatique était préopératoire dans 45 % (9 cas). La brèche diaphragmatique siégeait à gauche dans 90 % (18 cas) et la taille moyenne était de 4,3 cm. Le geste chirurgical avait consisté en une réduction des viscères herniés et une suture du diaphragme par des points en « X ¼ dans 85 % (17 cas). Le drainage thoracique était systématique. Le taux de morbidité était de 10 % et la mortalité de 5 %. CONCLUSION: Leur diagnostic est difficile. Elles siègent le plus souvent à gauche. Leur traitement est chirurgical et la voie d'abord préférentielle est la laparotomie.

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